Le Fou Et La Venus Baudelaire

outrageusement fardées et coquettes qu'on les prendrait pour... les filles de leurs filles. Ces fleurs sont de nouveau comparées à la femme, à ses «paupières» qui «battent au vent dément» car, familièrement, on dit «un vent fou». On peut se demander si, en l'occurrence, ce vent-là ne rend pas fou celui qui, apercevant tous ces «battements» de fleurs, croit voir, mille fois répétés, les battements de paupières de la belle infidèle qui est une autre jolie fleur, point du tout ingénue. À la dernière strophe,

outrageusement fardées et coquettes qu'on les prendrait pour... les filles de leurs filles. Ces fleurs sont de nouveau comparées à la femme, à ses «paupières» qui «battent au vent dément» car, familièrement, on dit «un vent fou». On peut se demander si, en l'occurrence, ce vent-là ne rend pas fou celui qui, apercevant tous ces «battements» de fleurs, croit voir, mille fois répétés, les battements de paupières de la belle infidèle qui est une autre jolie fleur, point du tout ingénue. À la dernière strophe,

outrageusement fardées et coquettes qu'on les prendrait pour... les filles de leurs filles. Ces fleurs sont de nouveau comparées à la femme, à ses «paupières» qui «battent au vent dément» car, familièrement, on dit «un vent fou». On peut se demander si, en l'occurrence, ce vent-là ne rend pas fou celui qui, apercevant tous ces «battements» de fleurs, croit voir, mille fois répétés, les battements de paupières de la belle infidèle qui est une autre jolie fleur, point du tout ingénue. À la dernière strophe,

Sur l’Olympe et Sous l’Olympe. On y trouve dès le début l’évocation des jeunes dieux victorieux  de la révolte des Titans: La splendide Vénus, nue, effrayante, obscure, Le meurtre appelé Mars, le vol nommé Mercure, L’inceste souriant, ivre, au sinistre hymen, Le parricide ayant le tonnerre à la main, Pluton livide avec l’enfer pour auréole, L’immense fou Neptune en proie au vague Eole, L’orageux Jupiter, Diane à l’œil peu sûr […][3] Chaque élément de la composition signale une référence

outrageusement fardées et coquettes qu'on les prendrait pour... les filles de leurs filles. Ces fleurs sont de nouveau comparées à la femme, à ses «paupières» qui «battent au vent dément» car, familièrement, on dit «un vent fou». On peut se demander si, en l'occurrence, ce vent-là ne rend pas fou celui qui, apercevant tous ces «battements» de fleurs, croit voir, mille fois répétés, les battements de paupières de la belle infidèle qui est une autre jolie fleur, point du tout ingénue. À la dernière strophe,

architecture à l’antique. Il s’agit d’un sacre à l’antique. Représentation de Jules César. Napoléon se met en scène dans l’art comme un empereur romain. Exemple : Casanova, Napoléon en Mars Pacificateur, 1806 Casanova, Pauline Borghèse Représenté en Venus, lit à l’antique, pourtant pas un sujet antique. Sujet contemporain, sensualité de la peinture, thème vénitien et détournement de l’antique. Utilisation d’une couche de cire rosée pour le marbre, réaliste. En peinture Ingres, Napoléon sur son trône

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Charles Baudelaire LE SPLEEN DE PARIS Le spleen de Paris Petits poèmes en prose ; choix de variantes par Henri Lemaitre (1868) Table des matières À Arsène Houssaye ...................................................................5 I. L’Étranger .............................................................................. 7 II. Le Désespoir de la vieille......................................................8 III. Le Confiteor de l’artiste

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Charles Baudelaire LE SPLEEN DE PARIS Le spleen de Paris Petits poèmes en prose ; choix de variantes par Henri Lemaitre (1868) Table des matières À Arsène Houssaye ...................................................................5 I. L’Étranger .............................................................................. 7 II. Le Désespoir de la vieille......................................................8 III. Le Confiteor de l’artiste ...

nous pousse, dans l’époque qui est la nôtre, aux exils passagers ou durables : engagements humanitaires, études à l’étranger, défis lointains, expatriations, déceptions, relations amoureuses…chacun de ces exils sont une « odyssée moderne ». Quand Baudelaire affirme que «Les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent / pour partir »4, François Mauriac répond en se demandant si ces voyageurs n’auraient aucun autre motif, s’il n’en trouve pas, « il leur reste toujours celui-là : ils ne peuvent se

français de Valence Année scolaire 2011-2012 SÉQUENCE 1 : La femme baudelairienne, entre spleen et idéal   Objet d’étude : Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours Support: Etude d’une œuvre intégrale : les Fleurs du mal, de Baudelaire. Problématique : en quoi la représentation de la femme dans les Fleurs du mal synthétise-t-elle la poétique de l’auteur ? Lectures analytiques : Texte 1 : « Parfum exotique » Texte 2 : « l’Invitation au voyage » Texte 3 : « À celle qui est trop