Le Fédéraliste

l’Angleterre en marge des premiers pas européens... Déjà, fin 1946, les unionistes autour de Churchill fondent le Mouvement pour l’Europe Unie. Ils voient l’Europe comme un moyen de faire prospérer leurs économies, et s’opposent ainsi à une vision fédéraliste, supranationale de l’Europe. Cette conception sera partagée par tous ses successeurs. Le 9 mai 1950, Robert Schuman présente son projet de CECA, « premières assises concrètes d’une fédéeation européenne. »Le Royaume-Uni refuse alors de participer

le citoyens actifs. Cette première tentative de décentralisation va faire long feu, à partir de 1792, il va y avoir une centralisation excessif des institutions et va donner lieu à un grand débat entre deux mouvements politiques : les girondins (fédéralistes) et les montagnards (jacobins). Dans cette opposition ce sont les jacobins qui vont l'emporter pour la concentration du pouvoir (centralisation), c'est la période également de la terreur avec la Convention et cette tentative de décentralisation

montre bien que, malgré la relative autonomie dont ils disposent, les Etats fédérés ont perdu leur souveraineté au profit de l’Etat fédéral. II. Prédominance de l’Etat fédéré auquel les membres ont en fait cédé leur souveraineté Le système fédéraliste est par définition un système dans lequel c’est l’Etat fédéral qui est investi de la souveraineté. Et ce principe se traduit par la supériorité de l’ordre juridique fédéral sur ceux des Etats fédérés, ainsi que par la capacité qu’a l’Etat fédéral

régulière, des emplois et la stabilité de la monnaie (Politique monétaire ) par des interventions qui limitaient les mécanismes du marché. Dans la pratique, les possibilités de relance de la demande étaient très limitées, en raison de la structure fédéraliste de la Suisse et de l'étroitesse du budget fédéral, de sorte que ces interventions eurent peu d'effets et on leur reprocha de n'être que des mesures symboliques. En 1947 encore, les articles économiques de la Constitution fédérale garantissaient

parti démocrate. Le second était à l'origine le défenseur des Etats. Puis, il s'est fait le promoteur de l'interventionnisme fédéral en matière économique et sociale, et récemment le défenseur des minorités. La parti républicain est à l'origine fédéraliste et anti-esclavagiste. De nos jours, il se fait le champion de la libre entreprise. Il faut aussi noter que les spécificités de chaque parti peuvent varier d'un Etat à l'autre. S'agissant des règles en matière électorale, ce sont les Etats fédérés

parti démocrate. Le second était à l'origine le défenseur des Etats. Puis, il s'est fait le promoteur de l'interventionnisme fédéral en matière économique et sociale, et récemment le défenseur des minorités. La parti républicain est à l'origine fédéraliste et anti-esclavagiste. De nos jours, il se fait le champion de la libre entreprise. Il faut aussi noter que les spécificités de chaque parti peuvent varier d'un Etat à l'autre.
S'agissant des règles en matière électorale, ce sont les Etats fédérés

» Emergent deux grandes tendances : fédéraliste (PB, F et Belgique) = renvoie à logique supranationale à laquelle les Etats abandonneraient une partie de leur souveraineté natio. Tendance unioniste = privilégier coop° intergvernementale, pas d’organismes supranationaux. Les deux tendances aboutissent à un compromis = création du conseil de l’E sauite u congrès de La hay (48). Création de 2 organes : une assemblée consultative qui reflète la dim° fédéraliste (idée d’un transfert de souveraineté à

« méthode d’intégration ». Quand on envisage dans l’absolu cette méthode d’unification, deux rythmes sont envisageables : une unification immédiate et totale une unification progressive (secteur par secteur). L’intégration totale et immédiate, les fédéralistes européen y avait songés, mais difficulté d’une identité politique de s’inclure dans une identité nationale. L’autre intégration secteur par secteur est plus facile. Difficultés des deux concepts : Qui dit coopération dit souverainisme ou « unionisme »

d'autres tranches de la société, plus ouvert : quotas) Il veut favoriser à la fois la liberté politique (acquis de la révolution) et l'industrialisation de l'Europe (acquis britannique). D'autres projets en Europe Projet de l’État fédéraliste européen de C. F. Krause (1781-1832) (disciple de KANT) Confédération européenne qui aurait pour noyaux la confédération des états allemands : Les états allemands en s'unifiant pourrait créer une dynamique d'unification à l’échelle de

envahie par Napoléon, et celui ci tentera d'imposer le modèle Français en 1798 avant que le modèle confédéral ne soit rétabli en 1803. On assiste à une opposition entre les cantons fédéralistes et les cantons favorable au maintient de la confédération. La constitution Suisse de 1848 donne finalement raison aux fédéralistes. Aujourd'hui la confédération Helvétique est une véritable fédération. Il n'existe plus de confédération dans le monde. L'union Européenne ne serait elle pas une nouvelle forme