Le Fouquet S

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

un genre avant lui mineur, à un degré d’accomplissement qui reste indépassable. Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire.Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

«fidèles serviteurs» légués par Mazarin, entourés de quelques commis spécialisés.On y trouve, le secrétaire d'Etat à la Guerre, Michel Le Tellier, le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, Hugues de Lionne, et le surintendant des Finances, Nicolas Fouquet. Ce dernier, trop riche et trop puissant, est très vite évincé par Colbert, qui le jalouse depuis longtemps. Son arrestation, le 5 septembre 1661, est suivie, quelques jours plus tard, de la suppression de la charge de surintendant et de la création

désaveu l’incite à renoncer au théâtre et à se consacrer à la traduction de l'Imitation de Jésus-Christ. Il faudra attendre 1659 pour qu’il revienne au théâtre avec Œdipe, une tragédie écrite à la demande de Fouquet, le surintendant des Finances. Cette pièce est un succès. Protégé par Fouquet, puis par Louis XIV, Corneille continue pourtant à se consacrer au théâtre, mais Racine l’a remplacé dans le cœur du public. En 1670, les deux auteurs donnent simultanément une pièce sur le même sujet. Racine

au français « imitation de Jésus-Christ » qui remporte un grand succès libraire. e) la gloire et le déclin En 1656,Corneille retourne au théâtre avec « la conquête de la toison d’or ». En 1659, il écrit Œdipe, une tragédie qui a été écrite pour Fouquet qui était en prison. Mais en 1667 de jeunes auteurs arrivent...

12 mars 1613 où il meurt le 15 septembre 1700) fut jardinier du roi Louis XIV de 1645 à 1700 et eut notamment pour tâche de concevoir l'aménagement du parc et des jardins du château de Versailles, mais aussi celui de Vaux-le-Vicomte (pour Nicolas Fouquet) et Chantilly. Il était un très fameux courtisan et réussit à s'acquérir une grande faveur auprès de Louis XIV. Sous une bonhomie probablement travaillée (en présence même du roi) qui lui valut le surnom de son vivant le « bonhomme Le Nôtre », il

auteurs de l’antiquité qui sont dignes d’être imités, et les auteurs français du XVIIème siècle qui ont développé un art de mesure et de raison en défendant le respect et l’imitation des anciens acteurs. Jean de La Fontaine est un protégé de Nicolas Fouquet et il reste à l’écart de la cour royale. En 1684 il est reçu à l’Académie française. Il se mêle aussi des débats politiques et se range dans le parti des Anciens dans la Querelle des Anciens et des Modernes. Jean de La Fontaine s’est beaucoup inspiré

243 fables) 1684 recu à l'académie francaises prend partie des anciens dans "la querelle des anciennes et des modernes" pour les fables il s'inspire des fabulistes de l'antiquité greco-latine (Esope) 1658: il rentre au service de fouquet (surintendant des finances du roi ) et lui dédis le poème Andonis, il ecrit en sa faveur en 1662 après son arret sur ordre du Roi il est sous protection du roi Louis XIV, publie et finance ses oeuvres Bernard Le Bouyer de Fontenelle (1657-1757)

savoir pr la mer, les forêts. Ce qui ne lui a pas empêché d’avoir une bonne culture (latin/grec). - Il fait des études de droits, fréquente des milieux littéraire, il écrit des poèmes, des fables - 1654: 1ère comédie L’Eunuque - 1658: Nicolas Fouquet devient son mécène - 1668: 1er recueil de fables avec 6 premiers livres qui connu un grand succès. - 1678: 2ème recueil de fables avec 11 livres - 1683: il est élus à l’Académie Française - 1693: 3ème recueil avec 12 livres - Plus on avance dans

fauteuil 24 Prédécesseur : Jean-Baptiste COLBERT Successeur : Jules de CLÉRAMBAULT Discours et travaux académiques Poète, fabuliste Biographie Né à Château-Thierry, le 8 juillet 1621. Maître des Eaux et Forêts, protégé de Fouquet qui lui fit une pension, chez qui il habita pendant sept années et à qui il resta fidèle dans sa disgrâce. Il habita ensuite pendant vingt ans chez Mme de la Sablière, puis chez M. d’Hervart ; il fut aussi protégé et pensionné par le duc de Bourgogne