Le Jeu Esther Granek

du latin et qui signifie « Cueilles-le jour sans te soucier du lendemain », et l’amour nous disent de profiter de la vie, de ne pas se soucier du temps qui passe & de vivre au jour en le jour en profitant de chaque instants. « Regrets » Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 Tu vois, Il resta muet Et terne d’aspect

le Jeu.Préface : Le thème de cette anthologie est le jeu. Pourquoi le jeu ? Parce que c’est peu commun, mais aussi parce que ça a plein de sens et d’interprétations différentes. Parce que l’humain et le jeu sont intimement liés. Aussi longtemps qu’il a existé, l’Homme a recherché le beau et la joie. Il a recherché le beau car il suscitait la joie. Et le jeu suscite aussi la joie ! Cette anthologie tente d’aborder de nombreuses facettes du jeu, les plus connus et les plus inattendues !Il est d’ailleurs

point trouvée Et j’ai bu le nectarEt j’ai usé l’espoirDes partout des nulle partQui se moquent de vousEt ne t’ai point trouvée Esther Granek, Portraits et chansons sans retouches, 1976 Xxe siecle A M. V. H. ( A Mon Ami Victor Hugo?) Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses. Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;Il faut

malheureusement toujours des guerres, même pendant que écrit et au moment ou vous allez lire cette préface, et heureusement des poètes n’oublie pas les gens qui souffrent et elles ont écrient des poètes pour ces personnes. Les poèmes sont « Le Jeu » d’Esther Granek (2009) et « Exécution » de Sibylle Rembard (2010). J’ai choisi de ranger les poèmes de mon anthologie de façon chronologique pour vous permettre de mieux voir de développement de la poésie engagée : au début peu présente à cause des gouvernements

l’amour est la poésie des sens. Les poèmes choisis sont : -espérance de Pierre Corneille, 17e siècle -perdu au jeu de Pierre Corneille, 17e siècle -dans vos yeux de Gaston Couté, 19e siècle - j’ai presque peur en vérité de Paul Verlaine, La bonne chanson, 1870 -la courbe de tes yeux de Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926 - toi de Esther Granek 1978 -l’ombres des anges de Isaac Lerutan, 2009 -a jamais de Chloe Douglas, 2010 -a ma fée de Christophe Bregaint, 2011

dirais et j’en dirais Tant fut cette vie aventure Où l’homme a pris grandeur nature Sa voix par-dessus les forêts Les monts les mers et les secrets Et j’en dirais et j’en dirais Oui pour passer le temps je chante Au violon s’use l’archet La pierre au jeu des ricochets Et que mon amour est touchante Près de moi dans l’ombre penchante Oui pour passer le temps je chante Je passe le temps en chantant Je chante pour passer le temps Louis Aragon COMMENTAIRE

 Préface L'Homme et la mer Après la bataille Le Dormeur du Val Carte Postale L’Évadé Le jeu Bibliographie Préface Dans cette anthologie poétique j'ai voulu évoquer les défauts et les travers que l’Homme possède, il m'a donc paru évident d'évoquer sa capacité à se montrer violent envers d'autres membres de son espèce pour de diverses raisons, parfois idéologiques, culturelles ou politiques. Le thème de mon anthologie s'est donc axé sur le paroxysme de cette violence, la guerre. C'est une caractéristique

Arthur Rimbaud 1854-1891 Waterloo avant la bataille J.Cl. Brinette Waterloo après la bataille J.Cl. Brinette Poème sur la guerre Brandon McGee 7e année, St. Pius X London (Ontario) La Lettre Didier Venturini Le cauchemar Jules Delavigne Le jeu Esther Granek Les fusillés Victor Hugo Poème sur la guerre 1914-1918 Maurice de Vlaminck Après la bataille Victor Hugo Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa

Comme ce cri de mon peuple vainqueur Rien n’est si grand qu’un linceul déchiré Paris Paris soi-même libéré Louis Aragon, 1944 Le jeu Seize sont blancs. Seize sont noirs. Alignement d’un face-à-face. Selon son rang, chacun se place. En symétrie, de part en part. Les plus petits sur le devant. Seize sont noirs. Seize sont blancs. Huit fois huit cases. Un jeu démarre. Joutes, et coups bas, et corps à corps, et durs combats. Ultime effort pour asséner à ceux d’en face : “Échec et mat

métaphore et le spectacle en vision Il décide de sauver un mendiant du froid, il lui propose de venir se réchauffer dans sa voiture et ensuite chez lui pour qu’il puisse sécher ses vêtements, mouillés, au bord de la cheminé. On saisit ici même le jeu de l’imagination poétique. « Semblait un ciel noir étoilé » Victor Hugo compare le manteau du pauvre a un ciel vaste , bleu mais qui s’assombrit avec le temps. On assiste à une scène entre deux personnages : le narrateur et un pauvre (Vers.1) ‘’ Un