Le Fouquet S

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tard fut l'un des plus grands succès du siècle), occupé les années suivantes à corriger tout son théâtre pour en publier une nouvelle édition accompagnée de discours critiques et théoriques, il céda facilement en 1658 à l'invitation du surintendant Fouquet et revint au théâtre au début de 1659 en proposant une réécriture du sujet-phare de la tragédie, Œdipe. Cette pièce fut très bien accueillie et Corneille enchaîna ensuite les succès durant quelques années, mais la faveur grandissante des tragédies

exercer cette lourde tache, il revend la charge. 1654-comédie Lénuque-sa première publication! Quand il se rend à Paris, il fréquente les sociétés précieuses et libertines. Sa vocation poétique s' éveille de plus en plus. Au moment de la chute de Fouquet, la Fontaine reste son plus fidèle défenseur. Cette fidélité lui vaut la haine de Colbert puis celle de Louis XIV lui- même. 1684-il est élu à l' académie française. Il retrouve ses amis Perrault et Frutière.

ses très célèbres Fables. Il devient avocat au Parlement de Paris. En 1652, à l'âge de 31 ans, il devient maître des Eaux et Forêts du duché de Château-Thierry. Sa vie connaît un nouveau tournant en 1658, quand il entre au service du Surintendant Fouquet. Mais ce dernier est bientôt arrêté sur ordre de Louis XIV, jaloux de sa puissance. En 1660, il fait paraître son Élégie aux Nymphes de Vaux, puis entre 1665 et 1674 plusieurs volumes de Contes et Nouvelles. Son œuvre majeure reste bien sûr, ses Fables

perdues.» Alors, pas si mal pour un paresseux dormeur.... 1654 Achevé d'imprimer de l'Eunuque, traduction d'une pièce de Térence. 1658 Epître à l'Abbesse de Mouzon Adonis 1659 Début du Songe de Vaux de 1659 à 1661 26 pièces offertes à Fouquet 1660 Les Rieurs du Beau Richard 1661 Début probable de l'écriture des Fables 1662 Elégie aux Nymphes de Vaux Ode au Roi 1663 Relation d'un Voyage de Paris en Limousin 1664 Parution des deux premiers contes: Joconde, et Le cocu battu et

un accident de voiture, alors qu'il travaillait sur Le Premier Homme. BIOGRAPHIE DE LA FONTAINE Jean de La Fontaine naît 1621 à Château-Thierry. Dès 1672, il revend ses charges et se lance comme poète. En 1658, l'écrivain entre au service de Fouquet. Il prendra plus tard sa défense lorsque ce dernier est arrêté. En tout cas, l'administration de Louis XIV le surveille désormais de près. En 1664, il travaille pour la duchesse d'Orléans et celle de Bouillon. La Fontaine voit son anoblissement assuré

également écrit les contes licencieux (histoires fantastiques). On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Il ne fréquente pas la coure mais est proche de Nicolas Fouquet. Il fréquente les salons dans lequel se multiplient les discutions intellectuelles mais particulièrement littéraire. En 1664, il passe au service de la duchesse de Bouillon et de la duchesse d’Orléans. La Fontaine partage alors son temps entre Paris et

13 avril 1695 à Paris. Il est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. Sa carrière de poète commença en 1658 avec la rencontre du ministre Fouquet. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et

mort le 9 mars 1661, propose à Louis XIV de prendre Colbert à son service, en prononçant cette phrase connue : « Sire, je dois tout à votre Majesté, mais je m'acquitte de ma dette en lui présentant Colbert ». Le 5 septembre 1661, le surintendant Fouquet (qui était le rival de Colbert) est arrêté à Nantes. À la suite de cette arrestation, Louis XIV supprime la charge de surintendant des Finances et décide d'exercer lui-même la surintendance avec l'aide d'un Conseil : le Conseil royal des finances

ses pièces perdent en succès. Ses pensions sont arrêtées et il arrête d'écrire pendant plusieurs années. Ses pièces sont progressivement rejouées par des troupes notamment celles de Madeleine Béjart et de Molière. Il devient le protégé de Nicolas Fouquet mais subit le succès montant de Jean Racine. Il écrit encore quelques pièces mais elles restent sans succès. Il décide donc d'arrêter son activité de dramaturge et ne touche plus de pension de Louis XIV. Les points communs entre Plaute et Corneille