Le Fantome De L Avare

mépris et de défi combinés. Synonyme: insolence. • Et il a l'arrogance de me faire des reproches! - autorité (autoritaire*) : Pouvoir de se faire obéir, respecter ou d'imposer la confiance. • Il a de l'autorité sur ses employés. - avarice (avare*) : Attachement excessif à l'argent. • Être d'une avarice légendaire. - avidité (avide*) : Désir immodéré d'accumuler des richesses. • L’avidité et la cupidité de l'avare. - bassesse (bas - basse) : Manière d'agir indigne et méprisable

sacs de pralines, les soldats de plomb rangés en bataillon dans leur boîte, les ménageries sentant le bois verni et les magnifiques pantins habillés de pourpre et de clinquant. Le petit Wolff, lui, savait bien, par expérience, que sa vieille avare de tante l’enverrait se coucher sans souper ; mais, naïvement, et certain d’avoir été, toute l’année, aussi sage et aussi laborieux 8 que possible, il espérait que le petit Noël ne l’oublierait pas, et il comptait bien, tout à l’heure, placer

Souviens-toi que pour prix de mes efforts heureux, Tu promis d'exaucer le premier de mes voeux. - 38 -Dans les longues rigueurs d'une prison cruelle 1070 Je n'ai point imploré ta puissance immortelle. Avare du secours que j'attends de tes soins Variante éd. 1677 et 1687 : v.1071, "Avares" au lieu de "Avare". Mes voeux t'ont réservé pour de plus grands besoins. Je t'implore aujourd'hui. Venge un malheureux père. J'abandonne ce traître à toute ta colère. 1075 Étouffe dans son sang ses désirs effrontés

fera de ce finale le tableau le plus éloquent de la misère et de la détresse des forçats.  Le Paon (1874) Pavline (le Paon) un ancien serf, est devenu majordome au service d’une grande maison à Saint-Pétersbourg. Par ordre de la propriétaire, femme avare, au cœur dur, Pavline enlève les fenêtres dans les appartements lorsque le locataire n’a pas payé son loyer d’avance. Il se trouve ainsi amené à le faire dans un appartement où vivent deux femmes et une enfant, qui bientôt se retrouvent à la rue. A

et la foi (5 février 1936) Petits maux (5 décembre 1928) Douleurs et malheurs (15 août 1926) Méchants (7 mai 1929) Les négociateurs (1er août 1934) Fous (2 juillet 1921) Naissance de nos pensées (4 mai 1933) Vertus de l'esprit (1er juillet 1935) Fantômes (23 septembre 1921) Psychologues (22 février 1930) Fausses perspectives du progrès (28 octobre 1921) Deux morts (1er mai 1933) Alain, Esquisses de l’homme (1927) 5 Chapitre LXXXVI. Chapitre LXXXVII. Chapitre LXXXVIII. Chapitre LXXXIX. Chapitre

de charité, il ne se rebutait pas, même devant un refus, et il trouvait alors des mots qui faisaient réfléchir. Une fois, il quêtait pour les pauvres dans un salon de – 23 – la ville. Il y avait là le marquis de Champtercier, vieux, riche, avare, lequel trouvait moyen d’être tout ensemble ultra-royaliste et ultra-voltairien. Cette variété a existé. L’évêque, arrivé à lui, lui toucha le bras. – Monsieur le marquis, il faut que vous me donniez quelque chose. Le marquis se retourna et répondit

il s'agissait de charité, il ne se rebutait pas, même devant un refus, et il trouvait alors des mots qui faisaient réfléchir. Une fois, il quêtait pour les pauvres dans un salon de la ville. Il y avait là le marquis de Champtercier, vieux, riche, avare, lequel trouvait moyen d'être tout ensemble ultra-royaliste et ultra-voltairien. Cette variété a existé. L'évêque, arrivé à lui, lui toucha le bras. – Monsieur le marquis, il faut que vous me donniez quelque chose. Le marquis se retourna et répondit

il s’agissait de charité, il ne se rebutait pas même devant un refus, et il trouvait alors des mots qui faisaient réfléchir. Une fois, il quêtait pour les pauvres dans un salon de la ville. Il y avait là le marquis de Champtercier, vieux, riche, avare, lequel trouvait moyen d’être tout ensemble ultra-royaliste et ultra-voltairien. Cette variété a existé. L’évêque arrivé à lui lui toucha le bras : – Monsieur le marquis, il faut que vous me donniez quelque chose. Le marquis se retourna et répondit

alerte et puissant a achevé de me guérir. Certes, la solitude est dangereuse pour les intelligences qui travaillent. Il nous faut, autour de nous, des hommes qui pensent et qui parlent. Quand nous sommes seuls longtemps, nous peuplons le vide de fantômes. Je suis rentré à l’hôtel très gai, par les boulevards. Au coudoiement de la foule, je songeais, non sans ironie, à mes terreurs, à mes suppositions de l’autre semaine, car j’ai cru, oui, j’ai cru qu’un être invisible habitait sous mon toit. Comme

il s’agissait de charité, il ne se rebutait pas, même devant un refus, et il trouvait alors des mots qui faisaient réfléchir. Une fois, il quêtait pour les pauvres dans un salon de la ville. Il y avait là le marquis de Champtercier, vieux, riche, avare, lequel trouvait moyen d’être tout ensemble ultra-royaliste et ultra-voltairien. Cette variété a existé. L’évêque, arrivé à lui, lui toucha le bras : Monsieur le marquis, il faut que vous me donniez quelque chose. Le marquis se retourna et répondit