Le Fouquet S

reprend (1652) la charge paternelle de maitre des Eaux et Forêts, se montrant fonctionnaire négligent, époux et père indifférent. Protégé par Fouquet (1658-1661), la duchesse douairière d’Orléans (1664-1672), Mme de La Sablière (1673-1693) et Mme d’Hervart (1693-1695) , il mène une vie loisirs et publie : Elégie aux nymphes de Vaux (1661), Ode au roi pour M. Fouquet (1663), poèmes de circonstance ; Contes et nouvelles en vers (1665 à 1674), récits licencieux en vers irréguliers ; les Amours de Psyché

surintendant Fouquet qui narguait par son château la magnificence de Versailles, la duchesse d’Orléans, Madame de la Sablière. Il est dit qu’à travers l’éloquence des chiens, il épingle le personnage du courtisan entièrement voué à l’idolâtrie du roi dont les grâces (privilèges, charges, titres, pensions …) sont le « salaire » de ces infatigables flatteurs. Néanmoins, La Fontainea toujours souffert de cette dépendance. Il a d’ailleurs explicitement et très audacieusement pris le parti de Fouquet lorsque

Henri de Sévigné. Mais malheureusement, celui-ci décède en 1651 lors d’un duel dans lequel il se battait pour sauver sa maîtresse. Devenue veuve à vingt-cinq ans avec deux enfants, Madame de Sévigné a fréquentée Mme de Lafayette, la Rochefoucauld, Fouquet, le cardinal de Retz. Elle écrivait souvent à Paris (Hôtel Carnavalet), en Bretagne, à Livry et à Vichy. Elle correspond

champenois. En 1651 le cardinal Mazarin lui confie la gestion de toute sa fortune est le prend sous sa protection. C’est à la mort de ce dernier que Colbert rentre au service du roi en qualité d’intendant des finances le 8 mars 1651 et fait disgracier Fouquet, alors surintendant des finances, en envoyant un rapport au roi dans lequel il explique que moins de 50% des impôts collectés reviennent à l’Etat. En 1669 Colbert cumule les fonctions de surintendant des finances, secrétaire d’Etat à la maison du

moins à devenir prêtre, seul la littérature le passionne. Il mène une vie dissipée à Paris grâce à ses rentes et à un mariage d’affaire. Il se consacre ensuite entièrement à la littérature et publié ses premiers essais. Il est alors remarqué par Fouquet. Seulement celui-ci sera emprisonné. Il s’éloigne de Paris pour écrire ses Contes libertins. De retour il est anobli par Marguerite de lorraine et fréquente dans les cercles d’écrivains renommés de l’époque. Il écrit enfin son premier recueil de Fable

titre consultatif. Il dit lui-même dans ses mémoires que rien ne doit être signés sans avoir été vérifié par lui au préalable. Quelque temps après, sous l'influence de Colbert, le poste de surintendant des finances occupé jusqu'alors par Nicolas Fouquet est supprimé et lui emprisonné. Ce poste, jusqu'à la révolution française, sera remplacé par le poste de contrôleur général des finances créé pour Colbert. L'ère du népotisme laisse place à la méritocratie. Même si l'on voit des dynasties (Le Tellier

son fils et l’âne »). 2) Un texte miné On connaît l’hostilité de Louis XIV pour La Fontaine auquel il reproche sa trop grande liberté d’esprit et ses positions anti-colbertistes. Depuis 1657, La Fontaine avait Fouquet (surintendant des finances du Royaume) comme Mécène. Or en 1661, Fouquet tombe en disgrâce et il est arrêté pour détournement de fonds publics. La Fontaine lui reste fidèle et prend sa défense malgré l’acharnement de Colbert. Une telle attitude ne pourrait donc s’allier à un texte dans

deuxième moitié du XVII°s, à l’époque où écrit La Fontaine, deux « partis » s’opposent : d’un côté le rigorisme de la Cour, incarné par Mme de Maintenon, où les Jésuites ont main mise, et l’autre, hérité des « amis de Fouquet », dont la Fontaine faisait partie. Ces amis de Fouquet ont gardé une influence épicurienne, qui se retrouve dans cette fable. L’idée de ne pas être esclave de ses passions, de savoir dominer sa tristesse et sa gaieté, font partie des concepts des philosophes du Jardin. Ainsi

rien ne rivalise avec son château, et il devait donc répondre à certains critères spécifiques du roi. En effet, Nicolas Fouquet, surintendant des finances de Louis XIV, en construisant le château de Vaux le Vicomte a rendu fou de jalousie le roi, il se serait senti humilié par l'importance et la beauté du château et c'est pour cela que quelques jours plus tard en 1661 il arrêta Fouquet. Le roi n'oublia jamais cette "humiliation" et souhaita que son château devienne le plus beau du monde. Les travaux

[pic] V. MASSON Assistante A l’attention de Monsieur FOUQUET Directeur artistique Objet : Spectacle pyrotechnique Le 21 février 2012 RAPPORT D’ETUDE Monsieur DELAY de la société Waper Bross Center and Corporation a accepté notre offre pour son projet d’organiser un spectacle pyrotechnique de grande ampleur. I. ANALYSE Ce feu d’artifice est prévu dans le cadre d’un tournage dans un château dans la région albigeoise avec 250 figurants. On lui avait proposé le château