Le Devoir De Fidélité Entre époux

famille est un phénomène social universel, quelque soient les sociétés, les pays, ou les civilisations et quelque soient les époques. Il est donc difficile de la définir. Le Code civil ne la définit pas. La famille est un groupe de personnes unies entre elles par des liens (de différentes natures). La famille au sens large: la famille étendue comprend parents, descendants, ascendants, collatéraux et alliés (parents par alliance, mariages). La famille au sens étroit: la famille désigne les personnes

parler ; la plupart des textes sont marqués par le fait que ce sont les textes concernant le mariage qui regroupent le plus de définition. Famille = groupe de personnes unies par des rapports de parenté ou d’alliance. Parenté = rapport de droit entre 2 personnes (donc pas nécessairement biologique), l’une descend de l’autre et réciproquement (parenté en ligne direct avec enfants, petits-enfants, arrières petits-enfants = descendants). * Parenté en ligne collatérale auteur commun (frère et

autres sens : La mariage est la situation juridique qui résulte de l'engagement entre les époux et qui s'établit entre eux avec l'écoulement du temps Le mariage est aussi la cérémonie par l'officier de l'Etat civil La nature juridique du mariage en Droit français Selon certains auteurs le mariage est un contrat, c'est-à-dire un accord intervenu entre les deux époux et qui fait naître des obligations pour les deux époux (sorte de contrat synallagmatique). Cette thèse s'appuie sur le Droit canonique

religieuses influencent énormément le droit français et parfois le Droit s’en écarte dans des cas bien particuliers. ( paragraphe1 ) Les points de contact entre le droit et la religion : · dans le droit de la famille, les règles du mariage proviennent essentiellement de la religion avec le devoir de fidélité et le devoir de secours entre époux. · en dehors du droit de la famille, la notion de « pardon », issu directement de la religion est bien présente dans le droit français avec la grâce présidentielle

avaient été dictés par le seul dessein d'acquérir la nationalité française ; que M. T. a assigné le Procureur de la République en vue de faire reconnaître qu'il avait valablement acquis la nationalité française ; que le ministère public a assigné les époux en tierce opposition à la décision de divorce et en annulation du remariage ; que l'arrêt confirmatif attaqué a rejeté les demandes du ministère public et, accueillant la demande de M. T., a dit que ce dernier avait acquis la nationalité française

autres fiches sur le site de la FDV : www.facdedroit-lyon3.com 4 5 5 5 5 5 7 7 2 III. LES EFFETS DE LA NULLITE 9 A. LES CONDITIONS DU MARIAGE PUTATIF 9 ère Civ.1 , 15 janvier 1980 B. LES EFFETS DU MARIAGE PUTATIF 1. Dans les rapports entre époux Civ.1ère, 23 octobre 1990 Civ.1ère, 2 octobre 1984 2. A l’égard des enfants 9 11 11 11 12 17 3 La théorie des nullités, peu employée en pratique, témoigne de l’aspect contractuel du mariage. Elle connaît en la matière des spécificités tant au

des effets personnels entre époux puis ceux envers les enfants. I)Les effets de nature personnelle à la dissolution du mariage A) Effets personnels entre époux  L’article 260 du code Civil dispose que la « décision qui prononce le divorce dissout le mariage à la date à laquelle elle prend force de chose jugée ». Le mariage, étant en cours de dissolution, le divorce met donc fin aux devoirs et obligations entre époux prévu aux articles 212 et 215 prévoyant que « les époux se doivent mutuellement

aurait d’abord une société. Chapitre préliminaire : la notion de famille Les liens du sang ne constituent pas un seul mais deux groupes distincts quoique concentriques : * La famille conjugale * Le lignage ou parenté Les relations entre ces 2 cercles sont délicates car les progrès de l’un provoquent l’affaiblissement de l’autre. Mais la famille peut également recouvrir une autre notion puisqu’elle peut être clanique et dans ce cas elle regroupe des personnes liées par des liens de

Chapitre 1 : l’évolution jusqu’au Code Civil 1- Le droit romain. Le droit romain a influencé différents pays méditerranéens qui ont conservé cette influence. Il distingue la famille c’est-à-dire les personnes qui vivent sous le même toit (époux, enfant, serviteurs). A côté il y a la Gens (tous les descendants par les hommes d’un ancêtre commun). 2- Epoque médiévale A l’époque médiévale la famille est marquée par la personnalité des lois et les coutumes barbares. Par exemple chez les

forte du mari et du père. C'est le droit intermédiaire qui rompt avec cette conception, au nom des idéaux de liberté et d'égalité. L'autorité du père est affaiblie, le divorce est autorisé. Dès 1804, le code civil va réaliser une œuvre de compromis entre la conception classique de la famille issue de l'ancien droit et celle beaucoup plus moderne de la révolution. Selon les concepts classiques, le code civil réaffirme l'autorité du père et du mari, qui est considéré comme le seigneur et le maître. L'épouse