Le Funambule

expriment un intérêt un peu trop plein de sollicitude pour la commande du client, enfin le voilà qui revient, en essayant d’imiter dans sa démarche la rigueur inflexible d’on ne sait quel automate, tout en portant son plateau avec une témérité de funambule, en le mettant dans un équilibre perpétuellement instable et perpétuellement rompu, qu’il rétablit perpétuellement d’un mouvement léger du bras et de la main. Toute sa conduite nous semble un jeu. Il s’applique à enchaîner ses mouvements comme s’ils

Jacques Charpentreau Au cirque 8 points Au grand cirque de l'Univers, On voit sauter des trapézistes, Des clowns, des jongleurs, des artistes S'envoler à travers les airs. L'écuyère sur ses chevaux Passe du noir au brun, au blanc, Le funambule, sans élan, Droit sur son fil, saute là-haut. Tout saute à s'en rompre le crâne Les lions sur des tambours dorés, Les tigres sur des tabourets... Moi, je saute du coq à l'âne. Jacques Charpentreau Diable ! 8 points Tirer le diable

strophe, on ne peut lui contester une aisance et même une virtuosité naturelles pour aboutir à ce que Baudelaire saluait chez lui la certitude dans l'expression lyrique. Il donna le meilleur de lui-même dans ses Odes et Odelettes, où on le voit, funambule du langage, se livrer, avec bonheur souvent, aux pirouettes de la rime sur la « corde roide » du vers. Théodore de Banville, Les Stalactites, 1846. Sculpteur, cherche avec soin, en attendant l'extase, On marbre sans défaut pour en faire un

lâché !! Expériences au combien douloureuses… qui vous rappelle surement des souvenirs, non ? C’est mon challenge au quotidien : que cette accroche se fasse le mieux possible en atelier avec tous les jeunes de l’institution ! C’est un vrai travail de funambule, car nous sommes toujours sur le fil du rasoir, à jongler, concilier sans cesse avec les sensibilités, les caractères et les angoisses de chacun. Mon atelier est ouvert à tous les jeunes de l’institution et nous essayons de

propres aux activités. Annexe 2 En m’aidant des différents livres j’explique aux enfants l’origine du cirque PETITE HISTOIRE DU CIRQUE Antiquité : mis à part les combats de gladiateurs, les jeux du cirque romains sont aussi composés de funambules, de voltigeurs à cheval et de numéros de domptage. Moyen Âge : les troupes de saltimbanques se développent. Se déplaçant de ville en ville dans les foires et les marchés, ils présentent des numéros de jonglage, d’acrobatie et de domptages. 1768

Loisirs ) 28. Arc-en-ciel - Marcus Pfister ( Nord-Sud ) 29. Victor et la sorcière - Olga Lecaye ( Ecole des Loisirs ) 30. Cendrillon - Contes en images ( Nathan ) (1) 31. La famille - C. Dolto-Tolitch ( Mine de rien - Hatier ) 32. Tu seras funambule comme Papa - Frédéric Stehr ( Ecole des Loisirs ) 33. Vieux frère de petit balai - L.Delaby et M.Daufresne (Père Castor Flammarion) (1) Les "contes en images" de chez Nathan sous toujours édités. Il est parfois difficile de se les procurer parce

la tante « sanctuaire des souvenirs fidèles ». Ils regardent « le portrait d’un jeune homme du bon vieux temps » et celui de sa jeune épouse « la même bonne vieille qui cuisinait en ce moment courbée sur le feu de l’âtre ». Pensant aux fées des Funambules, le narrateur lui fait de compliments sur sa beauté. Mais déjà, Sylvie a enlevé sa robe d’indienne pour essayer la robe étoffée de la vieille tante. Elle ressemble ainsi à l’accordée de village de Greuze. En fouillant dans les tiroirs, elle trouve

expérience à vivre, parmi les 100 000 visiteurs qui se croisent pendant 4 jours autour d’animations étonnantes et détonantes. > Au programme participation à l’édition 2014 du festival avec de multiples performances (jonglage, danse, théâtre, funambules…), mais aussi des rencontres avec artistes et bien entendu des initiations à leurs pratiques. 21 22 n o i t a n i t s e d II IIIIIIIII II IIIIIIIII étranger DÉCOUVERTE DE L’IRLnAs NDE 14-15 a I IIIIIIIIIIIIIIII

l'Empire. Vitez fait du rêve d'accession au pouvoir de Don Carlos la quête centrale de la pièce. Le monologue de l'acte IV, réputé injouable, est chanté plus que dit par Redjep Mitrovitsa, dont la démarche dansante évoque le précaire équilibre du funambule ; cette longue rêverie sur l'empire devient paradoxalement le morceau de bravoure du spectacle. Le mérite de Vitez est ici d'avoir développé toute la fragilité en germe dans le personnage ; Don Carlos n'est pas un tyran de théâtre, mais bel et

dépassé qu'à l'aube de la Révolution industrielle du XVIIIe siècle. Les gens se déplaçaient alors partout, sur mer comme sur terre. Des spectacles itinérants se produisaient de foire en foire et sur les plus modestes marchés régionaux. Saltimbanques, funambules, lanceurs de couteaux, ventriloques, conteurs, bouffons, pitres, mimes... passaient de palais en châteaux, sans négliger les plus petites cours royales. Parfois, d'authentiques œuvres théâtrales étaient montées. Les œuvres représentées par ces compagnies