Le Dilemme Du Prisonnier

leurs stratégies réciproques, est devenu stable. Nash a démontré que tous les résultats trouvés avant lui conduisaient à des équilibres stables dans son sens. ------------------------------------------------- Dilemme du prisonnier classique La première expérience du dilemme du prisonnier a été réalisée en 1950 par Melvin Dresher et Merill Flood, qui travaillaient alors pour la RAND Corporation. Par la suite, Albert W. Tucker la présenta sous la forme d'une histoire : Deux suspects sont arrêtés

Troie et donc de la victoire des Grecs. L’action se déroule en vingt-quatre et en seul lieu, respectant ainsi la règle de l’unité de temps et de lieu. Pour la résumer en quelques phrases, Oreste est envoyé par les Grecs pour réclamer à Pyrrhus son prisonnier Astyanax, le fils d’Andromaque. Mais le roi est amoureux de cette dernière et craint de la mécontenter en livrant l’enfant, et lui propose donc de l’épouser en échange de garder l’enfant. Cependant Pyrrhus est légalement fiancé à Hermione dont Oreste

équilibres de Nash. Cependant, il est clair que le choix (12,12), rapportant 10 à chaque joueur, est bien meilleur pour les deux que les équilibres précédents. D'autres exemples célèbres sont ceux du problème des marchands de glaces ou du dilemme du prisonnier. Les exemples d'équilibre non-optimaux sont parfois évoqués pour montrer que si chaque acteur économique raisonne individuellement selon son intérêt, alors il peut en résulter une situation pire que si les acteurs se concertaient3. Unicité

alexandrin et d’un hexasyllabe - un quatrain à rimes croisées, composé d’un décasyllabe, d’un hexasyllabe et de deux décasyllabes. Lecture - Reprise de la question et annonce du plan : Dans cette scène, un des plus célèbres du Cid, Rodrigue exprime le dilemme qui l’anime dans un discours tout à la fois argumentatif et lyrique. Nous verrons dans une analyse linéaire comment la structure des stances reproduit les étapes du combat intérieur de Rodrigue, de la stupeur à la prise de décision. I – L’expression

des individus rationnels maximisent leur satisfaction dans le cadre de stratégies et pourquoi cette maximisation individuelle ne conduit pas toujours à l’optimum collectif. L’exemple le plus célèbre de la théorie des jeux est celui du « dilemme du prisonnier » (A.W. Tucker) Un juge a sous sa garde deux suspects qui auraient commis un crime ou un délit ensemble. Il les interroge séparément, et ils ne peuvent communiquer entre eux. Le juge parle individuellement à chacun des inculpés et leur dit

Dilemme du prisonnier Prenons deux individus arrêtes par la police, accusés du même crime. Ils sont isolés dans deux cellules distinctes, sans aucune possibilité de communication. Ils sont confronté à deux choix possibles : avouer ou nier. En effet, ils vont se rendre compte que la peine infligé va dépendre à la fois de leur choix personnel, mais aussi de leur présumé collaborateur. Voici un tableau explicatif : Prisonnier B Prisonnier A

des autres. Il imagine deux prisonniers pour illustrer son exemple. Le dilemme du prisonnier. Prisonnier 1Prisonnier 2 | Dénoncer l’autre | Se taire | Dénonce l’autre | Chaque prisonnier prend 20 ans | Prisonnier 1 condamné à perpétuité / Prisonnier 2 est libre | Se taire | Le prisonnier 2 est condamné à perpétuité/Prisonnier 1 libre | Les deux prisonniers sont condamnés à 10 ans | Pour les prisonniers, il y a beaucoup de risque de se taire. Un prisonniers à toujours intérêt à dénoncer

pour entrainer une réponse/action. Il est lié a une perception directe/semblable. (concept du dressage = répétitions, habitudes). Il n’a pas la capacité de promesse, de se projeter dans le temps. Pas d’anticipation. Ordre du jeu avec le stimulus. Prisonnier du temps présent sans stimulus. Ligne 8 à 11 chez l’Homme : L’Homme peut se souvenir sans stimulus. L’Homme va produire une pensée avec le stimulus (conscience et intelligence), rationnaliser, anticiper = marque de la pensée. Il peut modifier

se décide pas à l’aimer. Mais celui-ci va recevoir l’ordre des Grecs de leur livrer le fils d’Andromaque. Dans la scène 7 de l’acte III, Pyrrhus espère donc gagner les faveurs de celle-ci en sauvant son fils. Celui-ci la confronte alors à un cruel dilemme, l’épouser ou voir son fils mourir. On assiste donc, dans cette scène, à une longue tirade de Pyrrhus posant un ultimatum à Andromaque, lui promettant ainsi un destin tragique. Face à la froideur d’Andromaque, celui-ci se montre menaçant. Mais en

La tragédie ● Les bases : Genre théâtral dont l’origine remonte au théâtre grecque antique (Ex : Eschylle, Demostene) - se cractérise par une intrigue fondée sur un dilemme raison/passion (celle-ci est destructrice et prime toujours) - destin et fin tragique des personnages, décidés par le fatum - fonction didactique (Instruire par des références mythologiques ou instructions, par exemple) - les dieux décident pour les personnages dans Phèdre - aristocratie toujours représentée, présence de confidents