Le Distrait

verbes d’actions. ○ Au vers 7 il y a un inversement qui place au début du vers et met en relief « bouffon favori » renforcé par l’adj. Qualificatif. Le bouffon du roi incarne le divertissement, son rôle est de faire rire et même lui « ne distrait plus »v8. « Ne distrait plus » est m.e.valeur par un rejet qui montre le caractère irréversible de son ma-être. La négation montre que tout espoir est réduit à néant. • Il y a l’utilisation d’un terme très général au v10 avec « Et les dames d’atour » ce qui

pouvoir jouir de sa liberté en tant que femme, il allait falloir ruser, et profiter du silence imposé pour « observer » et « réfléchir ». Elle est consciente de sa condition, et de sa jeunesse (champ lexical de la superficialité : « étourdie, distraite, distrait, sans intérêt », ce qui nous laisse admiratifs quant à sa capacité à prendre du recul, malgré son jeune âge. Preuve d’une vive intelligence (qu’elle met d’ailleurs en avant avec « je n’avais à moi que ma pensée »), elle sait ne pas confondre

se demander si l'artiste est vraiment détourné de la réalité? Lui, le distrait, celui qui est « hors » de la société, n'a-t-il pas une vue d'ensemble sur notre société? Et ne voit-il donc pas mieux que quiconque la réalité et n'est-il pas le mieux placé pour nous le montrer? Malgré ce que l'opinion commune en dit, l'artiste est certainement celui qui est le plus ancré dans la réalité. En effet, c'est un rêveur, un distrait qui prend le temps de regarder la réalité. C'est donc lui, qui à travers

Commentaire composé Le nom de la RoseUmberto EcoCommentaire composé Introduction Umberto Eco est un spécialiste de critique médiéval. Umberto Eco parle ici d’un livre empoisonné par un abbaye nommé Jorge afin que toute personnes lisant le livre meurt. C’est grâce au moine Guillaume de Baskerville qui à mener l’enquête que cette histoire a été découverte. Ce livre est la seconde partie de la Poétique d’Aristote , où le philosophe considéré comme une autorité incontestable

décrit de manière extrêmement détaillée, jusqu’à l’aspect de ses yeux. « [C’est] une petite femme toute ronde (…) sa figure est plutôt bien que mal ; ses yeux, dont l’un, c’est le droit, est plus haut et plus grand que l’autre, sont pleins de feu et distraits (…) » De plus, le physique de la Mère Supérieure est si lié au caractère de celle-ci (ou inversement), qu’à la peinture de son physique succède naturellement la peinture de ses attitudes puis de ses « qualités » morales. Le rythme est volontairement

nuit, dans une campagne déserte, le compagnon de voyage d’une femme dont je ne connaissais pas l’existence au lever du soleil. Elle avait accepté ma conduite sur le nom que je portais, et marchait avec assurance, s’appuyant sur mon bras d’un air distrait. Il me semblait que cette confiance était bien hardie ou bien simple ; et elle devait être en effet l’un et l’autre, car, à chaque pas que nous faisions, je sentais mon cœur, à côté d’elle, devenir fier et innocent. Nous commençâmes à nous entretenir

étaient sûres ; quatre des plus jeunes lui soutenaient que c'était un amas d'absurdités, une source de friponneries, propres à tromper les gens crédules et amuser les enfants. Le plus âgé d'entre nous, Flamand d'origine, fumait sa pipe d'un air distrait, et ne disait mot. Son air froid et sa distraction me faisaient spectacle à travers ce charivari discordant qui nous étourdissait, et m'empêchait de prendre part à une conversation trop peu réglée pour qu'elle eût de l'intérêt pour moi. Nous étions

ils restaient quelques instants, se contemplant comme des enfants, dans les yeux ; ne pouvant plus ce séparés. Cette élégante créature ne le laissa point indifférent, comme troublé. Noire de monde, l’église était envahie par la foule bruyante et distraite. Les gens se bousculaient, ils étaient serrés les uns contre les autres. Ils finissaient par ce calmé, puis, chacun ayant regagné sa place, le marié, d’une démarche nonchalante approchait. Le jeune marié gardait la tête haute, signe d’orgueil ; on

enfant martyr et de sa famille, les Lepic. Cet enfant est surnommé Poil de Carotte à cause des cheveux roux, et de ses taches de rousseurs (de la même couleur). Il est sans cesse humilié, victime d'une mère méchante, autoritaire, aigre, d'un père distrait. Ce garçon à tous les défauts aux yeux de sa mère: sournois, cruel avec les animaux, sale. Mais aussi les corvées sont toutes pour lui. Au fil du livre on decouvre un enfant sensible qui rêve d'être un jour aimé. Cet enfant est Jules Renard. Cette

TRAITS 1 2 3 4 Réfléchi /Impulsif Patient/Impatient Manuel/Intellectuel Tenace/Facilement découragé Concentré/Distrait Réaliste/Utopiste Sensible/Indifférent Souple/Intransigeant Réservé/Bavard Organisé/Brouillon Susceptible/Indulgent Buté/Ouvert Coléreux/Flegmatique Logique/Intuitif Prudent/Fonceur Inquiet/Décontracté Critique/Conformiste Serieux/Fantaisiste x x x x x x x x x x x x x x x x