Le Dialogue Amoureux

princesse … en serait changée ») on voit la rencontre des deux protagonistes qui est caractérisée par amihania qui s’évolue peu à peu du silence au dialogue. « L’affliction », constitue ici le point du départ de la conversation qui suit, thème inventé par M. de Nemours. Puis, (« Les grandes afflictions … de l’un et de l’autre ») on voit le dialogue entre ces deux personnes, la ou M. de Nemours en gardant la partie majeur de ce-ci. En faisant un statement (« Les grandes afflictions et les passions

ensuite devenir positif et prendre un second sens plus général : il décrit un certain type de dialogue amoureux (dont les comédies de Marivaux offrent le modèle), il renvoie à une certaine façon de vivre l’échange sur le mode de la galanterie et du badinage. C’est dans ce sens large que le mot est de nos jours le plus couramment employé pour désigner une atmosphère enjouée et spirituelle, des rapports amoureux fondés sur le jeu et la séduction, Réception de la pièce : à la fois bien reçue du public

comportement physique de l’hypocrite : gestes et intonations de la dévotion, de la compassion, du repentir, du désir amoureux, du calcul. * comparer les deux portraits de Tartuffe faits par Dorine (I, 4) et Orgon (I, 5) avec sa 1ère apparition sur scène (III, 2)==> les attentes concernant un personnage * le 1e entretien entre Tartuffe et Elmire : mise en espace et en gestes du désir amoureux et de sa justification (III,3) * la scène de repentir (III,6) : un retournement de situation * une

dans l'action. C'est l'éducation qui nous apprend les codes de la sociabilité, l'obéissance aux règles, la prise en compte de l'autre. Les raisons sont celles énoncées dans le corpus : faciliter les relations, créer les conditions de l'échange, du dialogue, élaborer un idéal de sociabilité tel que celui de l'honnête homme au 17ème siècle. Celui-ci sait faire preuve de mesure et de retenue en société. Il connaît les usages, il a des lumières suffisantes sur tous les sujets pour entretenir une conversation

jusqu’au jour où, dans la rue, il rencontra un jeune homme en larmes. Acte I, Scène II : Les fourberies de Scapin Octave raconte à Scapin qu’en l’absence de son père, il s’est marié à Hyacinte, et que son ami, Léandre, fils de Géronte, est tombé amoureux d’une jeune égyptienne, Zerbinette. Comparaison des deux extraits : Tout d’abord, on découvre des points communs qui portent sur la forme : - Dans les deux extraits, on retrouve des personnages appartenant à la même catégorie

Poèmes saturniens en 1866 qui est son premier recueil puis par la suite Fêtes galantes en 1869. Verlaine fait parti des principales figures du symbolisme, mais aussi marqué par le courant romantique, il reprend la mélancolie, la solitude, le thème amoureux et le goût de la nature. Le poème "Nevermore" appartient plutôt au style romantique par le souvenir d'un premier amour. L'évocation de la femme aimée et idéalisée et le cadre spatio-temporel de ce poème sont les éléments typiquement romantiques.

Le Malade Imaginaire-Présentation-Nous sommes ici à l’acte III de cette pièce qui en comprend 3. Comme toujours chez Molière la pression dramatique augmente d’acte en acte. Depuis le début de la pièce le moteur de l’action est l’obsession d’Argan et celle-ci n’arrête pas de s’aggraver. Il ne peut plus envisager de vivre hors de cet environnement immédiat du médecin. Ceux-ci - les Diafoirus- sont d’ailleurs très présent dans cet acte II mais en lien directe avec l’intrigue médicale se

peur de l'échec amoureux. Est-ce en rapport avec le titre ? Mot anglais mis à la mode au 19e siècle, notamment par Baudelaire, et qui désigne ce qu'on appellerait aujourd'hui la dépression. ''Spleen", on retrouve le même titre de poème que chez Baudelaire. Mais en dehors du titre nous retrouvons aussi la poésie du temps fatal, d'une destinée inexorable, bonne part de malheurs ainsi qu' une fatalité à la fois extérieure, et intérieure. Verlaine énumère dans ce poème, des dialogue avec elles comme

de sa fille. V.H remplace le voyage physique vers la tombe par un voyage spirituel. Double séparation avec sa fille et avec la France. L'énonciation marque un refus radical de la réalité. Pronoms personnel Je et tu = pronom de la présence + dialogue comme si elle était physiquement présente. Verbes de mouvements, enjambement. => Voyage. Forme poétique = 3 quatrains car déséquilibre. Forme + dynamique. Rappelle la marche. V.H brise l'unité traditionnel en créant un enjambement. Il combat le

mettant aux prises des protagonistes confrontés à un conflit dramatique dans un même espace/temps. On peut identifier quatre prototypes d’identification : le duel, le duo, le dialogue et le monologue. * Le duel se traduit par un conflit d’intérêt, conflit de valeur, un conflit interpersonnel. Ca se traduit par le dialogue contradictoire, tendu, des répliques brèves, incompréhension, malentendu, quiproquo, divergences constatées. Physiquement le duel se traduit par l’éloignement, l’évitement du