Le Déisme Des Lumières

Le Monde des Lumières La Morale : Le christianisme se donne la prétention de détenir toute morale. Ce que Voltaire critique : « On ne peut trop répéter que les dogmes sont différents, et que la morale est la même chez tous les hommes qui font usage de leur raison. » La fin de l’homme ne se trouve plus dans la transcendance mais sur Terre parmi ses semblables. L’idéal moral consiste maintenant dans l’aménagement de la vie terrestre et non dans la préparation de l’au-delà. Le bonheur individuel

En même temps, reprochant à L’Encyclopédie son excessive prudence, il se lance dans la rédaction de son Dictionnaire Philosophique Portatif, œuvre de combat, véhémente et militante, qu’il veut plus directement efficace pour diffuser l’esprit des Lumières. Sa vocation : « Ecraser l’infâme ». Contre la Bible et la religion chrétienne, il condamne le fanatisme religieux dans un registre polémique (vient du grec « polemos » qui signifie « guerre »). 3)Problématique : Comment Voltaire dénonce-t-il le

l’architecture. Enfin, sur le plan culturel, de grands moyens son consacré à la recherche et à la science qui sont très développés. Cette civilisation atteint une forme de perfection et une partie de l’idéale de la philosophie des Lumières qui y est rassemblé : -Monarchie libérale -Déisme -Développement des sciences et techniques -Urbanisme et urbanité. Cela correspond tout à fait aux aspirations de Voltaire, cependant/mais, il n’est pas dupe come le souligne son humour : →c’est une utopie et pas un programme

I. Les Lumières : l’esprit des Lumières 1) Pourquoi la dénomination « Lumières » ? (1) Ce mot désigne de nouvelles idées traduites par la métaphore de la lumière qui évoque le passage de l’obscurantisme à une pensée et une action libre. 2) Quelle est la devise des Lumières ? (2) « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! » 3) Quelles sont les particularités de ce mouvement ? (3), (4) Ce mouvement n’a pas dépassé les frontières de l’Europe, mais à contribué à l’expansion de la

Grand philosophe des Lumières, Denis Diderot a apporté son érudition débordante et ses qualités novatrices dans de nombreux domaines. Il s’est illustré aussi bien dans le roman, le théâtre, la critique que l’essai. Mais cet homme curieux et avide de connaissance est surtout resté dans la postérité avec la formidable entreprise de l’Encyclopédie, sur laquelle il a travaillé sans relâche pendant plus de 20 ans. Il avait la certitude que seul le savoir pouvait faire triompher la raison et ainsi faire

passions. -cependant, Rousseau ne se complait pas dans cette mélancolie, dans la dernière partie, il décrit une expérience qu’il a faite, une autre sorte de jouissance se rapprochant de l’extase. -« être incompréhensible »→Dieu. Rousseau exprime le déisme (affirmation de l’existence d’un Dieu sans s’appuyer sur des textes sacrés ni dépendre d’une religion révélée, prône une religion naturelle). Il arrive à Dieu par la raison. En réalité sa religion est le théisme. Sa religion est « naturelle »→cohérence

ayant des origines différentes. Ces hommes sont entrain de souper et ont pour langue commune l’arabe, ils confrontent leurs croyances =>situation sociale favorable au débat philosophique, à l’échange des idées, comme le pensent les philosophes des Lumières, amateur de conversations de salon et de cénacle. b) Le choix des personnages Voltaire choisit de représenter les plus grandes civilisations - classique (tous admirent civilisations antiques=sagesse) : Egyptien, Chaldéen, Grec - orientales

tout ce qui est au-delà du donné expérimental (tout ce qui est métaphysique) est inconnaissable. athéisme [ateism] n. m. • 1555; de athée   ♦ Attitude ou doctrine de l'athée. ⇒ incroyance, irréligion, matérialisme. « la voie ouverte au déisme, c'est-à-dire à un athéisme déguisé » (Bossuet). « le monde de ceux qui ne croient à rien, pas même à l'athéisme » (Péguy). — Spécialt Doctrine des personnes qui nient l'existence d'un Dieu personnel (⇒ panthéisme). concordat [kTkCYda] n. m.

brute en homme’       - La formation intellectuelle (lecture, argumentation de l’Ingénu)       - Education sociale, mondaine et sentimentale : règles de bienséances       - A la fois regard et porte-parole de Voltaire : sensibilité, rationalisme, déisme et humanismeLes armes littéraires : le genre du conteLe détour de la fiction       - Plaisir de la lecture romanesque       - Séduction de l’exotisme       - ‘Emblème de la vérité’ : la forme des personnages stéréotypés => fragilité de la condition

DM de français : LES LUMIERES 2/ Recherche documentaire : Contextes » Questions : Le contexte politique et social 1 )Le siècle des Lumières couvre en France les années 1715 à 1789, car c'est en 1715 que meurt le roi Louis XIV (dit le roi Soleil), son règne s'achève. En 1789, c'est le début de la révolution. 2)Parmi les différents souverains qui se sont succédés de 1715 à 1789, il y a donc eu Louis XIV de 1654 à 1715, puis la Régence de 1715 à 1723 (avec Philippe d'Orléans jusqu'en 1718)