Le Film Ridicule

battre et lutter avec acharnement pour mettre en lumière ces mystérieux événements qui tourmentent la capitale égyptienne mais surtout la sureté de l’Etat français. II) Travail d’analyse 1) Analyse littéraire a) Thèmes et idées Ce film s'inspire de quelques films dits de référence à savoir : le premier James Bond, James Bond contre Docteur No, deux ou trois films d'Alfred Hitchcock, tel L'Homme qui en savait trop, La Mort aux trousses et Vertigo, ainsi que les films de la série OSS

dénonciation de la guerre sur le plan moral, mais la guerre d’Algérie n’est jamais clairement évoquée, ce qui perme à Genet de laisser espérer la victoire des personnages supposés Algériens, et surtout, il critique bien l’armée en la tournant en ridicule mais ne s’attaque pas à ses méthodes. On a pu voir qu’en 1961 Jean Genet écrit une pièce qui semble presque être conçue pour passer au travers des mailles resserrées du filet de la censure. L’auteur aborde le sujet le plus sensible de l’époque

Au XVIIème siècle • Critique politique déguisée en critique des moeurs, ex. : Molière – « Bourgeois gentilhomme » et « Tartuffe » 4. Au XVIIIème siècle • La subversion contre l’absolutisme, ex. : « L’Ingénu » de Voltaire; « Le Ridicule », film de Patrice Leconte, 1996 5. Au XIXème siècle • Liberté de la presse, développement de caricature et satire politique, ex. : « Le Grelot », « Tribulet », « Le Rire », « La Caricature », « La revue comique à l’usage des gens sérieux »

argumenter le sujet traité et expliquer notre choix. - Tout d’abord, qu’est ce qu’une caricature. Une caricature est un art visuel faisant une description comique ou satirique d'une personne par l'accentuation de certains traits qui peut être soit ridicules, soit déplaisants. La caricature est un art de se moquer d'une personne souvent en exagérant de ses défauts. Le caricaturiste déforme et exagère certains aspects significatifs. On retrouve généralement des caricatures dans la presse écrite, visant

parents, le frère et la sœur de Wladyslaw sont sélectionnés en 1942, il veut partir avec eux mais les policiers juifs, qui le connaissent comme musicien, l’en empêchent physiquement.  Il est également sans travail ce qui signifie la mort car les ridicules rations alimentaires ne sont distribuées qu’à ceux qui ont un emploi. Wladyslaw se rend à l’administration juive du ghetto et les fonctionnaires lui conseillent d’essayer de jouer pour les SS qui aiment la musique. Il refuse et trouve finalement

il va créer l’Illustre-Théâtre. En 1645, ils partiront en province suite à une accumulation de dettes et reviendront à Paris en 1658, donc 13 ans plus tard. Talentueux dramaturge, Paris va accueillir plusieurs de ses pièces dont « Les précieuses ridicules » qui va lui apporter la célébrité. Il jouera d'abord au Petit-Bourbon sous la protection du frère du roi (Louis XIV) avant d'être installé par celui-ci au Palais-Royal. Molière tentera à divers reprise de s'initier à la tragédie mais sans succès

internationale. Et remarquez que le cinéma, qui est l'art cosmopolite par excellence, présente déjà des différences ethniques immédiatement <discernables> à tout le monde, et les habitués de l'écran font immédiatement la différence d'un film américain et d'un film italien. De même l'esprit nouveau, qui a l'ambition de marquer l'esprit universel et qui n'entend pas limiter son activité à ceci ou à cela, n'en est pas moins, et prétend le <rester>, une expression particulière et lyrique de la nation

grand libertin, prit le pouvoir et une 1ère nouvelle commença. Ce fut une époque de libéralisme et de débauche: religion et vertu furent moquées, et remplacée par le culte de la volupté, l'abus de luxe, l'égoïsme, le cynisme et la corruption. (voir film de Tavernier "Que la fête commence!") * A partir de 1723, sous le règne de Louis XV les libertins firent place aux "petits-maîtres". Egoïstes et méprisants, ces neo-libertins se moquent des principes, de la vertue et de la religion. * En

au bas de la photo. Les intericonicités les plus macabres se bousculent selon les références de chacun. Gants de cuir noirs d’où semble dépasser l’ongle des pouces, veste noire, nœud pap noir et lunettes noires, l’uniforme est tout droit tiré d’un film d’horreur ou peu s’en faut : on peut y reconnaître à sa guise Nosferatu, Dr Mabuse, Dracula, Hannibal Lecter et autres vampires, ou même un croquemort. Quel inconscient oserait s’arrêter pour lui porter secours ? Était-ce bien la référence appropriée

dit : entre l’ « indiscrète odeur » de la grimace ou de la subite flatulence qui fait rire tout le monde (la basse comédie, les cas triviaux de la vie ordinaire – cf. Bigard, par ex.) et le « parfum délicat » de jeux de mots (le « spirituel » - cf. Ridicule (2000) de Patrice Leconte) et situations subtiles des plus grandes comédies (la haute comédie, les sommets de l’art comique – ex. scène de la La vie est belle (1998) de Bénigni), il y aurait une continuité et une forme d’identité, que Bergson va