Le Fou Et La Vénus

reconnu comme un être à part, différent. C'est ce qu'illustre Baudelaire dans son poème Le fou et la Vénus, le poète est ici comparé à un fou, un être différent, il implore Vénus de l'inspirer, en vain. On remarque d'ailleurs une continuité des thèmes poétiques, puisque le poète contemporain Lionel Ray, dans son reccueil de poésie Entre nuit et soleil, reprends la condition du poète en le comparant toujours à un fou. De plus, la souffrance peut aussi enrayer la création littéraire, dans le sens où un

ERRANCE ET L'EXCLUSION: MOHA LE FOU, MOHA LE SAGE Avec ce récit, l'absence d'un déroulement chronologique et la mouvance de l'écriture romanesque se prolongent à travers l'une des figures typiques de la société: le fou. Considéré et nommé par égard "majdoub", le fou est aussi doté d'une certaine sagesse dans la mentalité maghrébine. Comme Harrouda il parcourt librement la ville et attire les enfants livrés à eux-mêmes et séduits par l'euphorie de sa parole. Ses mots taillés dans les méandres du

poèmes que j'ai retenu mon ami sont initiateurs: alors il y a «  Première soirée », « Vénus anadyomène » et « Les Réparties de Nina ». Comme moi,n'hésites pas à découvrir plus en détail les Cahiers de Douai, Arthur les a écrit à l'âge de 16 ans. 16 ans, l'âge de l'adolescence, des premiers amours, des premières révoltes. De ces 26 poèmes ,3 ont retenu plus particulièrement mon attention : « Première soirée », « Vénus Anadyomène », et « les réparties de Nina » où sont développées les thèmes de la femme

les thèmes du désir, mais aussi de la femme, qui relient les textes de Baudelaire, « Le Fou et la Vénus », de Marie Krysinska, « Ève » et d’Apollinaire, « 1909 ». On peut se demander quels sont les choix opérés par ces auteurs ayant publié dans la seconde moitié du XIXe siècle, ou aux débuts du XXe.               La présence de la femme est nette dans les trois textes. Tout d’abord dans les titres : « Vénus », qui est la déesse de l’amour et « Ève », la première femme, selon la Genèse, ou encore

de Tolède /chante la messe à ses genoux ». Le poème entier va ensuite se construire sur des retournements d’énonciations pour passer de l’éloge au blâme et du blâme à l’éloge : « les femmes disent qu’elle est laide, / mais tous les hommes en sont fou ». On apprend aussi au vers 17/18 que « ainsi faite la moricaude/ bat les plus altières beautés ». Rappelons que moricaude est un terme à connotation très péjorative puisqu’il s’agit ici de parler d’une personne au visage brun à un moment où la mode

sur l'enfant mais Vénus, mère de Cupidon, s'interpose et tente d'arrêter Mars. L'inquiétude de Vénus pour son fils peut être observable si l'on regarde plus attentivement en haut a droite du tableau en effet, des colombes (attribues de Vénus) s’envolent brusquement ce qui caractérise la peur face à une tel violence. Grâce à tous les éléments présents dans cette œuvre, nous pouvons imaginer les événements antérieurs à la scène. En effet tout nous laisse penser que que Mars, fou de rage contre

les thèmes du désir, mais aussi de la femme, qui relient les textes de Baudelaire, « Le Fou et la Vénus », de Marie Krysinska, « Ève » et d’Apollinaire, « 1909 ». On peut se demander quels sont les choix opérés par ces auteurs ayant publié dans la seconde moitié du XIXe siècle, ou aux débuts du XXe. La présence de la femme est nette dans les trois textes. Tout d’abord dans les titres : « Vénus », qui est la déesse de l’amour et « Ève », la première femme, selon la Genèse, ou encore

laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie. Rivière, fontaine et ruisseau Portent en livrée jolie Gouttes d'argent, d'orfèvrerie; Chacun s'habille de nouveau: Le temps a laissé son manteau. René Charles d'Orléans Le Fou et La Vénus Quelle admirable journée ! Le vaste parc se pâme sous l’œil brûlant du soleil, comme la jeunesse sous la domination de l'amour.L'extase universelle des choses ne s'exprime par aucun bruit; les eaux elles-mêmes sont comme endormies. Bien différentes

poème en nous suggérant une réflexion sur la sincérité et l'artifice dans les sentiments amoureux et la création littéraire. I/ De la prose à la poésie ==> Pas de rencontre du narrateur dans ce poème en prose (comme dans Chacun sa chimère ou Le Fou et la Vénus), mais une anecdote lue dans un récit de voyage, utilisée ensuite comme départ et ancrage dans la réalité. ==> absence volontaire de notation poétique : mots, expressions et situation de la vie courante  (A DEVELOPPER AVEC PRECISION) voient

l'aspect monstrueux de la beauté. Elle se situe au-dela du bien et du mal et il faut risquer la perdition pour s'en approcher. Notion que l'on retrouve dans Le Fou et La Venus, texte extrait des Petits poèmes en proses publié en 1862 dans lequel B. Insiste sur l'insensibilité et l'inaccessibilité de la Venus représentant la beauté et Le Fou représentant le poète. ( Mais il ne faut pas oublier que ce poeme s'oppose a une ≪ Charogne ≫ dans lequel B. refusait toute idealisation.)