Le Discours De Julien Sorel Dans Le Rouge Et Le Noir

dingue. b. C’est merveilleux, formidable, superbe, je suis ravi. c. C’est saisissant, prodigieux, je suis aux anges, cela me comble. La tristesse a. J’ai le bourdon, le cafard ; je déprime. b. Je suis triste ; j’ai de la peine, du chagrin, des idées noires. c. Je suis peiné, attristé, chagriné, affligé. La peur a. J’ai les jetons, la trouille, la pétoche. b. J’ai peur ; je suis inquiet, angoissé, affolé. c. Je suis effrayé, alarmé ; j’éprouve une grande crainte, de la frayeur ; j’appréhende ; je redoute

la raison pure : « Si le cinabre [ métal de couleur rouge] était tantôt rouge, tantôt noir, tantôt léger, tantôt lourd, si un homme se transformait tantôt en un animal en un animal, tantôt en un autre, si dans un long jour la terre était tantôt couverte de fruits, tantôt de glace et de neige, mon imagination … ne pourrait jamais trouver l’occasion de recevoir dans la pensée le lourd cinabre avec la représentation de la couleur rouge. » (Critique de la Raison Pure, Analytique des concepts, chapitre

titre d’un livre de Digeon) - création des Cercles catholiques d’ouvriers (Albert de Mun, René de la Tour du Pin) - création de l’Ecole libre des sciences politiques par Emile Boutmy 1872 - service militaire obligatoire pour tous (cinq ans) - discours de Léon Gambetta sur les « couches nouvelles » (à Grenoble) - Thiers : « la République sera conservatrice ou ne sera pas » (le régime « qui nous divise le moins ») 1873 - les dernières troupes allemandes quittent la France - la loi Rivet est

image: I'image, c'est ce dont je suis exclu. Au donc, A contraire de ces dessins rébus, où le chasseur est secrètement dessin6 dans le fouillis d'une frondaison, je ne suis pas dans la scène: I'image est sans énigme, (R Barthes, Fragments d'un discours amoureux, Pan's, Seuil, coll. -Tel Quel-, 1977, p. 157). -- -W Jouve, l'Effet-personnage dans le mrnan, op. cit, p. 46. permettent au lecteur de construire l'image du personnage. L'image personnage se développe également dans l'esprit

7 Les pouvoirs du discours Bossuet, Sermon du mauvais riche V. Hugo, Discours sur la misère TEXTE 2 Voltaire, Candide D’UN TEXTE A L’AUTRE 2 A. Césaire, Discours sur le colonialisme ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Voltaire, Candide TEXTE 3 Beccaria, Des délits et des peines D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 R. Badinter, Discours à l’Assemblée nationale ANALYSE D’IMAGE W. Ronis, Rose Zehner TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS M. Luther King, I have a dream J.-J. Rousseau, Discours sur les sciences et

d’intrusion ou d’agression. Il est vrai que, dans la vie courante, on évite généralement de trop fixer les gens parce que cela crée un malaise. Jadis, les hommes pouvaient même se battre pour un regard trop appuyé dans leur direction. Comme Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir, de Stendhal, qui exigea un duel d’un homme qui l’avait regardé d’un drôle d’air alors qu’il entrait dans une taverne. Ce type de réaction émane d’un conditionnement ancestral qui perçoit le regard fixe comme une forme de défi ou de

d’intrusion ou d’agression. Il est vrai que, dans la vie courante, on évite généralement de trop fixer les gens parce que cela crée un malaise. Jadis, les hommes pouvaient même se battre pour un regard trop appuyé dans leur direction. Comme Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir, de Stendhal, qui exigea un duel d’un homme qui l’avait regardé d’un drôle d’air alors qu’il entrait dans une taverne. Ce type de réaction émane d’un conditionnement ancestral qui perçoit le regard fixe comme une forme de défi ou de

l’art ne m’épate en rien, je me refuse à le décrire par manque de vocabulaire suffisamment corsé. Cette lampe, je ne pourrai en signifier mon aversion sans craindre par la suite, d’en assumer mes paroles et de la jeter à la poubelle… Il ferait noir… et dans le noir, j’ai peur. ********* Je branche la lampe de travail rose, posée près de mon porte-plume sombre, près de mes mains pâles, mon carnet aux pages ocre et les mots ne viennent pas ! Quand viendra donc le signe de l’inspiration 

donnaient quelque chose d’enfantin. Il poussait du bout des lèvres une espèce de sifflement continu. L’air sérieux de Pécuchet frappa Bouvard. On aurait dit qu’il portait une perruque, tant les mèches garnissant son crâne élevé étaient plates et noires. Sa figure semblait tout en profil, à cause du nez qui descendait très bas. Ses jambes prises dans des tuyaux de lasting manquaient de proportion avec la longueur du buste ; et il avait une voix forte, caverneuse. Cette exclamation lui échappa

que je voudrais envisager, dans cette étude, à propos d’Hernani : je ne vais pas principalement m’intéresser à la rhétorique du discours amoureux, ou à l’image idéalisée de doña Sol que produisent les discours des trois protagonistes masculins, même s’il en sera bien sûr aussi question, mais plutôt examiner la façon dont la question amoureuse s’insère dans les discours idéologiques, c’est-à-dire moraux et politiques, produits par la pièce. Car si, de toute évidence, Hernani propose une certaine