Le Jeune Mendiant

sait rien de son emplacement. Kim apprend que le lama voyage seul, comme son pince, ou suiveur et le serviteur, est mort dans la ville précédente. Voyant que le lama est un vieil homme dans le besoin de l'aide, Kim, vêtu à la manière d'un enfant mendiant hindoue, accepte d'être chela nouvelles du lama et accompagner le lama dans sa quête. Il informe son ami et parfois un tuteur, Mahbub Ali, un commerçant bien connu à cheval afghanes, qu'il va quitter Lahore avec le lama, et il s'engage à exécuter

une vie comblée ; tout est sous ses yeux, il n’a qu’à saisir sa chance. Ensuite, les qualificatifs sur son avenir, poussiéreuse, caillouteuse et monotone sont utilisé dans l’idée que son avenir sera sans soubresaut et à la limite de la platitude. Le jeune protagoniste s’implique dans la communauté et dans la famille  : « aidait », « surveillait », et « soutenait » est un champ lexical de la bienveillance, de l’entraide. Il démontre un intérêt pour une vie sociale de qualité. Il est vêtu d’une chemise

Candide est un jeune qui habite avec le baron, sa femme et leur fille, Cunégonde dont il est amoureux. Il y a également Pangloss, qui est philosophe. Un soir, Cunégonde et Candide s’embrassèrent et il fut donc renvoyé. Il part donc à pied et rencontre 2 soldats qui le prennent dans l'armée, mais il se fait mettre en prison et le roi des Bulgares demande sa libération. Il décide donc de partir pour les Pays Bas et rencontre Jacques, qui lui donne à manger et lui offre un toit, et lui demande de travailler

talibans, porte un regard sur le totalitarisme religieux observé du point de vue de la femme, et plus particulièrement de l’enfance. Ce film a reçu de nombreuses récompenses. L’action se situe au début de la prise de pouvoir par les talibans. Une jeune fille de douze ans vit avec sa mère et sa grand-mère. La mère est un médecin qui n’a plus le droit d’exercer en raison des interdits imposés par le nouveau régime, de même qu’elle ne peut plus sortir de chez elle sans compagnon « légal ». Son mari

15e siècle, une jeune et belle gitane appelée Esméralda danse sur le parvis de Notre Dame. Sa beauté bouleverse l'archidiacre de Notre-Dame, Claude Frollo, qui veut la faire enlever par son sonneur de cloches, le malformé Quasimodo. Esméralda est sauvée par une escouade d'archers, commandée par le capitaine de la garde Phoebus de Châteaupers. Quand Esmeralda retrouve Phoebus plusieurs jours plus tard, elle lui laisse voir l'amour qu'il lui a inspiré. Certes, Phoebus est fiancé à la jeune Fleur-de-Lys

vendéennes. Poursuivi par l’armée républicaine, il rencontre le mendiant Tellmarch qui le cachera. 5 10 – Comment vous appelez-vous ? dit le marquis. – Je m’appelle Tellmarch1, et l’on m’appelle le Caimand2. – Je sais. Caimand est un mot du pays. – Qui veut dire mendiant. On me surnomme aussi le Vieux. Il poursuivit : – Voilà quarante ans qu’on m’appelle le Vieux. – Quarante ans ! Mais vous étiez jeune ? – Je n’ai jamais été jeune. Vous l’êtes toujours, vous, monsieur le marquis. Vous avez des

Christian, Roxane et Cyrano. Christian est beau et vaillant mais totalement incapable de séduire par les mots sa belle précieuse. Caché dans l'ombre sous le balcon de Roxane, Cyrano souffle à Christian sa déclaration d'amour, puis va jusqu'à séduire la jeune femme en déclamant lui-même des vers, la laissant totalement charmé par un si bel esprit qu'elle pense être celui de Christian. En quoi cette scène présente-t-elle un jeu de séduction mêlant les registres comique, lyrique et pathétique ? Dans un

Hans Jakob Christoffel von Grimmelshausen, Les Aventures de Simplicissimus, 1669, Fayard Narrées à la première personne, les aventures du jeune Simplex, fils de paysans pauvres arraché aux siens par les malheurs du temps, recueilli par un ermite au fond des bois, à nouveau jeté sur les routes, emprisonné puis libéré, tour à tour page d'un gentilhomme, bouffon d'un gouverneur de province, soldat, brigand, puis à nouveau bouffon. Le tout mené tambour battant, les épisodes succédant aux épisodes à

& donc est payé peu car payé que pour sa mise en servitude : disposition de son temps de travail, d’une partie de sa liberté. - Le misérable. Celui qui a perdu toute félicité. Cicéron appelle miséreux les morts car ils sont perdus la vie. Les mendiants car ils ont moins que le minimum vital. La misère manifeste une gradation dans la pauvreté, c’est celui qui a moins que le minimum vital pour pouvoir subsister. - L’exclu renvoie non seulement à une forme de misère économique & sociale mais aussi

rebutent ses ennemis ; plus ils le tourmentent, plus il se hérisse et se resserre.» L'élégance de l'animal est implicite. Mais c'est par Jean Giraudoux qu'on approche un peu plus le mécanisme du roman. Dans Electre, il fait dire au personnage du Mendiant pourquoi cet animal meurt écrasé : cet imbécile va chercher son amour de l'autre côté de la chaussée. «L'amour pour les hérissons, résume-t-il, consiste d'abord à franchir une route.» Comme tout le monde semble avoir lu et aimé le roman de Barbery