Le Fauteuil hanté

touché au livre , il est temps de m’y mettre je decide donc aujourd'hui de lire 8 chapitre et je pense que j’en ferais 8 autre demain. Je commence donc au chapitre 17 pour terminer au chapitre 24. Dans le chapitre 17, on apprend que Laurent se sent hanté par le spectre de Camille , il souffre d’insomnie,il sent énormément de douleur dans sont cous, l’endroit ou Camille l’a mordu. « Maintenant ses idées s'attachaient à Camille, avec une fixité effrayante. Jusque-là, le noyé n'avait pas troublé les nuits

deuxième version). Dans cette version, le narrateur, qui souffrait de troubles mentaux, raconte sa folie et la terreur qu'il subissait. Le conte se présente sous la forme d'un journal intime écrit à la première personne du singulier, celui d'un homme hanté par son double, invisible, un être surnaturel qui agit à son insu ; le Horla, dont il perçoit chaque jour la présence de plus en plus obsédante. Cette folie le conduira à de nombreuses actions insensées, lui-même ne comprend pas ce qui lui arrive.

après sa mort. (insert image du train de steve reich traduction voix allemande du spectacle carton titre : austerlitz, l'histoire d'une rencontre) L'ultime roman de Sebald retrace la quête d'identité d'un dénommé Jacques Austerlitz, un homme hanté par la recherche de ses origines. Les trois premières rencontres entre Sebald et Austerlitz se déroulent au cours de l'année 1967 en Belgique. La première, qui prend place à Anvers nous fait découvrir le personnage principal du roman éponyme.

interpréter un film. Sachant que le cinéma est le seul art projettant l'homme face à l'homme justement par ces deux aspects et par celui de la vraisemblance avec le réel l'auteur nous amène à la conclusion que ce qui immobilise le spectateur sur son fauteuil à "l'etat" d"esclave dans le noir ( donc soumit a l'écran) c'est la sensibilité ou l'impression de réel, intelligible pour la raison ( en outre le spectateur fait par d'une sensibilité face au cinéma même si celui sait que ce n'est pas réel. La différence

position embryonnaire, cette position qui représente le mieux l'état idéal de l'être, l'état de foetus dans le ventre maternel: l'être y est logé, nourri, protégé. Il est hors d'atteinte, le corps y a une position de calme et d'attente. Cette position hante l’œuvre de Beckett (Belacqua, Murphy, Estragon, l'enfant dans "Fin de Partie", A et B dans "Acte sans paroles II", O dans "Film", le quatrième groupe dans le "Dépeupleur", Henry dans "Cendres", le narrateur dans "Comment c'est", les corps dans les

de décrire le bon détail qui fournit un indice fiable. Ex : la chambre de d’Arthez peut paraître misérable et peu en accord avec une personnalité aussi riche. Cependant, parmi de nombreux signes de misères ( « un tapis de hasard », « un vulgaire fauteuil de bureau en basane rouge blanchie par l’usage », six mauvaises chaises »), un détail, celui des bougies en lieu et place des chandelles dont d’Arthez ne peut supporter l’odeur, révèle la noblesse de ce caractère : « cette circonstance indiquait

à Paris en 1810, est issu d’une famille aisée et cultivée. À partir de 1828, il fréquente le cénacle romantique. Il connaît un échec en décembre 1830 avec sa première comédie en prose, La Nuit vénitienne. Dès lors, il prône le « théâtre dans un fauteuil », c’est-à-dire un théâtre destiné à être lu (et non pas à être représenté sur scène). Il rencontre George Sand en 1833 et séjourne avec elle en Italie. Ils rompent définitivement en 1835. Musset a été bibliothécaire au ministère de l’Instruction

Dans cette version le narrateur, le narrateur qui souffrait de troubles mentaux, raconte sa folie et la terreur qu’il subissait. Le conte se présente sous la forme d’un journal intime écrit à la première personne du singulier, celui d’un homme hanté par son double, invisible, un être surnaturel qui agit à son insu ; le Horla , dont il perçoit chaque jour la présence de plus en plus obsédante. Cette folie le conduira à de nombreuses actions insensées, lui-même ne comprend pas ce qui lui arrive

* Phase de prise de conscience : « Besoin de revenir là où ça s’est figé, besoin de venir hanter ce lieu l’hôpital Granier ». Là le réalisateur est dans la recherche du défunt afin de résoudre une certaine incompréhension. «Un ans que je hante ce lieu, accepter de se perde, pour mieux se retrouver » , Reconstruction des événements, tentatives de compréhension des situations passée)s. * Phase de déstructuration ou de dépression : « Revenu ici pour de mauvaise raison, me mettre à l’abri

accroché à un mur. Deux personnages sont sur la scène. Clov d'abord, qui la parcourt de long en large, et qui fait office de valet et de fils adoptif au second protagoniste, Hamm. Ce dernier est aveugle et paraplégique, et il est assis dans un fauteuil placé au centre de la pièce. Il reste immobile. Au niveau de la gauche de l'avant-scène se trouvent deux poubelles, qui contiennent les parents de Hamm, les dénommés Nagg et Nell. Ils y vivent depuis qu'ils ont perdu leurs jambes après un accident