Le Domaine des dieux

spectateur antique ressent une peine véritable, le moderne une souffrance vraie. Ce qui les sépare est le concept et la présentation de la culpabilité. La peine des Grecs serait "douce et profonde" qui se déverse sur la souffrance du héros auquel les dieux ont donné ce destin tragique. Pour les modernes, la culpabilité nous est transparente: nous nous jugeons et nous souffrons. La culpabilité tragique est héritée du péché originel. Accepter cette culpabilité est un acte de piété, où se mêlent innocence

d'hommes, Contre la terre entière, lance son terrifiant troupeau Humain dans deux directions ; pour diriger Son infanterie et sa flotte, il s'appuie sur de solides, De fermes commandants, lui qui est né d'une pluie D'or, lui, un mortel égal aux Dieux ; Avec, dans ses yeux, le regard Bleu sombre d'un dragon sanglant, Ses bras et ses vaisseaux innombrables, Il presse son attelage de Syrie, Conduisant, contre d'illustres Lanciers, l'Arès des archers. 50 Personne ne saurait face À ce

épée,un foureau,une cotte de maille et des primevères. On lui associe le chien et le vautour car les grecs les lui offraient en sacrifice. 1.MYTHE Arès est l'un des trois enfants de Zeus et d'Héra. Il appartient au pantgéon des douze grands dieux del'Olympe. Cependant,sa place dans le mythe est relativement limitée. Il apparâit principalement dans des récits de guerre ou de combats,au premier chef de la guerre de Troie,ou il se range aux côtés des troyens,sans raisons particulière. Il est

avant Jésus-Christ. Des temps anciens à nos jours, cet art a exercé une influence considérable sur la culture de nombreux pays en particulier dans les domaines de l'architecture et la sculpture. L’art de l’empire Romain s’et aussi largement inspiré des modèles Grecs. Les Grecs ont une vision du monde anthropocentrique, c’est-à-dire que les dieux sont à l’image humaine et qu’une harmonie en découle de la contemplation de l’homme. On peut distinguer trois grandes périodes dans l’évolution de l’art

implique des difficultés à résoudre, le plus souvent d’ordre théorique. Cependant dans la question que l’on nous pose ; on parle de questions ‘’profondes’’. Le mot profond désigne plusieurs choses dans différent domaine. En mathématique, la profondeur est la 3ème dimension spatiale. Dans le domaine maritime, cela représente la distance entre la surface de la mer et le fond. En philosophie, la profondeur est associée à la pensée. C’est une opposition à la superficialité. Cependant pourrait-on associé ces

deuxième puis un troisième acteur furent introduits par Eschyle, puis par Sophocle. Cette origine religieuse restera ancrée dans les représentations, présentant souvent des scènes rituelles (de deuil, de sacrifice..) et des chants en l'honneur des Dieux. Un autel, dédié à Dionysos, se trouve au milieu de l'orchestra, là où se trouve le chœur. Ainsi, les pièces de théâtres de l'époque présentent souvent des sujets liés à la mythologie grecque : le cycle troyen, la famille des Atrides, celle des

Le domaine du symbolique Paradoxe : des symboles mathématiques, des danses symboliques, objets imaginaires et symboliques. Les artistes créent des objets matériels avec de l'imaginaire. (Musique est matérielle) La forme d'une intention (comme les 300 pages du livre). Des choses idéelles, imaginée ou imaginaire, rendu visibles. Dieu (deus) en Europe, vient d'une racine indo-européenne vient de diwad qui voulait dire la lumière. Possible assimilation avec la lumière. 4300 dieux en Mésopotamie…

né le Minotaure. Ce feu qui brûle son corps, Phèdre l’appellera "Vénus toute entière à sa proie attachée", car la déesse de l’amour poursuit Phèdre de sa haine et œuvre incessamment à la perte de sa famille. Une présence continuelle des Dieux Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours défendues et maudites et pour finir de la mort. D’ailleurs Phèdre

distinctes : Tout d’abord Vénus, sortant de son coquillage. Ensuite, les dieux du vent. Enfin, la nymphe. Vénus : Elle est la déesse de la beauté et de la fécondité. La position de ses cheveux est significative : en effet les cheveux blonds et longs représentent la provocation sensuelle. Ils sont également dénoués, ce qui montre une force psychique de la divinité. Enfin, la couleur blonde est une couleur solaire. Les dieux : Zéphyr, dieu du vent, souffle afin de pousser la conque vers le rivage

Sophocle, d’Euripide, d’Eschyle et la comédie d’Aristophane qui avant Aristote ont fait de la Grèce un patrimoine culturel. Aristote ayant bien remarqué cela, considère celles-ci, de ces prédécesseurs comme un art qui faisait l’éloge des divinités et des dieux à cette époque. C’est pourquoi, pour changer la donne, relativement aux nouvelles méthodes artistiques, il faut : «  de l’unité de pensée et d’écriture, soumise aux règles de l’universalité et de vraisemblance, qui laissent peu de place