Le Fouquet S

père l'a lancé dans une situation financière difficile et Jean de La Fontaine va donc se chercher un protecteur. Son premier protecteur sera Nicolas Fouquet,surintendant des finances, a qui il va composer plusieurs œuvres. Dès lors, le poète fréquente la plus haute société et rencontre de grands artistes comme Charles Perrault et Molière. En 1661, Fouquet est révoqué par Louis XIV mais La Fontaine va lui rester fidèle et le défend dans L'Elégie aux Nymphes de Vaux en 1662 puis dans L'Ode au Roi en 1663

adaptation en vers de l'Eunuque de Térence mais se sera un échec. En 1658, il entre au service de Nicolas Fouquet, son premier mécène ( un protecteur pour de écrivains ). C'est un très puissant surintendant des Finances, auquel, il lui écrit des poèmes de circonstances prévus par contrat il reçoit une "pension poétique". La Fontaine lui écrit un poème épique Adonis mais qui sera inachevé, car Fouquet est arrêté sur ordre de Louis XIV. Il n'est plus à son service à partir de 1663. En 1664, il passe

son frère cadet, ce qui fait de lui l'unique héritier de la charge de son père avec lequel il s'est réconcilié. En 1661, Molière emménage en face du Palais-Royal et crée Les Fâcheux, sa première comédie-ballet, au château de Vaux-le-Vicomte, pour Fouquet qui reçoit le roi. En 1662, Molière épouse Armande Béjart, de vingt ans sa cadette, avec qui il aura un fils Louis dont le roi est parrain, baptisé le 24 février 1664 et mort à huit mois et demi, une fille Esprit-Madeleine, baptisée le 4 août 1665

la littérature. La publication du poème héroïque L'Adonis (1658) lui vaut l'admiration et la protection du surintendant Fouquet. Cadeau empoisonné puisqu'en 1661, alors qu'il est en train de composer Le Songe de Vaux, Fouquet est disgrâcié, arrêté et enfermé par le roi. La Fontaine est donc privé de son protecteur, et poursuivi par la disgrâce royale pour sa fidélité à M. Fouquet. Il juge alors prudent de s'éloigner de la capitale et part un temps dans le Limousin. En 1668, La Fontaine publie son premier

Séance 2 - La fontaine et le rôle des fablesProtégé de fouquet (ministre des finances), lorsque celui-ci est en disgrâce (emprisonné car il fait de l’ombre au roi) il se retrouve sans protecteur.Il participe alors au salon de Mme de La sablière1er recueil de fables en 1668 : un succès2e recueil en 1674 livres 7 à 11 aussi mais un peu moins retentissant.Elu à l’académie française en 1684 malgré les réticences du roi (depuis Fouquet)Le second recueil : (rappel du cours précédent Imitation d’Esope

traduit l'Eunuque de Térence (1654), écrit une comédie, Clymène (vers 1659), un petit poème, Adonis, fait des petits vers, des épîtres, des ballades, des relations, des épigrammes, et déjà rêve à ses contes. La Fontaine est présenté au surintendant Fouquet, qui le devina et le nomma son poète, aux appointements de 1000 livres, à condition d'en acquitter chaque quartier par une pièce de vers. Il célèbre son protecteur au temps de sa faveur (le Songe de Vaux) et le défendra noblement dans sa chute (Elégie

Les Précieuses ridicules. Bénéficiant de la protection de Fouquet puis de Louis XIV contre les cabales, les jalousies et les médisances, jouissant de revenus élevés, qu'il dépense aussitôt que gagnés, il va donner dans les quatorze années qu'il lui reste à vivre la totalité de ses chefs-d'oeuvre ; tous peut-être écrits par le «grand Corneille». Succès des comédies-ballets Molière joue à Vaux-le-Vicomte, pour le surintendant Fouquet, puis à Versailles, pour le roi Louis XIV en personne. Les Fâcheux

Charles. Il se lasse très vite de son épouse qu’il délaisse. Il amorce une carrière de poète par la publication d’un premier texte, une comédie en cinq actes L’Eunuque, en 1654, qui passe totalement inaperçue. En 1658, il entre au service de Fouquet, Fouquet est arrêté sur ordre de Louis XIV ; La Fontaine écrit en faveur de son protecteur en 1662, l’Ode au Roi puis l’Élégie aux nymphes de Vaux. En 1664, il passe au service de la duchesse de Bouillon et de la duchesse douairière d’Orléans. La Fontaine

ou colère sur le visage de la Vierge qui accepte la volonté divine. Points communs : composition triangulaire thème :une mère et son fils mort. La Piéta de Nouans de Jean Fouquet, 1460-1465, Renaissance (diapo) Huile sur bois (noyer) du peintre tourangeau Jean Fouquet, conservé dans l’église de Nouans les Fontaines en Indre et Loire (146 x 237) Comparaison avec la Piéta de Michel Ange Même thème, même composition triangulaire mais décalée dans le tableau. Cette fois-ci

| | | |Fouquet ( | |( J’ai fait créer une ceinture de villes fortifiées le long des frontières du royaume.