Le Jeune Mendiant

s'opposent � ses desseins, elles montrent le bonheur tranquil auquel Electre veut l'arracher, elles prennent sa forme et son �ge pour le tourmenter � la fin de la pi�ce. Elles tentent d'installer le doute chez Electre � la fin de la pi�ce. Le Mendiant: -personnage �nigmatique qui arrive du haut d'un escabeau, on ne sait pas si c'est un dieu. -joue le r�le du t�moin, du d�tective, accoucheur de la v�rit�, porte parole du destin qu'il met en lumi�re -commente les paroles et les actions des personnages

marier au jardinier pour « repasser sur la famille des Théocathoclès tout ce qui risque de jeter quelque jour un lustre fâcheux sur la famille des Atrides. » comme le dit le Président à l’Acte I, Scène 2. Le Mendiant : homme ou divinité, telle est la question concernant le Mendiant. On ne sait rien sur lui, même pas son nom, tandis que lui semble tout savoir ; il raconte les histoires en détails que ce soit celle de la chute d’Oreste, de l’assassinat d’Agamemnon ou même celle du meurtre d’Egisthe

est aussi Egisthe. Le Jardinier, qui s’occupe du jardin du palais, est le futur époux d’Electre. Il fait parti de la même famille que le président. Le Mendiant, c’est un personnage énigmatique : « Jamais on n’a vu de mendiant aussi parfait comme mendiant, aussi le bruit court que cela doit être un Dieu ». La femme Narsès, c’est une amie du mendiant. Elle appellera Electre « ma fille » avec son consentement à la fin de l’Acte II. Les trois Euménides, (« Euménides » signifie en grec : « bienveillantes »)

aux destins tragiques qui leur a été attribués. La tragédie et l'horreur de la famine et l’herpès dans la l'humidité pestilentiel de la mousson, entre dans la chaire du lecteur dans les formes les plus sensorielles : la musique, le chant de la mendiante, les mouvement du ventilateur, des sanglots du vice-consul. Duras dit : «L'écrit est le passage de l'histoire par soi, le temps de cette histoire qui est là. Je capte l'eau et je le rend, je rend la herpe par la herpe. Je rends cette femme à la

dans son roman deux personnages Le marquis de Lantenac et le mendiant Tellmarch qui appartiennent respectivement à des classes sociales complétement opposé. Il y a une généralisation et une insistance des deux communautés “ Les riches et les pauvres. Finalement généralisation insiste sur la mise en par<llèle des deux classes sociales, celles-ci semblent se frôler sand s’assimiler, se mélanger: il y a mise en apposition lorsque le mendiant Tellmarch dit “ Les pauvres, les riches, c’est une terrible

sensations d’un mendiant en Inde » (M. Boulet, 2003, p. 131). L’auteur ne cherche pas à intervenir dans les relations entre les intouchables. Il évite un maximum d’adresser la parole aux autres mendiants présents dans la gare. Il ne cherche donc pas à susciter des réactions ou des amitiés « si mes voisins ne sont pas causant cela fait parti de leur caractère et ce n’est pas à moi de les dérider » (M. Boulet, 2003, p. 53). Bien que se rapprochant, dès le début de l’étude, d’une famille de mendiants, il essaie

ils contrastent les couleurs chaudes et les couleurs froides, les couleurs chaudes sont souvent sur les personnages et les couleurs froides constituent souvent le décor. En haut du tableau on voit un soldat mendiant mutilé, on voit que c’est une personne pauvre parce que c’est un mendiant déjà, et aussi on le voit a ses prothèses on voit que ses des prothèses de mauvaise qualités, on peut les comparer aux prothèses qu’il y a dans la vitrine a droite. En bas il y a un général de guerre qui est handicapée

ANALYTIQUE « A une mendiante rousse » Baudelaire écrit en 1857 Les Fleurs du mal, recueil poétique immédiatement censuré par Pinard qui a dû être remanié par Baudelaire afin d’être accepté. Ce recueil s’organise en six sections dont « Tableaux parisiens ». Dans celle-ci, Baudelaire accède encore davantage à la Modernité en devenant un poète-passant de/dans la Ville. Le poème étudié intitulé « A une mendiante rousse » rend évidemment par son titre même hommage à la fameuse mendiante tout en proposant

rRésumé Désert, JMG Le Clézio Dans son roman Désert, J.M.G. Le Clézio raconte deux histoires inter croisées : celle de Nour, un jeune garçon qui est témoin de la résistance de son peuple à l’invasion coloniale au début du XXme siècle, et celle de Lalla, lointaine descendante par sa mère de ces «  hommes bleus », qui résiste aussi à sa façon aux artifices de l’Occident moderne.La première histoire est celle des «  hommes bleus », de fiers guerriers nomades du désert saharien qui vivent en parfaite

son maître derrière un rocher, puis appelle à l'aide. Lorsque le roi arrive, le Chat explique que son maître, le « marquis de Carabas » s'est fait dépouiller de ses habits alors qu'il se baignait dans la rivière. Le roi offre de riches vêtements au jeune homme et l'invite à s'asseoir dans son carrosse aux côtés de sa fille qui tombe instantanément amoureuse de lui. Le Chat court en précédant le carrosse et ordonne aux gens qu'il rencontre tout au long de la route de dire au roi que cette terre