Le Festin de pierre

une critique de la société de l'époque de BALZAC : Balzac a vivement critiqué la société de son époque, notamment la science et la bourgeoisie. Il portait sur l'aristocratie un regard envieux et a toujours été frustré de ne pas en faire partie. Pierre Barbéris définit l'œuvre comme « l’histoire d’une jeunesse douloureuse sur le fond d’une révolution trahie ou encore comme « le roman du désenchantement. » La Peau de chagrin est un roman historique qui retrace de manière très précise les grands bouleversements

en 1630 une pièce de Tirso de Molina , le Trompeur de Séville , le représente déjà sous les traits d'un grand seigneur infidèle en tout domaine . De même Cicognini en a fait un séducteur punis dans l'Invité de Pierre . Cette comédie de Molière , dont le sous-titre est le Festin de Pierre , semble aussi donner à la pièce un caractère sérieux mais l'évocation festive du banquer semble avoir un sens tragique . Par conséquent , sortant de Tartuffe le spectateur peut s'attendre à voir une pièce où le

Une pièce hybride Dom Juan a choqué. Par l’audace de ses thèmes, mais également par l’hybridité de sa forme. Atypique dans la création dramatique de l’époque, elle l’est également dans l’oeuvre de Molière. Dom Juan ou le festin de pierre réécrit un mythe largement mis au goût du jour par la littérature de l’époque dans une facture en rupture avec les conventions. La pièce mêle les registres, ne respecte pas la règle des unités, met en péril vraisemblance et bienséance. L’histoire « vécue » d’un certain

Le corpus que nous avons a étudié se compose de 3 textes : - le premier, celui de Tirso de Molina, l’Abuseur de Séville ou le convive de Pierre fut écrit en 1625. - Le second, Dom juan ou le festin de Pierre fut écrit par Molière en 1665. - Et enfin, le dernier extrait de Wolfgang Amadeus Mozart et L. Da Ponte , Don Giovanni fut écrit en 1787. Ces trois textes présentent un point commun à savoir qu’il s’agit de trois versions différentes de Dom juan. En premier lieu, les didascalies

Mlle Grilli Séquence 3 : Théâtre ; texte et représentation Premières Dom Juan ou le Festin de pierre de Molière Acte V, scène 5 et 6 : dénouement. A la fin de l’acte IV, Dom Juan a lancé un dernier défi à la statue du Commandeur en acceptant d’aller souper avec elle. Il fait en fait figure de condamné en sursis depuis l’acte III. Ce dénouement se fait attendre grâce aux multiples fuites de Dom Juan, dont l’habile conversion (Acte V, Scène 2) n’est en fait qu’hypocrisie qui précipite

successivement par ces états, que nous étudierons dans leur ordre d’apparition, fort bien délimités au fil du texte : nostalgie du festin ancien, années de débauche ou de dérèglement volontaire de tous les sens, conclusion de cet effort à la négativité, reconnaissance de l’Enfer et dédicace à Satan, en même temps qu’au lecteur. « Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. » : Jadis : plusieurs niveaux de sens. Biographique : le vert

commence à se faire connaître et que ses pièces rencontre un franc succès. Il est notamment connu pour avoir écrit L’Ecole des Femmes, Tartuffe, L’Avare, Le Misanthrope, Les Fourberies de Scapin, Le Bourgeois Gentilhomme ou encore Dom Juan et le Festin de Pierre. Il meurt chez lui en 1673 suite à un malaise alors qu’il interprétait Le Malade Imaginaire. C’est son grand-père maternel, Louis Cressé, qui emmenait Molière encore enfant aux représentations théâtrales, des farces pour la plupart, dans des

ouverte; En vain il a des mers fouillé la profondeur; L'océan était vide et la plage déserte; Pour toute nourriture il apporte son cœur. Sombre et silencieux, étendu sur la pierre, Partageant à ses fils ses entrailles de père, Dans son amour sublime il berce sa douleur; Et, regardant couler sa sanglante mamelle, Sur son festin de mort il s'affaisse et chancelle, Ivre de volupté, de tendresse et d'horreur. Mais parfois, au milieu du divin sacrifice, Fatigué de mourir dans un trop long supplice

sur la première page de ses monumentsQu’il a distribué la faim de l’esprit comme de la libertéÀ tous les peuples de la terre conviés solennellement au festin catholique.Ah ! ne suis-je pas assez divisé ? Et pourquoi cette bombeDans le jardin si patiemment gagné sur les épines de la brousse ?Pourquoi cette bombe sur la maison édifiée pierre à pierre ? Pardonne-moi, Sira-Badral [1], pardonne étoile du Sud de mon sangPardonne à ton petit-neveu s’il a lancé sa lance pour les seize sons du sorong [2]Notre

familles Tenorio et Ulloa sont muettes. Les noms des personnages ne sont pas fictifs, il a bien existé un Don Juan Tenorio, ou un Don Alonso Tenorio mais nulle part il n'est fait mention d'une disparition suspecte, encore moins du miracle de la statue de pierre qui s'anime pour punir un débauché. Si Don Juan est devenu un mythe, c’est parce qu’il représente une réponse aux questions du désir, de la loi du temps et de la mort. Le personnage échappe à ses fonctions et se créer ses propres valeurs, mais, à