Le Flux et le Reflux

Althusser (1918-1990). La voie étroite du marxisme scientifique • Lucien Lévy-Brulh (1857-1939), Georges Dumézil (1898-1986). Penser les mythes • Jacques Lacan (1901-1981). L'inconscient et le langage • La vague structuraliste. Le flux et le reflux • Claude Lévi-Strauss. Le plus philosophe des ethnologues • Michel Foucault (1926-1984). L'archéologue des savoirs • Pierre Bourdieu (1930-2002). La domination symbolique • Gilles Deleuze (1925-1995), Félix Guattari (1930-1992)

culturel déterminé, souvent la Grèce (Narcisse, Prométhée), parfois la chrétienté (Satan, Caïn) ou encore l'Europe (Faust, Don Juan). Appelée à comparer en des tableaux ces grandes structures figuratives au sein d'une œuvre, mais aussi leur flux et leur reflux en une culture à un moment culturel donné, la mythocritique, comme le précise Gilbert Durand, peut très souvent déboucher sur une mythanalyse. Dès lors la littérature devient le point de départ, l'intermédiaire pour une investigation plus vaste

réfère au monde entier). Idée d’universalité (« Amérique »), de progrès et de liberté. Commentaire littéraire I- Comment transparaît l’enthousiasme du poète ? Contraste entre le futur, le passé composé et le passé simple (« ce qu’apporta le flux sera dans la journée »). Ce poème évoque le futur. Cette posture de prophète qui termine Les Châtiments se confirmera dans Les Contemplations. Les pronoms personnels « je » sont suivis de verbes déclaratifs. Au vers 20 : la métaphore ajoute à la puissance

climat hivernal particulièrement doux de l’Europel’augmentation, à la hauteur de 15°C de plus que l’est Canadien qui se trouve néanmoins sous la même latitude. Ou bien lLe courant Circumpolaire Antarctique, qui est, le plus grand et le plus puissant flux d’eau de la planète. Créer il y a 23/34 millions d’années, à l’issu de l’ouverture du passage de Drake au sud de la Terre de Feu, il tourne autour du continent Antarctique d’ouest en est. Celui-ci est le moteur de la circulation océanique mondiale

de sapin » (v.18). • « Dès lors », au vers 21, marque la fatalité acceptée, la résignation. « Des mois pleins » suspend la durée, la rend indistincte : sont évoqués par là les jours innombrables de dérive, seulement rythmés par le flux et le reflux, l’assaut des vagues contre les rochers. • « Parfois » (v61) signale l’irruption de quelque évènement, mais d’un événement répété de façon aléatoire, si bien qu’il ne saurait constituer un repère chronologique. • « Par instants »

tous étaient à tel point doux, humains, compatissants, honnêtes, modestes, polis, aimables et spirituels, que chose pareille peut seulement se voir en France, et là encore seulement à Paris. »49 L’événement révolutionnaire apparaît alors comme un flux, comme l’engloutissement heureux de l’individualité dans la collectivité. Si sous la plume de Bakounine, depuis La Réaction en Allemagne, ce sont le tonnerre et les grondements qui l’annoncent, l’orage révolutionnaire est suivi par une période de fluidité

sont plus des étrangers en tant que tels mais qui se distinguent souvent des Français par leur appartenance socio-cuturelle. La troisième difficulté est d’ordre historiographique : il y a beaucoup d’ouvrages sur l’immigration, comme phénomène de flux, entraînant une réaction de l’Etat et de l’opinion publique. Mais les historiens se sont beaucoup moins intéressés à la situation, à l’intégration subjective des immigrés, et à leur évolution au sein de la société française. D’où une difficulté à saisir

Plans Dawes (1923) et Young (1929) réduisent la dette. xxxix. Les problèmes financiers et monétaires de la France. xl. Industrialisation et prospérité. A partir de 1922 : retour général au libéralisme sauf Italie (Mussolini), reflux des revendications sociales. k. En France : modernisation et archaïsmes. Baisse du nombre d’enfants par femmes à 1 mais majorité de la population est urbaine fin années 30. Reste agricole et peu urbanisé, pas de capacité d’exploitation des

un « mouvement uniforme et modéré » des « objets environnants », comme celles qu’il a éprouvé « assis sur les rives du lac agité » ou au milieu de l’Île de Saint-Pierre (Rêveries, I, 1047 [V, 14 et 16]). Dans de telles situations, ou bien le « flux et reflux de [l’]eau, son bruit continu mais renflé par intervalles » plongent[23] l’âme dans une « rêverie délicieuse » qui vient éteindre les « mouvements internes » et « toute autre agitation », sauf « quelque faible et courte réflexion sur l’instabilité

implacablement lisse Où le silence bout dans l'immobilité. L'âpre engourdissement a gagné les cigales Et sur leur lit étroit de pierres inégales Les ruisseaux à moitié taris ne sautent plus. Une rotation incessante de moires Lumineuses étend ses flux et ses reflux... Des guêpes, çà et là, volent, jaunes et noires.