Le Déclin De La Classe Ouvrière

née du déclin des institutions traditionnelles au premier rang desquelles on trouve le système politique, les liens de parenté la religion et la communauté locale. Suite à la Révolution française, une nouvelle classe politique (libéraux) va remplacer les trois ordres de l’Ancien Régime qu’étaient la Noblesse, le Clergé et Le Tiers Etat, ce qui affecte du même coup les liens historiques entre le pouvoir, la richesse et le statut, trois éléments que Max Weber posera au fondement des classes sociales

Les traits majeurs de la France à la Belle Époque (~1890/95 à 1914) Une période prospère 1- Dynamisme de l'économie 2- Transformation et transitions des classes sociales 3- La démocratie libérale cependant marquée par des instabilités et des limites 1- Fuite des capitaux 2- Un législation sociale incomplète et limitée 3- Les limites de ce système économique et politique menant la France vers un avenir menacé 1- La formation des blocs 2- Des conflits d’intérêts et des

(croquet) Caractéristiques : - Ils se développent au sein des couches paysannes puis ouvrières - Ils obéissent à un calendrier agricole et religieux - L’espace de la pratique n’est pas précisément défini - Ils engagent force et violence physiques - Règles non uniformisées ⇨ Des pratiques antérieures aux gymnastiques et aux sports modernes qui perdurent jusqu’à la fin du XIXème. Révolution industrielle = déclin des pratiques des jeux paysans. 2. Une triple révolution : des transformations

supérieurs, renforçant la confusion de la notion avec celle de classe moyenne. De manière générale, le terme de petite bourgeoisie peut être assimilé à celui de classe moyenne supérieure. Peuvent être qualifiés de « petits bourgeois » certaines catégories de travailleurs indépendants, comme les gérants de petits commerces. Cette définition, prise dans un sens restrictif, fait de la petite bourgeoisie une catégorie sociale en déclin continu dans les pays industrialisés au cours du XXe siècle, du

autour du concept de classe sociale et l'histoire de toute société jusqu'à nos jours n'a été que l'histoire de lutte des classes affirme le sociolgue Karl Marx. On dit souvent qu'avec le temps les gens changent et bien sur, la société évolue avec. Donc forcément, elle est aujourd'hui très différente de ce qu'elle pouvait être auparavent. Il est logique que nous nous demandons ce qu'il peut rester de ses classes sociales aujourd'hui en France. Pour cela, nous allons voir que ces classes là sont toujours

groupe. On distingue traditionnellement le gpe d’appartenance et de référence. I) Quels sont les outils et les théories qui nous permettent d’analyser la structure sociale ? A. Une analyse conjoncturelle de la société : Karl Marx & les classes sociales Marx (1818-1883) : philosophe, éco, sociologue, il est allemand, met en avant une société communiste. Œuvres : « capital » et « manifeste du parti communiste » Dépendance Bourgeoisie |

pas, mais le travail change de nature dans le cadre de la proto-industrialisation et permet une augmentation des revenus et de la consommation, en particulier en Angleterre. Il existe un effet d’imitation d’une classe sociale par la classe immédiatement inférieure, et l’existence d’une classe intermédiaire en Angleterre entre les très riches et la masse des pauvres permet la diffusion des comportements de consommation. La thèse de la proto-industrie rejoint les observations de Smith, qui constate

écrivain réaliste. La comédie Humaine (écrit entre 1826 et 1850) devait représenter l’ensemble de la société de son temps. A travers ses 2000 personnages, Balzac dépeint l’ensemble des classes sociales (paysannerie => Les paysans, aristocratie => La duchesse de Langeais), à l’exception de la classe ouvrière. Il décrit la géographie française, surtout la province délaissée par le roman (Angoulême => Illusions perdues) Balzac écrit qu’il désire peindre les espèces sociales comme Buffon

Fiche de lecture : C. Bachmann, N. Le Guennec, Violences urbaines, ascension et chute des classes moyennes à travers cinquante ans de politique de la ville, Hachette, 2002 « La lutte urbaine/la lutte pour le droit a la ville est une lutte contre le pouvoir capitaliste qui se nourrissent au dépense des autres. L’urbanisation capitaliste a une tendance de détruire toutes les espaces communes qu’elles soient des espaces sociales ou politiques. Alors la résistance et la lutte doivent avoir une

plutôt sur les catégories ouvrières (la société de consommation conduirait-elle à leur embourgeoisement ?) ou paysannes (leur diminution et les transformations de ce métier entraîneraient-elles la disparition d'une classe sociale ?). • Dans les décennies suivantes, l'attention s'est portée sur les classes moyennes. On parle ainsi de « moyennisation » de la société française, à entendre non comme un nivellement général mais comme un recentrage progressif sur les classes moyennes. Dans cette perspective