Le Désespéré Gustave Courbet

domaine des arts, en France, à côté d'un néo-classicisme officiel et académique (allant parfois jusqu'à l'art pompier), on retrouve les grands courants esthétiques du siècle comme le romantisme avec Delacroix ou Berlioz et, plus tard, le réalisme avec Courbet et, à la même période, en musique Gounod et Bizet. Dans les dernières années du Second Empire s'impose peu à peu l'Impressionnisme auquel on peut rattacher Manet, Monet ou Renoir, pour ne citer que les plus grands. La fin du siècle est plus diverse

Le romantisme va être naître à travers de quelques artistes qui ont été des élèves de David. Le romantisme est un mouvement intellectuel et artistique européen qui né au milieu du 18eme siècle en réaction au rationalisme des lumières fondé sur le culte de la raison. Cette pensée s’appuie sur des nouvelles idées philosophiques qui insistent sur l’importance de dialogue avec le monde de la sensibilité. Cette pensée va connaitre une accélération avec la révolution qui donne naissance au sentiment d’individualisme

Le registre réaliste oppose au temps de l’aventure et de l’épopée les rythmes du temps familier. 1.2.1 – Le temps du travail.   L’écrivain confronte ses personnages au temps quotidien et répétitif du travail, qui est aussi celui du lecteur. Gustave CAILLEBOTTE (1848-1894), Les Raboteurs de parquet, Huile sur toile 100 cm x 145 cm, 1875, Paris, musée d’Orsay 1.2.2 – Le temps des événements familiaux. Les naissances, les mariages, les enterrements, les réunions de famille qui ponctuent une vie

l'objet de son amour ! » Un vœu qu'exauça la déesse de Rhamnonte. Alors qu’il chassait, Narcisse vint près d'une source pour apaiser sa soif, mais tomba amoureux de son reflet. Sans s'en douter, il se désire lui-même ; il est l'amant et l'objet aimé. Désespéré de ne pouvoir toucher son amour, Narcisse dépérit et meurt de faim et de fatigue. A l’endroit où il est mort a poussé une fleur, le narcisse. Lien avec le poème : Les deux hommes sont très ressemblants, ils contemplent leur image, et ont un goût

mentir et mentir aux autres : Du fait divers au film : - l’Adversaire, Nicole Garcia , 2002  Le Bovarysme : Madame Bovary, Flaubert Le cauchemar : Le Horla, Maupassant Johann Heinrich Füssli, Le cauchemar (1781) Edouard Munch, Le cri Gustave Courbet, le désespéré DS : 1h : EP : Devons-nous considérer le rêve comme une perte de temps ? BTS Blanc Document 1: Jean-François Dortier, « Quand je serai grand… », Sciences humaines, n°234, février 2012 Document 2 : Paul Auster, Brooklyn follies, Actes

la montagne, la tempête, le soir, la lune, le désert, l’automne et la ruine est abondamment exploitée par Rousseau dans La Nouvelle Héloïse, Lamartine avec Le Lac, Chateaubriand avec Mes joies de l’automne et sont même peints, notamment par Gustave Courbet ou Delacroix. De cette Nature naît un sentiment nouveau : l’association d’un spectacle à un sentiment souvent triste (Le Lac). L’homme entretient donc un rapport étroit avec la Nature. L’écrivain imagine, doit respecter la morale, c’est

emblématiques des punks, dont le seul avenir était le chômage. Pendant longtemps, et encore aujourd’hui, on a vu les punks comme des gens violents, mais ce n’est qu’un cliché, en réaction au «peace and love», et parce que les punks étaient enragés et désespérés de leur situation. Le mot « punk » est un mot américain qui veut dire moche, minable, il représente bien leur état d’esprit nihiliste. Tout ce qui était beau ou harmonieux était interdit en tant que punk. Ils pensaient que de toute façon, le monde

auto-portrait où l’artiste à travers cet auto-portrait montre non seulement au monde comment il se perçoit physiquement mais aussi comment il se perçoit psychiquement c’est à dire selon son esprit, sa pensée. Tel que le fait Gustave Courbet avec son auto-portrait Le Désespéré , en 1845, il montre de premier abord son physique, comment il se voit lorsqu’il se regarde dans un miroir. Néanmoins, il dévoile également comment il se sent à l’intérieur, l’artiste montre en peignant cette

y rencontre entre| |1858 et 1862 les peintres Eugène Boudin et Jongkind qui lui donnent le goût de la peinture en plein air. Il va à | |Paris étudier et rencontre Renoir, Sisley, Bazille. Il admire Manet et travaille à Trouville aux côtés de Courbet. | |En 1871, à Londres, il découvre Turner. C'est à cette époque qu'il commence à admirer et collectionner des estampes| |japonaises. Il se fixe à Argenteuil entre 1872 et 1878 et commence à travailler sur l'eau, dans une barque aménagée| |en atelier

lithographe Gustave Courbet (1819-1877), qui fut l' initiateur du mouvement réaliste français du XIXe siècle.. L'évocation de cette nature champêtre et de cette vie rustique nous fait songer également à l'école de Barbizon qui fut particulièrement inspirée par le romantisme de la nature, et contribua au développement du réalisme dans la peinture paysagiste française. Ses artistes peignaient les animaux avec le souci constant transmettre le caractère et l'humeur de leurs sujets (Corot, Courbet, Millet