Le Diable amoureux

différents tant sur le plan physique que psychologique. * Preuve : « La jeune fille, qui s’appelait Marie Joyelle, n’était ni riche ni belle. » et « Le pauvre garçon était un monstre de laideur. » « Son oncle, qui l’avait recueillie, était un pauvre diable qui se trouvait à la tête d’une nombreuse famille et qui ne demandait pas mieux que de s’en débarrasser en la mariant au premier venu ; et autant, pour lui, valait Macloune qu’un autre. » et « […]Macloune était adoré par sa mère[…] » * Explication :

morte, je suis libre! Je puis donc boire tout mon soûl. Lorsque je rentrais sans un sou, Ses cris me déchiraient la fibre. Autant qu'un roi je suis heureux; L'air est pur, le ciel admirable... Nous avions un été semblable Lorsque j'en devins amoureux! L'horrible soif qui me déchire Aurait besoin pour s'assouvir D'autant de vin qu'en peut tenir Son tombeau; — ce n'est pas peu dire: IVRESSE métaphoore! Je l'ai jetée au fond d'un puits, Et j'ai même poussé sur elle Tous les pavés de

scène étudiée est l'acte 5, scène 5, où nous allons relever les vérités révélées en s'appuyant sur l’héroïsme de Cyrano et sur la relation qu'il entretient avec Roxane. La relation entre ces deux personnages est ambiguë, Cyrano est éperdument amoureux alors que Roxane, elle, est insouciante voire opportuniste. Roxane ne prête pas du tout attention à Cyrano quand celui entre dans cette scène. L'auteur nous le montre dans de nombreuses didascalies : « Roxane travaille à sa tapisserie » elle

grande idée est que l’amour rend meilleur. Platon et Socrate ont une perception assez proche de l’amour, même si Platon axe principalement l’amour sur le beau. La pensée de Socrate diffère un peu de celle de Platon, puisque pour lui quand on est amoureux, on aime aussi tout le monde. Socrate définit l’amour comme un sentiment qui rend meilleur et surtout qui n’est pas unique à une seule personne. Socrate a une dialectique ascendante de l’amour ; c’est sur cette dialectique que les pensées de Platon

Au XVIIe siècle, la damnation dans les Enfers est encore redoutée, la part du diable structure encore les esprits. Elle est évoquée en de nombreux vers. Ainsi Madame Pernelle accuse « visites », « bals », « conversations » d'être « du malin esprit toutes inventions» (v. 152). Selon les propos de Tartuffe, les vêtements et les accessoires des femmes sont assimilables aux « parures du diable» (v. 210). La croyance au diable va jusqu'à se faire ressentir à travers le lexique: dans l'exclamation de Dorine

emportement envers lui même . Tout d'abord , nous remarquons que dans ce monologue règnent la souffrance et la colère . Ces deux sentiments sont liés au même fait : Agnès a trompé Arnolphe . « Elle a feint d'être telle à [ses] yeux , la traîtresse / Ou le diable à son âme à soufflé cette adresse » vers 4 et 5 . Nous remarquons aussi que le mot « traîtresse » , en parallèle avec le mot « traître » , est souvent employé , comme dans le vers 7 : « Je vois qu'il a , le traître , empaumé son esprit » . Cela fait

l’auteur évoque le temps du bonheur de façon très positive et pittoresque : les champs lexicaux du bonheur : « heureux » (vers 2) de l’amour « amoureux » (vers 6) du printemps « primevères » (vers 11) et de la lumière « soleilleux » (vers 10) sont très présents. D’autre part, il associe le printemps à l’amour par le vers 6, où il écrit « Le printemps pour être amoureux ». L’image donnée par Aragon est celle d’un couple uni comme il le montre par les métaphores qu’il emploie : « Comme la vitre pour le

se poème l’auteur se décrit sous la forme d’un animal. « La Coccinelle » est un bref poème, extrait du recueil Les Contemplations publié en 1856 et écrit par Victor Hugo. Ce poème raconte l’apprentissage amoureux vécu par l’auteur. Le chat Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux ; Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux, Mêlés de métal et d’agate. Lorsque mes doigts caressent à loisir Ta tête et ton dos élastique, Et que ma main s’enivre du plaisir

veux qu'on se lie"..."mes conquêtes amoureuses". Dom Juan se présente et va bien s'affirmer comme "un épouseur à toute mains", "un grand seigneur méchant homme". Son amour pour Elvire est fini; il a une nouvelle conquête en vue. Eloge du libertinage amoureux, de l'inconstance. Il se décrit lui même : autoportrait du libertin : ses armes de séduction : l'éloquence, la parole. I. L'éloge de l'inconstance a. la nécessité pour lui d'être inconstant 1. une critique de la fidélité Etre fidèle, c'est:

l'émotion, s'attachant à décrire la variété et la complexité des sentiments qui accompagnent la passion amoureuse. 2) Le dramaturge Malgré cette gloire précoce, il connut une infortune relative avec ses pièces de théâtre, telles la Quittance du diable, qui ne put être représentée, et la Nuit vénitienne (1830), qui fut un échec retentissant, auteur doué et sûr de son talent, il fut cependant profondément blessé; il décida alors que les pièces qu'il écrirait seraient désormais destinées non pas à