Le Grand Schisme

des croisades, tente d'imposer en Occident une théocratie en soumettant les rois à sa volonté. Mais les temps changent. Les templiers n'ont pas pu empêcher la perte de la terre sainte. Les papes se heurtent au pouvoir croissant des souverains des grands Royaumes d'Occident. Le chaos politique est tel, que le pape pour sa propre sécurité réside de moins en moins à Rome. Il doit, de plus, se heurter a une opposition interne avec les ordres mendiants et notamment les franciscains qui sont a leur tête

La coupole, de 31 m de diamètre, représente le ciel, donc le paradis. Plan en croix grecque (faire le dessin). Intérieur : mosaïques. Servira de modèle dans tout le monde orthodoxe. Les Turcs musulmans ont récupéré le monument et ont rajouté des grands boucliers verts ornés d’inscriptions en arabe. B) Une Eglise appelée orthodoxe. Doc. 3 p 21 : deux chrétientés rivales. « L’Orient et l’Occident chrétiens vivent leur religion « autrement » ; certaines fêtes ne sont pas célébrées

amènent des crises majeures entre la papauté et la royauté comme la querelle des Investitures et le Grand Schisme d’Occident. Résultat : L’Europe se divise sous le Grand Schisme. Le concile de Constance met fin à ce scandale, mais il n’y a aucune réforme réelle. Les conséquences générales de la réforme sont nombreuses. Tout d’abord, il y a l’inquiétude religieuse. À la fin du xv e siècle, les grands fléaux tels que la famine, la guerre, la peste etc. Amènent une profonde inquiétude religieuse dans

montre l’existence de structures économiques (Comecon ou CAEM -1949) et militaire (Pacte de Varsovie-1955) à l’avantage de l’URSS. Cependant il y a des contestations et des rejets : ainsi la Yougoslavie de Tito refuse d’être inféodée au grand frère soviétique (schisme de 1948) tandis que plus tard, de nombreuses contestations ont lieu, notamment au moment de la mort de Staline (Pologne ou RDA) ou de la déstalinisation (Hongrie). Ces contestations furent réprimées durement avec l’intervention des chars

les saints protecteurs servaient de médiateurs (intercesseurs) auprès de Dieu pour répondre aux besoins d'une famille, d'une corporation… L'individu passait au second plan derrière le groupe. • Le xive siècle est très marqué par les crises : grandes épidémies (peste de 1348), guerre de Cent Ans… C'est une période d'inquiétude religieuse où la crainte de la mort et de la damnation se développe. Les croyants veulent sauver leur âme : un rapport plus individuel, plus personnel avec la divinité (toujours

tout-puissant et envoyé de Dieu sur Terre; il nomme l'archevêque de Constantinople à la tête de l'administration de l'Eglise. L'Europe est déchirée entre cette Eglise et l'Eglise romaine : en 1054, c'est le schisme entre les orthodoxes (byzantins) et les catholiques (chrétiens d'occident). Un schisme correspond, historiquement, à la scission d'un groupe en deux parties. Par exemple, en 1054, les Chrétiens se séparent en deux groupes : les Chrétiens d'occident, régis par le Pape à Rome, et les Chrétiens

populaire, les saints protecteurs servaient de médiateurs (intercesseurs) auprès de Dieu pour répondre aux besoins d'une famille, d'une corporation… L'individu passait au second plan derrière le groupe. • Le xive siècle est très marqué par les crises : grandes épidémies (peste de 1348), guerre de Cent Ans… C'est une période d'inquiétude religieuse où la crainte de la mort et de la damnation se développe. Les croyants veulent sauver leur âme : un rapport plus individuel, plus personnel avec la divinité (toujours

L'origine de la Réforme se trouve dans le climat d'inquiétude religieuse (Grande Peste) qui caractérise la fin du Moyen Âge et dans l'impuissance de l'Eglise à y trouver des réponses. La papauté apparaît comme incapable d'indiquer aux fidèles la voie à suivre pour assurer son Salut. La pratique religieuse glisse vers le terrain des superstitions (culte de la Vierge et des Saints, prières pour les pauvres, pèlerinages, port de médailles, accumulation d'indulgences,...), sans pour autant diminuer l'angoisse

est une source d'inspiration forte, et la langue latine y est privilégiée. Charlemagne tente une réunification avec l'empire byzantin vers l'an 800 mais il échoue, et, au cours des siècles, les relations avec Constantinople se détériorent jusqu'au schisme religieux. L'empire d'Occident se désagrège rapidement après la mort de Charlemagne. En 962, Otton Ier crée le Saint-Empire romain germanique, mais celui-ci ne peut s'étendre, contrecarré par la permanence de royaumes anciennement constitués, la France

populaire, les saints protecteurs servaient de médiateurs (intercesseurs) auprès de Dieu pour répondre aux besoins d'une famille, d'une corporation… L'individu passait au second plan derrière le groupe. • Le xive siècle est très marqué par les crises : grandes épidémies (peste de 1348), guerre de Cent Ans… C'est une période d'inquiétude religieuse où la crainte de la mort et de la damnation se développe. Les croyants veulent sauver leur âme : un rapport plus individuel, plus personnel avec la divinité (toujours