Le Fouquet S

 l’odeur   de  Hayward  lui  rappelle  les  tours  en  voiture  avec  Carment  et  la  bande.     Apparition  plus  claire  de  Fouquet  et  de  la  fille  brune  (qui  devient   importante  à  la  fin  du  roman,  sans  doute  celle  qui  a  tiré  sur  Fouquet).     P.  164  :  fin  de  la  page,  la  jeune  fille  brune  travaille  et  se  lève  tôt  :  elle  a  un   peu  l’âge

de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses contes licencieux. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui deMadame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

Voiture, il s’exerce d’abord aux vers, épîtres et ballades, puis rédige l’Eunuque en 1654, une comédie Clymène en 1659 et un poème Adonis qui lui vaudra la protection de Fouquet, surintendant des Finances. Pour le remercier, La Fontaine lui dédie « le Songe de Vaux », « l’Ode au Roi » et « l’Elégie aux Nymphes de Vaux ». Mais…Fouquet est disgracié, La Fontaine lui reste fidèle et Colbert lui marque sa haine, entrainant même celle de Louis XIV. Perdant ainsi son protecteur, il se fait oublier un temps

pronom indéfini « on ». Si on pense que « on » réfère La Fontaine alors il nous invite à identifier l’ami pragmatique à son mécène Fouquet (celui qui finance La Fontaine et fut emprisonner par Louis XIV). Conclusion :  Dans ces conditions, cette fable est plus complexe qu’il ne paraît, c’est aussi un texte audacieux où La Fontaine fait un éloge de son ami Fouquet et La Fontaine suggère qu’il n’a pas oublié son ami disgracier. On peut relire les v.3 et 4 avec conviction.

« L’amitié vraie », Fables, 1678 La Fontaine : poète français du 17eme dont la production littéraire est d’une grande variété même si ce sont ses fables qui lui apporteront la considération. Dés 1658 il est sous la protection de Fouquet, surintendant de Louis XIV, mais en 1661 Fouquet est disgracié et mis en prison, La Fontaine s’éloigne alors de la capitale. De retour à Paris quelques années plus tard sa carrière reprend avec la publication des Contes. Il publie par la suite le premier recueil des Fables

Il le trouve alors en la personne de Nicolas Fouquet, surintendant des finances pour qui il compose plusieurs œuvres dont des ballades, des sonnets et le poème héroïque Adonis en 1658. Le poète fréquente alors les sociétés précieuses et rencontre d’autres grands artistes dont Charles Perrault et Molière. Il vit entre Paris et Château-Thierry, sa ville natale, où il exerce notamment la charge de maître particulier des eaux et forêts. Lorsque Fouquet tombe en disgrâce en 1661, La Fontaine lui reste

Térence (1654), compose une comédie Clymène vers 1659, et un poème: Adonis qu'il offrit à Nicolas Fouquet,pour lequelle il entre en service,Il lui dédie «le Songe de Vaux», ainsi qu'une trentaine de poèmes prévus par contrat. Au moment de la chute de Fouquet, La Fontaine reste son plus fidèle défenseur. Il écrit à cette occasion «l'ode au roi» et «Élégie aux nymphes de Vaux». Cette fidélité à Fouquet lui valut rapidement la haine de Colbert, puis celle de Louis XIV lui-même. Il meurt en 1695. Pour

lors de son exil à Ferrare en 1535, et communément appelé « Blason du beau tétin », m’avait évoqué le Diptyque d’Étienne Chevalier, dit de Melun, peint par Jean Fouquet vers 1455, et représentant Agnès Sorel, dit-on, en Vierge Marie2. 1 Thomas Mann, Romans et Nouvelles, Paris, La Pochotèque, 1994, tome 1, p. 135-155. 2 Jean Fouquet, Diptyque d’Étienne Chevalier, dit de Melun, vers 1455, Berlin, Gemäldegalerie, panneau de gauche ; Anvers, Musée royal des Beaux-Arts, panneau de droite. En préparant

La Fontaine, j'ai fait ce qu'on a exigé de moi ; mais actuellement je veux que vous soyez plus que jamais assidu chez moi ; sans quoi je me battrai encore ». La réconciliation fut entière et parfaite.   Une réputation littéraire grandissante - Fouquet Quelques pièces de vers échappées au milieu de ces tracasseries domestiques la muse insouciante et paresseuse de La Fontaine lui avaient déjà fait quelque réputation, lorsque la duchesse de Bouillon, l'une des nièces du cardinal Mazarin, fut exilée

par son milieu natal et rural. Il est issu d’un milieu bourgeois. Il changera beaucoup de carrière par son indécision. Il s’installe à Paris suite à des problèmes d’argent et il rencontre Fouquet en 1658, protecteur des arts ainsi donc celui de la Fontaine. Il lui sera fidèle toute sa vie (Ode au roi pour M. Fouquet). Il connaitra donc de nombreux protecteur comme La Duchesse d’Orléans. Il mène alors jusqu’en 192, il vie briante et mondaine. Il fréquente les plus briant écrivains de son siècle. Il sera