Le Feu Henri Barbuss

La guerre en accusation Documents A – Henri Barbusse, Le Feu, 1916. B – Jean Giono, Refus d’obéissance, 1937. C – Pablo Picasso, Massacre en Corée, 1951. D – Jean Rouaud, Les Champs d’honneur, 1990. E – Louis Calaferte, C’est la guerre, 1993. m Vous répondrez d’abord aux deux questions suivantes. ■ Questions (6 points) 1. D’après l’ensemble du corpus, quels effets négatifs la guerre produit- elle sur les êtres humains ? (4 points) 2. Pour quelles raisons le présent de l’indicatif est-il

Sujet II : commentaire littéraire Henri Barbusse, Le Feu (1916) I- Questions d'observation 1) Le pronom « on » ici désigne l'ensemble des hommes présents sur le champ de bataille : indistinctement les alliés et les ennemis du camp du narrateur. Le « on ne tire pas » signifie « personne ne tire ». Dans l'expression « on ira voir » le on désigne les hommes du groupe auquel appartient le narrateur. 2) Les négations sont nombreuses dans le texte : « pas un bruit, on ne tire

1917 Serbie Italie Roumanie + Portugal Grèce + États Unis 6-13sept. La bataille de la Marne (4ans) 22 avr. 1915 Première utilisation de l'arme chimique 21fev. Bataille de Verdun 18 Déc. 1916 15 déc. 1916 Henri Barbusse reçoit le prix Goncourt pour le Feu 2 avr. 1917 Entrée en guerre des États Unis 17 avr. 1917 Première mutineries collectives dans l'armée française 8 janv. 1918 14points du président Wilson Mars-juillet 1918 Dernière offensive allemande

réaliste par la violence Un point de vue interne : le regard de Fabrice A. Les perceptions B. Réactions et sentiments du personnage Les regards sur Fabrice A. Le regard des personnages B. Le regard du narrateur LA n°7 : Henri Barbusse « Le Feu » Cet extrait nous immerge en plein champs de bataille A. Le lecteur assiste au combat, il est emporté par le mouvement → immersion B. La réalité du terrain C. La fraternité entre soldats Un univers dantesque/apocalyptique

sont les vieux briscards, nous les appelions les « engagés volontaires »... VUE DU FRONT ( exposition hôtel des invalides ) « On mourrait d'ennui en proie a la nostalgie de la femme. » Henri Barbusse, Le feu, 1916 Henri Barbusse est l'un des premeirs écrivains à avoir osé raconter la réalité de cette guerre, perçue de l'interieur. Les sentiments sensations et émotions des soldats sont évoqués ; il cite l'odeur des cadavres ou de multiples autres faits

Consultation (1928) Les Thibault : La Sorellina (1928) Les Thibault : La Mort du père (1929) Vieille France (1933) Les Thibault : l'Été 1914 (1936) Les Thibault : l'Épilogue (1940) Le Lieutenant-colonel de Maumort (1983) 2. Henri Barbusse a écrit « Le Feu » Joseph Kessel a écrit « L’équipage » Maurice Genevoix a écrit « Ceux de 14 » Erich Maria Remarque a écrit « A l’ouest rien de nouveau » Roland Dorgelès a écrit « Les croix de bois »  Ernst Jünger a écrit « Orage d’acier » Jean

Souvenirs de guerre * René Arnaud, "La guerre 1914 1918, opéra bouffe" (France Empire, 1964) * Blaise Cendrars, La Main coupée" * Pierre Chaine, "Les mémoires d'un rat" * Edouard Coeurdevey, Carnets de guerre 1914-1918 * Henri Desagneaux, journal de guerre * Max Deauville, La Boue des Flandres, Jusqu'à l'Yser * Maurice Genevoix, Ceux de 14 * Pierre Mac Orlan, Propos d'infanterie * Paul Lintier, "Ma pièce" (Plon) De langue anglaise * Vera Brittain

https://www.facebook.com/cprepaslivresgratuites http://cprepas.blogspot.com/ Victoire Feuillebois La Guerre en trente dissertations Les Perses, Eschyle De la guerre, Carl von Clausewitz Le Feu, Henri Barbusse Collection Parmi nos autres publications autour de la question au programme: France Farago, La Guerre, Armand Colin, 2014 Illustration de couverture: Antoine-Jean Gros, Le général Murat à la bataille d’Aboukir, 1806. Wikipédia, DR. Maquette de couverture: © Didier Thimonier © Armand

tout de même mieux aménagées que ses voisines françaises. Au niveau de l’organisation, il y avait trois types de tranchées différentes pour permettre aux soldats de se protéger. Une première ligne, la plus proche des ennemis, a pour fonction de faire feu et repousser l’ennemi. La deuxième ligne, située 100 mètres derrière, sert de base pour une éventuelle contre-attaque et propose des abris, quelques soins, etc... La troisième ligne plus loin derrière permettait essentiellement de stocker les ressources

MÉTHODE BAC : COMMENTAIRE DE DOCUMENT Henri Barbusse, Le Feu ............................................................................................................................................. 216 SYNTHÈSE • EXERCICES ................................................................................................................................................................................................ 217 CHAPITRE 10 Les bouleversements de l’Europe (1917-1924) .................