Le Fouquet S

Fable rappelle le conte Jeannot et Colin. Son amie Fouquet disgracié et emprisonné par Louis XIV cette fable met La fontaine en prise avec l'actualité de son temps qui laisse à penser que l'amitié etait un sentiment qui manquait profondément aux courtisants et aux nobles du 17em siécle, dont l'hypocrisie était souvent un art de vivre et l'amitié faite de circonstance et de façades. Fable rappelle le conte Jeannot et Colin. Son amie Fouquet disgracié et emprisonné par Louis XIV

celle de la tolérance et de la sagesse. Il vit sous la monarchie absolue de Louis XIV et comme tous les écrivains de son époque, il est obliger de se trouver un mécène pour vivre de ses écrits. Nicolas Fouquet sur intendant des finances du Roi sera son protecteur. La disgrâce spectaculaire de Fouquet, arrêté en 1661, destitué de ses fonctions, emprisonné en vie et remplacé par Colbert. Cela va beaucoup marquer la Fontaine qui est resté fidèle à son protecteur et sera lui-même poursuivi à cause de

riche 1652: Il achète une charge de maitre des Eaux et Forets. Il va beaucoup se renseigner sur la nature. Il commence à écrire en vers. Il est introduit dans l'entourage de Fouquet qui va le pensionner. Il écrira pour célébrer le Château de Vaux-le-Vicomte et deviendra connu dans le " Tout Paris " 1661 : Arrestation de Fouquet, La Fontaine perd son mécène. Il écrit "Élégie aux nymphes de Vaux "en 1662 puis "l'Ode au Roy" en 1663 Il va avoir la chance de devenir "Gentilhomme Servant de la Duchesse

de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses contes licencieux. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui deMadame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

le roi réussit à se dépénaliser grâce à ses talents d’orateur comme aux vers 27 et 28 : « Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense. ». La première partie de son discours se termine sur le rejet de « Le Berger » au vers 30 qui fait une référence à Fouquet, le surintendant des finances qui « tondait la laine sur le dos des moutons ». Le lion se dévoue donc, suite à ses aveux, mais tout laisse penser qu’il s’agit d’un faux dévouement. En effet, lorsqu’il dit « je me dévouerai » (v.31) un ton ironique

vie du fabuliste à une chronologie historique comportant les repères suivants: la Régence de Mazarin, le début du règne de Louis XIV, la disgrâce de Fouquet, la création de l’Académie française. • Les documents. On classera les différents documents selon leur nature: commentaires critiques, sources historiques, tableaux d’époque (portrait de Fouquet, du roi, des auteurs), lieux filmés aujourd’hui (le château de Versailles, des rues de Château-Thierry, Vaux-le-Vicomte, l’Institut de France). On pourra

savait trouver le courage pour défendre ses amis et ses bienfaiteurs quand ils étaient malheureux. Louis XIV venait de disgracier le surintendant Fouquet, qui protégeait La Fontaine : la foule des courtisans s'éloignait du ministre déchu ; La Fontaine, seul, avec l'avocat Pellisson, osa, dans une touchante élégie adressée au roi, plaindre le sort de Fouquet et demander sa grâce. Malgré toutes les pensions que le poète recevait, il était toujours pauvre et dénué de tout, à force d'insouciance et de

Introduction : Origines de Versailles :En 1661, c’est une querelle de jalousie qui va pousser Louis XIV à imaginer Versailles. Fouquet, qui est alors, surintendant des finances du roi, est un passionné d’art. Il se fait construire un château majestueux «  Vaux-le-Vicomte ». Louis XIV et sa cour y sont conviés lors d’une somptueuse réception. Mais le roi soupçonne Fouquet de piller les caisses du royaume pour enrichir ses fonds personnels. Cette fête déclenche une colère royale. Son altesse découvre

architectes Le Vau, Gittard, Hardouin Mansart, les sculpteurs Lerambert, Girardon, les peintres Le Brun et Poussin. Le chantier qui le révèle est celui de Vaux-le-Vicomte, réalisé pour Fouquet à partir de 1652, et auquel Le Nôtre contribue de 1657 à 1661, date de la disgrâce du ministre. Après l'arrestation de Fouquet André Le Nôtre est engagé par Louis XIV pour réhabiliter les jardins de Versailles qui sera son travail majeur entre 1662 - 1687. A la même époque, il double son activité de jardinier

plus. Il compose une comédie Clymène vers 1659, et un poème: Adonis. Il entre à cette époque au service de Fouquet. Il lui dédie «le Songe de Vaux», ainsi qu'une trentaine de poèmes prévus par contrat. Au moment de la chute de Fouquet, La Fontaine reste son plus fidèle défenseur. Il écrit à cette occasion «l'ode au roi» et surtout l'admirable «Élégie aux nymphes de Vaux». Cette fidélité à Fouquet lui valut rapidement la haine de Colbert, puis celle de Louis XIV lui-même. Peu après, il se lie intimement