Le Fauteuil hanté

présence constante du surnaturel et du fantastique donnent au roman sa coloration singulière. L’expression « réalisme magique » définit l’ambition de García Márquez, dont ce roman est l’œuvre phare, celle qui rassemble tous les thèmes l’ayant longtemps hanté. Le romancier colombien abolit les frontières entre le visible et le caché, la réalité et le rêve. La description et la narration se distinguent à peine, et traduisent la moiteur et la sensualité d’une terre cernée par la forêt vierge et par le fleuve

Idée Amorce :Bien que le thème de la mort, vraie ou fausse, soit souvent un motif par excellence à la tragédie, il hante également les œuvres comiques, et la fausse mort connaît un grand succès dès le XVIème siècle dans les comédies italiennes. Molière s’est à nouveau inspiré du théâtre italien, cette fois à l’effet d’un dénouement surprenant et efficace pour son public français.(Vraie mort de Molière)Circonstance de la mort de MolièreMolière n'a pas pu abjurer sa profession de comédien avant sa

leurs livres s'ensommeillent, leurs pianos sont fermés Le petit chat est mort, le muscat du dimanche ne les fait plus chanter Les vieux ne bougent plus leurs gestes ont trop de rides leur monde est trop petit Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil et puis du lit au lit Et s'ils sortent encore bras dessus bras dessous tout habillés de raide C'est pour suivre au soleil l'enterrement d'un plus vieux, l'enterrement d'une plus laide Et le temps d'un sanglot, oublier toute une heure la pendule d'argent

repassant la scène sans trop comprendre. Quand je rentai chez moi il devait être autour de 4h du matin. Deux voitures de police étaient garées devant la maison. Une fois à l’intérieur, je trouvai ma mère en larmes. Quand elle m’aperçut, elle sauta du fauteuil et m’étreignit. Au même moment, un policier, M.Vasquez, me posa plusieurs questions pour savoir où je me trouvais et qui je me trouvais et avec qui j’étais. Après un moment, un homme très bâti apparut dans l’entrebâillement de la porte. C’était

plus leurs livres s’ensommeillent leurs pianos sont fermés Le petit chat est mort le muscat du dimanche ne les fait plus chanter Les vieux ne bougent plus leurs gestes ont trop de rides leur monde est trop petit Du lit à la fenêtre puis du lit au fauteuil et puis du lit au lit Et s’ils sortent encore bras dessus bras dessous tout habillés de raide C’est pour suivre au soleil l’enterrement d’un plus vieux l’enterrement d’une plus laide Et le temps d’un sanglot oublier toute une heure la pendule d’argent

nourrit d’eau et de lait et qui vit comme lui sous son toit. Il se sent piégé, gouverné, impuissant. Il est persuadé que quelqu’un possède son âme et la gouverne. Cet être invisible l’empêche d’aller marcher et de sortir ; il reste seul dans son fauteuil, terrifié. Mais un jour, il se sent libre et il s’échappe. Il va à la bibliothèque de Rouan. Mais au moment de remonter dans sa voiture, alors qu’il veut dire « à la gare », il s’entend crier « à la maison ». L’être l’avait retrouvé.

actes, tous mes mouvements, toutes mes pensées. Je ne suis plus rien en moi, rien qu’un spectateur esclave et terrifié de toutes les choses que j’accomplis. Je désire sortir. Je ne peux pas. Il ne veut pas, et je reste, éperdu, tremblant, dans le fauteuil ou il me tient assis. Je désire me lever, me soulever, afin de me croire maître de moi. Je ne peux pas ! Je suis rivé à mon siège ; et mon siège adhère au sol, de telle sorte qu’aucune force ne nous soulèverait. Puis, tout d’un coup, il faut que

Sélection de textes fantastiques écrits par les élèves de 4e ChaplinSélection de textes fantastiques écrits par les élèves de 4e Chaplin Bonne lecture… Le Fauteuil à massages par Chloé GUERIN J'étais tellement fatiguée que je m'étais assise sur mon fauteuil et me reposais tranquillement en me faisant masser. Soudain, une voix retentit : « Voulez-vous changer d'option ? » Apeurée, je me suis levée et ai crié. Je n'osai plus faire un pas. J'étais toute seule chez moi ; je ne voyais pas

L'ardoise Quelque part, au milieu de la forêt, était perdue une grande maison. Au premier coup d’œil, certains auraient tout de suite pensé à une maison hantée, d'autres encore à une église désertée ou à un monastère. En fait cette maison appartenait à une petite famille qui y passait toutes ses vacances, tous les ans. Les parents, Eric et Cindy était tout simplement parfaits, ils voulaient le meilleur pour leur fils Jack. Malheureusement, ceux-ci sont morts, attaqués par un animal en forêt

Pénélope écrite pour Juliàn. 4 → 189 à 196 : Daniel se lève très tôt, prend le tramaw pour se rendre dans la maison de Pénélope Aldaya, il n'y trouve que le concierge (Remigo) qui lui dis qu'ils n'habitent plus là et que pour lui la maison est hanté. 5 → 196 à 204 : Une femme arrive a la librairie, pour voir le père de Daniel, Merceditas elle n'aime pas Fermin et lui non plus ne l'aime pas. Un professeur, Mr Anacleto arrive et raconte que l'horloger s'est fait arrêter par l'inspecteur