Le Grand Troupeau

« Zone », Apollinaire ZoneA la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation Seul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme L'Européen le plus moderne c'est vous Pape Pie X Et toi que les fenêtres

fonction de x. 2) Sur quel ensemble sont définies ces fonctions ? 3) Comment choisir x pour que l'aire du triangle DFC soit supérieure ou égale à celle du carré AEFG ? Exercice III : Un fermier auvergnat possède un troupeau de Salers, magnifiques vaches à la robe rousse et aux grandes cornes en lyre, dont on utilise le lait pour faire du Cantal. Il les installe dans un pré au bord d'une rivière (considérée comme rectiligne). Il possède 200 m de fil, mais comme il sait qu'elles n'aiment pas l'eau

Parodie: Les soldes Ah les soldes ! La période de l'année où les gens s'empressent dans les boutiques pour soit disant faire de bonnes affaires…La veille de cet évènement les grands magasins se préparent à recevoir une bandes de fauves à l'affût. J'adore les regarder s'engouffraient dans ces énormes boîtes aux noms multiples avec comme simple arme valide, ou non : leur carte de crédit. Ils se marchent les uns sur les autres pour s'arracher des bouts de tissus même pas à moitié prix. Et que

luttent ; ce sontCeux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins.Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.Car de son vague ennui le néant

La Laitière et le Pot au lait Perrette sur sa tête ayant un Pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue elle allait à grands pas ; Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon1 simple, et souliers plats. Notre laitière ainsi troussée2 Comptait déjà dans sa pensée Tout le prix de son lait, en employait l'argent, Achetait un cent d'œufs, faisait triple couvée3 ; La chose allait à bien par son soin diligent4. Il m'est

que ce ne devrait pas être le cas. La stupidité qui l’englobe est d'une pesanteur incroyable, elle est palpable. Il me fait dégobiller, bonté Divine! Tout ce qui émane de lui rencontre directement mon excrémenteux. Quel être vicieux! Ignoble! Les grands airs importants qu’il se donne devrait être un signe révélateur de combien il est con; les autres animaux devraient comprendre... Et pourtant, presque l'entièreté de la ferme l'honore. À tous les matins, quelques coqs de mon espèce s'époumonent

toucher, le toit du gymnase vibre tellement en fessent un bruit assourdissent, il a fini par s'en voler en s'éparpillent dans les quatre coins de la cour en fessent des blessées. Une grande foule paniquée sorte d'une petite porte du réfectoire, en se bousculant et en se piétinant les un les autres comme un troupeau d'animaux sauvages dans la savane, qui essayent d'échappent ou griffes d'un lion. En face une autre folle descendent l'escalier de la bibliologique en sursaute, comme une vague géante

reste du poème se présente donc comme une analepseBergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin· personnification de la Tour Eiffel “Bergère” qui ressort au milieu de Paris, presque sacralisée par le « ô » lyrique· symbolise le progrès industriel, construction ayant fait scandale, suscitant des réactions hostiles mais aussi enthousiastes, notamment de la part d’Apollinaire· champ lexical bucolique (“bergère” “troupeau” “bêle”) qui personnifie de manière étonnante l'architecture parisienne

lumière par l'effet du breuvage que Zeus lui administra sur les conseils de Métis. Selon d'autres auteurs, Rhéa parvint à soustraire Poséidon à la voracité de son père, elle lui donna à manger un jeune poulain, et elle cacha son fils au milieu d'un troupeau d'agneaux, près de Mantinée; confié à une nourrice du nom d'Arné, Poséidon grandit à l'insu de son père. On disait aussi que le jeune dieu avait été remis par sa mère à Capheira, fille d'Océanos qui l'éleva à Rhodes avec l'aide des Telchines. Quand

moindre de mes maux : Car à peine les coqs, commençant leur ramage2, Auront3 de cris aigus frappé le voisinage, 5 Qu'un affreux Serrurier, que le Ciel en courroux A fait, pour mes péchés, trop voisin de chez nous, Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête. J'entends déjà partout les charrettes courir, 10 Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir, Tandis que dans les airs mille cloches émues, D'un funèbre4 concert font retentir