Le Dormeur Du Val Dénonce La Guerre

 Poème 1 : Le dormeur du val : C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait

Séquence 3 : dénoncer la guerre ? SÉQUENCE 3 : DÉNONCER LA GUERRE ? Objet d’étude : Genres et formes de l’argumentation. Cette séquence doit permettre de consolider les connaissances relatives aux genres littéraires (séquence 1), d’offrir un prolongement thématique à la séquence 2 grâce à l’argumentation, de préparer une étude ultérieure plus efficace des genres et formes de l’argumentation aux XVIIè et XVIIIè siècles (séquence 6). Le rôle de l’implicite dans le texte littéraire occupera une place

sa mère, l’école, l’église et la bourgeoisie. Cette révolte est aussi métaphysique. Son professeur Izambard l’encourage à écrire des poèmes. Il représente le père et l’ami. 1870- Guerre contre Prusse. Izambard part au front, il se sent seul et fuit à Charleville. « Le dormeur du Val », critique la mort dans la guerre. « Le Mal » critique le Catholicisme. Il espère changer le monde grâce à la poésie. Verlaine, agé de 10 ans de plus, lui invite à Paris. Au Cénacle Rimbaud écrit le bateau ivre

sa pensée ou son art au service d’une cause. Être engagé correspond à être mis par son engagement au service d’une cause. En effet, le poète, de même que l’écrivain, le chanteur, le peintre,… peut, dans un contexte historique précis (guerres de religion, guerres mondiales, périodes de misère sociale,…) décider de mettre son art au service d’une cause. On parle alors de poésie engagée.           La poésie engagée est toujours ancrée dans la réalité, dans l’Histoire. On trouve donc souvent des

|Étudier le thème de la guerre |Relever, identifier le champ lexical de la guerre. |Chapitre III | | | | | |Étudier la description qui met en valeur l’atrocité de la | | | | | | |guerre.

"divertissement".Ou allier la beauté d'un texte à une dénonciation, comme dans un poème. Cette remarque pourrait être dite dans une troisième grande partie. Ici je pense surtout au théâtre (notamment à la satyre) et,pour ce qui est du poème,c'est "Le Dormeur du Val" de Rimbaud qui me vient en premier. Mais je ne sais même pas si on peut vraiment parler d'engagement dans ces cas là? La question en présuppose une autre : l'auteur doit-il s'engager (au détriment de la forme de l'oeuvre) ? Son engagement

ou pour faire passer un message, une idée, un opinion à travers leurs poèmes. Cet exemple s’illustre très bien avec le poème Le dormeur du Val de Rimbaud dans lequel l’auteur veut dénoncer les horreurs et les absurdités de la guerre. On peut aussi citer le recueil Les châtiments de Victor Hugo et notamment La reculade. Dans les cinq poèmes de la reculade, il va dénoncer et critiquer durement l’empereur Napoléon III. Il veut à tout prix faire passer son message et cela nous montre bien que la poésie

mortels qui n’a du langage qu’une utilisation quotidienne, prosaïque, utilitaire ; il peut donc et doit prêter sa voix à ceux à qui on a confisqué la parole, à ceux qui ne savent pas, ne peuvent pas protester : enfants , peuples opprimés, ….Pour dénoncer les conditions inhumaines du travail des jeunes enfants au XIXème siècle, Hugo « donne » -au sens littéral- la parole à ces pauvres victimes : « Ils semblent dire à Dieu : - Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les

L'autre, qu’aux grands périls tels a pu se soustraire, Qui périt pour la moindre affaire. » Pourtant après réflexion on comprend que Lafontaine utilise des métaphores pour pouvoir citer le roi de France et les paysans dans ces fables et ainsi pouvoir dénoncé les actes abusifs du roi, Lafontaine met en garde le roi sur la force des plus miséreux. Donc le message principal est enrobé par une histoire au sens parfois plus drôle que le message voulant être exprimé. Dans cette première partie on montre

pas la datte exacte de création de ce poème, mais nous connaissons le contexte dans lequel l’auteur, Jean-Ogier de Gombauld a vécu. Nous savons qu’entre le XVI et le XVII, la France a connu de nombreux troubles au niveau politique, surtout dut aux guerres et aux alternances de régimes. Dans le même temps, le « Grand Siècle » voit apparaitre un développement au niveau littéraire et culturel, avec le début des salons par exemple. Les sonnets de cette époque sont caractérisés par leur abondance de figures