Le Fardeau de l'homme blanc

L’ensemble des métropoles européennes est favorable à l’entreprise coloniale. Pourquoi ? La colonisation est une entreprise légitime de « l’homme blanc ». L’idée de Kipling, un écrivain anglais selon laquelle « le fardeau de l’homme blanc » est d’initier et d’éduquer les peuples dits « primitifs » s’est répandu à travers tout le continent européen. Ce fardeau est un devoir une tâche dont il doit s’acquitter. Cette idée à servit de principal argument pour coloniser. On colonise sous prétexte que

autrefois le modèle par excellence n’est plus, au contraire il apparaît aujourd’hui comme repoussant. Mais pourquoi ? L’ignorance, l’obscurantisme, la régression intégriste, montée du terrorisme ? Après le « fardeau de l’Homme blanc » de Kipling, il faudrait considérer le « sanglot de l’Homme blanc ». Forcé de reconnaître ses erreurs (deux guerres mondiales, massacre hitlérien et stalinien, Hiroshima), la société occidentale plonge dans le remord : contestation 68-tarde, arrivée des « gauches repentantes »

traditionnelles Dans les colonies mise en place de « l’indirect rule » c'est-à-dire semblant d’autonomie (notamment au niveau des pouvoirs locaux des tribunaux et religieux) mais sous domination du pouvoir britannique. Le royaume uni y assure le fardeau de l’homme blanc tel qu’il est décrit dans le fameux poème de (rudyard kipling) c'est-à-dire la mission qui consiste à guider les peuples vers la civilisation par opposition aux colonies blanches civilisées ce sont des colonies de couleur à civiliser ou

comme si ils portaient tous un lourd fardeau. Le fardeau est représenté par l’homme squelette qui repose au-dessus de leur tête. Le squelette pose sa main sur la famille comme si il allait les emporter et les rejoindre. L’homme squelette représente le désespoir, la fin de vie et la mort proche. Une main tenant un fusil représente pour la famille, la violence, la guerre et la souffrance. Les couleurs = Les couleurs qui apparaissent dans ce tableau sont le blanc , le orange , le noir le rouge et le

Georges Clemenceau réplique au discours de Ferry et discrédite la théorie selon laquelle il y a des « races supérieures ». Kipling, en 1899 dans « Le fardeau de l’homme blanc » déclare « ô blanc reprend ton lourd fardeau… La haine de ceux-là que tu surveilles. » Une forte image négative se ressent, en dépit de quelques belles paroles, les droits de l’Homme ne sont pas respectés. Par exemple, des spectacles d’hommes et de femmes africains (celui de la Venus hottentote) sont donnés à Paris, ils sont observés

que l'on a bâti. I- Pquoi & cmt se partager le monde ? 1) Pquoi la colonisation ? - Motivations morales: l'Europe se donne une mission civilisatrice. Jules Ferry : « devoir de civiliser les races inférieures » ; Kiplin : « le fardeau de l'homme blanc ». - Motivations politiques : recherche de domination pour des États en pleine expansion. La France trouve dans le développement de son empire colonial une forme de revanche sur l'Allemagne. - Motivations économiques : les Européens

ciel s'en abreuve Et de ces cieux vieillis, l'aube sort aussi neuve Que l'aurore du jour, qui sortit du Très Haut. Et des pleurs de la nuit, le sillon boit la pluie, Et les lèvres de fleurs distillent leur encens, Et d'un sein plus léger l'homme aspire à la vie Quand un esprit divin vient englober ses sens. Notre terre éblouie du rayon qui la dore, Nage plus mollement dans l'élastique éther, Comme un léger nuage enlevé par l'aurore Plane avec majesté sur les vagues de l'air.

Introduction : L’Homme qui rit est un ouvrage de l’écrivain français Victor Hugo, né en 1802 et mort en 1885. Passant de la poésie au roman historique puis aux pièces de théâtre, Victor Hugo est la plus grande figure du mouvement romantique en France. C’est un écrivain engagé qui a plaidé la cause des Misérables non seulement dans le roman qui porte son nom, mais aussi dans L’Homme qui rit. Cet ouvrage fut publié en 1869, ici, un personnage est présent, Gwynplaine, un homme repoussant sans vraiment

visages expriment la tristesse, la peur, la frayeur, et l’épuisement. Les corps sont courbés, ils se tiennent mutuellement comme si  ils portaient tous un lourd fardeau. Le fardeau est représenté par l’homme squelette qui repose au-dessus de leur tête. Le squelette pose sa main sur la famille comme si il allait les emporter et les rejoindre. L’homme squelette représente le désespoir, la fin de vie et la mort proche. Une main tenant un fusil représente pour la famille, la violence, la guerre et la souffrance

considérés comme inaptes au travail par les médecins nazis SS. L'expression de leur visage traduisent l'epuisement, la faim, la peur et la tristesse. Ils sont courbés comme si ils portaient un lourd fardeau mais se tiennent pour montrer qu'ils ne se separeront pas. Le fardeau est représenté par l’homme squelette qui repose au-dessus de leur tête, il pose sa main sur la famille comme si il allait les emporter avec lui. Cet homme represente la mort proche, le desespoir, le sort qui est reservé a cette