Le Fils Du Titien

vase par exemple) La venus de Millo ( regarder ) Apollon du Belvédère : dieu de la poésie, de la beauté et de la musique. On va le reconnaitre grâce au carquois ( pochette dans laquelle on range les flèches) Hercule Farnèse ; demi dieu c’est le fils de Zeus avec une mortel On lui imposera 12 travaux il est reconnaissable grâce à sa massue en bois d’olivier et une peau de bête ( peau du lion de Némée ; son 1er devis) Le style classique Humanisation de la culture grecque mais sculpture figée

énergie, même recherche du bonheur dans la carrière et dans l’aventure. Là cependant s’arrêtent les ressemblances. L’enthousiasme passionné de ce héros solaire le dispense des vanités, humeurs et ressentiments de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir. Ce fils bâtard de la marquise del Dongo est un être généreux et lumineux. Son vrai désir est moins la gloire qu’il recherche à la suite de Napoléon, que la félicité qu’il trouve dans les hauteurs carcérales de la tour Farnèse. Loin de Clélia, il ne peut que

que l’on a plus souvent des échanges d’œuvres d’artistes italiens que d’artistes français (Notons tout de même qu’un bon nombre d’artistes français auront beaucoup de succès auprès des pays d’Europe, Nicolas Poussin par exemple.). Gaston d’Orléans, fils de Marie de Médicis s’était doté d’un italien comme conseiller : Guilio Donnabella. C’est lui qui se charge d’aller récupérer les statues, les peintures et autres objets antiques en Italie. Marie de Médicis va commander énormément d’œuvres, bien plus

Raffaello da Urbino, et Raffaello Sanzio de Urbino est né le 6 avril 1483 à Urbino en Italie-- Urbino a été une ville artistique réputée pendant le XVIe siècle. Raphaël a été un peintre et architecte italien de la Haute Renaissance. Il a été le fils d’un peintre qui s’appelait Giovanni Santi, peintre et aussi chargé comme poète de la cour de Frédéric III de Montefeltro, un des princes les plus célèbres et un patron des arts de la Renaissance en Italie. Son père a été son premier maître ; cependant

dont ses madones et ses portraits sont le reflet La Madone Sixtine, de Raphaël Titien (1490-1576) (Tiziano Vecellio) • • • prodigieux portraitiste et premier grand peintre de nus : sa Vénus d’Urbino aura une descendance nombreuse jusqu’à l’Olympia de Manet représente les déesses comme de fastueuses courtisanes à la mort du peintre Bellini (1540), il règne en maître sur la peinture vénitienne Vénus d’Urbino, par Titien Les Clouet • • • La France est le pays qui établit les liens les plus précoces

1- Jupiter a- L’enfance de Jupiter : Jupiter est le fils de Saturne et de la déesse Rhéa (Cybèle). Il va être exilé par sa mère sur le mont Ida (en Crète) pour survivre. Il va être nourrit par les nymphes de miel et du lait de la chèvre Amalthée. Tableau de Nicolas Poussin ‘Jupiter nourri par la chèvre Amalthée’. Deux nymphes indifférenciées, un personnage qui tire le lait de la chèvre, mythe représenté de manière littérale. Les nymphes sont liées à un certain nombre de divinités

héritier légitime, capable de contenter l’ensemble de l’Empire, ainsi on voit apparaitre plusieurs noms d’héritiers possibles, comme Marcus Claudius Marcellus (41 av. J.-C. / 23 av. J.-C.), Marcus Agrippa (63 av. J.-C. / 12 av. J.-C.), ou encore ses fils adoptifs Caius Caesar (20 av. J.-C. / 4 ap. J.-C), Lucius Caesar (17 av. J.-C. / 2 ap. J.-C.) et Tibère (42 av. J.-C. / 37 ap. J.-C.). Au cours de l’année 13 ap. J.-C., Auguste confie en dépôt aux Vestales (prêtresse de la Rome antique dédiée à Vesta)

parcours tortueux, et va mettre un certain temps à être reconnu. Au fond, il a été mal compris de son vivant et connaitra les honneurs assez tardivement, voir à titre posthume. Né le 29 août 1780 à Montauban, il meurt le 14 janvier 1867 à Paris. Fils d’un peintre/sculpteur non reconnu, il reçoit un enseignement classique à l’Académie de Toulouse. Il y remporte une série de succès et un certificat lui permettant de venir à Paris et d’intégrer l’atelier de David. Il remporte le prix de Rome en 1801

yeux et ces yeux morts deviennent immenses, parce qu'il n'y a plus de chairs et plus de cheveux. Quelques hachures et estompages avec des bâtons de fusain font des ombres par endroits. Dans ses œuvres, des références s'affirment, il s’inspire de Titien, de Rembrandt et de Goya. Zoran Music : Accusé d'appartenir à la Résistance, il est arrêté en 1943 et déporté à Dachau, où il réalise, au risque de sa vie, une centaine de dessins décrivant ce qu'il voit : les scènes de pendaison, les fours crématoires

propre histoire, doit être considéré comme « homodiégétique ». Le narrateur-personnage se livre à une sorte de pèlerinage et avance avec peine vers ce lieu de son enfance. Aux humiliations subies par le père répond la détresse passée et présente du fils : la détresse du narrateur adulte se traduit notamment par des phénomènes physiques : « mon cœur battait à tout rompre », « je titubais comme un homme ivre », « j’ai dû m’appuyer », « je n’ai pas osé passer », que le texte associe à la souffrance morale