Le Grand Meaulnes

aimé. Angoissé philipe s’imagine un frère qui remplirait exactement les vœux souhaités par ses parents. Plus tard en fouillant dans le grenier il trouve une peluche. Il raconte sa decouverte a sa voisine louise et elle lui avoue qu’il a vraiment un grand frère. Mort ? film realisé en 2007 et l’ecrivain joue dedans. François Begaudeau, Entre les murs Raconte une année scolaire. Sorte d’autobiographie. 3 facettes , details des élèves , reflexions du prof une fois chez lui et vu depuis la salle

l’armistice de la première guerre mondial ! Une guerre qui a opposée la France a l'Allemagne entre 1914 et 1918 , et qui a fait presque 10 millions de mort et plus de 20 millions de blessés en Europe . Beaucoup de pays d’Europe on participé à cette grande guerre mais aussi les américains les russes et les turcs . Ce jour est donc devenu une fête national en France ! A Paris on rend hommage au Soldat inconnu mort à Verdun et enterré sous l'Arc de Triomphe. Pour commémorer ce jour qui est très important

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

dit), et marque les procès comme non factuels, ou juste envisagés par l'esprit. 1. Elle veut qu'on s'y rende 2. Qu'ils le fassent ! 3. Il n'y aura pas de mal à ce qu'ils aient terminé demain 4. Elle attendait qu'ils le fissent 5. Eût-elle été une grande personne, je lui aurais parlé de la même manière L'impératif est employé au présent (l'emploi au passé reste très marginal et discutable). Les formes verbales qui lui correspondent sont défectives (elles ne s'appliquent qu'aux deuxièmes personnes

Groupement de textes (Chaque texte fait l’objet d’une lecture analytique). Texte 1 : E-E Schmitt, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, 2001 (Incipit) Texte 2 : F. Coloane, Le dernier mousse, 1941 (Incipit) Texte 3 : Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, 1913 (Extrait de la 1ère partie, chapitre XV : La rencontre) Texte 4 : Stendhal, La Chartreuse de Parme, 1839 (Extrait du Livre 1er, chapitre III) Supports complémentaires (En complémentarité avec le G.T, ils alimentent différents types de travaux

1678 par Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves ou unilatéral comme dans les trois autres textes, la nouvelle « Sylvie » de Gérard de Nerval parue en 1854, L’Education sentimentale de Gustave Flaubert, publiée en 1869, ou encore le roman Le Grand Meaulnes d’Alain Fournier écrit en 1913. Véritable temps fort de la narration, le choc affectif ressenti par les personnages constitue un formidable ressort à l’intrigue. Parce qu’ils se déroulent sous les yeux d’un public complice lors d’un bal, les

prodigues, sérieuse, La morsure et le baiser ; Tu me déchires, ma brune, Avec un rire moqueur, Et puis tu mets sur mon cœur Ton œil doux comme la lune. Sous tes souliers de satin, Sous tes charmants pieds de soie, Moi, je mets ma grande joie, Mon génie et mon destin, Mon âme par toi guérie, Par toi, lumière et couleur ! Explosion de chaleur Dans ma noire Sibérie ! Charles BAUDELAIRE (1857) [Les Fleurs du mal] Les genres poétiques La poésie lyrique À l'origine

Molière Le Grand Meaulnes Alain-Fournier « François, quinze ans, narrateur du récit, est le fils de M. et Mme Seurel, instituteurs de Sainte-Agathe, en Sologne. Il fréquente le Cours Supérieur qui prépare au brevet d’instituteur. Un mois après la rentrée, un nouveau compagnon de dix-sept ans vient habiter chez eux. "L’arrivée d’Augustin Meaulnes fut pour moi le commencement d’une vie nouvelle" écrit

Rose, droite sur ses hanches, Leva son beau bras tremblant Pour prendre une mûre aux branches ; Je ne vis pas son bras blanc. Une eau courait, fraîche et creuse, Sur les mousses de velours ; Et la nature amoureuse Dormait dans les grands bois sourds. Rose défit sa chaussure, Et mit, d’un air ingénu2, Son petit pied dans l’eau pure ; Je ne vis pas son pied nu. 5 10 15 20 25 4373_FR_BR_Corr Page165Mardi,31.juillet20074:5316 > SICOGIF Hatier © Hatier 2007 POÉSI

son cousin, personnage de vaudeville entre dandysme et la bohème de Rimbaud ; l’initie à de nouveaux auteurs qui lui étaient jusqu’alors inconnus, notamment Alain Fournier et Le Grand Meaulnes ; lui fait découvrir de nouveaux milieux, l’ouvre aux idées socialistes, aux théâtres, aux promenades en autoSECONDAIRES· Le grand-père ;· La mère · La sœur· PradelleFIGURES DE PASSAGE ; « FIGURANTS » initiateurs de simone· L‘Abbé Martin· Marguerite et Clothilde (camarades de collège)· Le groupe de Normaliens