Le Jour de la bête

l’être humain fut un jour réellement bon. En effet, à mon égard que ça soit à l’état de nature ou en société l’humain n’est qu’en général une bête destructive, violente et pourvu de scrupule. Prenons exemple sur les mœurs de la deuxième guerre mondiale ou encore la fusillade qu’il y a eu à Newtown au États-Unis 2012 ou des jeunes enfants sont mort. Dans chacun des cas, des innocents ont été victime de la nature humaine. C’est donc en raison de ma perception de l’homme, soit une bête mauvaise que je pense

critiquée par Rousseau qui estime qu’elles ne sont pas toutes obligatoires : « Mais qui vous dit que tout cet arrangement est à votre disposition, et que toutes ces belles instructions dont vous accablez le faible esprit d’un enfant ne lui seront pas un jour plus pernicieuses qu’utiles ? », dans cet extrait, il est fortement impliqué dans son discours, afin de convaincre son lecteur. Il préconise également que l’enfance est une partie de la vie où l’on est tout le temps heureux « Aimez l’enfance ; favorisez

venir les tentacules et est pris de cours lorsqu’ elle se fait attraper. Le seul moyen de sortir vivant de cette bête légendaire est de se faire le plus droit possible afin qu’elle ne vous tue pas lors de la capture. Ensuite vous pouvez rester vivant au fond de son estomac et attendre avec impatience l’arrivait d’une personne assez courageuse pour tuer le Kraken. {draw:frame} Un beau jour d’hiver, alors que Bilhild allait se promenait au bord de la mer de Norvège elle se rendit compte qu’elle avait

(1 point) 8. Qu’est-il décidé pour retrouver la bête ? (1 point) 9. Comment le maire est-il surnommé ? (1 point) 10. Comment s’appelle le second mort ? (1 point) 11. Où est située la ville d’El Idilio ? (1 point) 12. Quelles sont les qualités du héros ? (2 points) 13. Comment est morte son épouse ? (1 point) 14. Grâce à qui le héros sait-il qu’il sait lire ? (1 point) 15. Quelle est l’attitude du maire face au danger ? (1 point) 16. Pourquoi la bête tue-t-elle ? (1 point) 17. Pourquoi le héros a-t-il

allemand se prénomme-t-il ? a. Werther b. Walter c. Werner d. William 2. Dans quelle ville de France se rend-t-il en permission ? a. Lyon b. Chartres c. Lille d. Paris 3. Quel personnage recueille le petit garçon « ce jour-là » ? a. une grand-mère b. un postier c. une voisine d. un oncle 4. Dans « L’Impuissance », de qui le narrateur annonce-t-il à Renaud la nouvelle de la mort ? a. Benjamin Crémieux b. Renaud Houlade c. Bernard Meyer d. Paul Valéry

pathétique dans le primitif des sensations, l'amour rendu en nuances émues, tout ensemble rude et attendrissant, sont les qualités qui éclatent partout; que dès le début, alors que le braconnier Cachaprès guette maine douce jeune fermière Ger- qu'une bête s'éveille en et « )), la une magie parfume les pages, senteur de nature et de volupté delà belle fille et lui, ; que du demi-sauvage, féroce et une large les amours les dialogues nets et précis, les naïvetés et les ruses de l'homme

aussitôt se pencha sur son visage : elle était déjà morte. Ses yeux étaient écarquillés, comme s'ils avaient voulu bondir hors des orbites, son front et tout son visage était ridé et déformés par la dernière convulsion. TEXTE B - Emile Zola, La Bête humaine. 1890, chapitre 11 Jacques Lantier, conducteur de trains, est obsédé depuis longtemps par l'envie de tuer. Un soir, il finit par passer à l'acte et assassine sa mattresse, Séverine]. Immobile, Jacques maintenant la regardait, allongée à

descendait dans la terre grasse d'une fosse. Une sorte d'écœurement la prit à la gorge, elle eut des frissons de peur » car elle préfère la campagne, p23 « Quand elle était seule, dans l'herbe, au bord de l'eau, elle se couchait à plat ventre comme une bête, les yeux noirs agrandis, le corps tordu, près de bondir. Et elle restait là, pendant des heures, ne pensant à rien, heureuse d'enfoncer ses doigts dans la terre ». Elle prit sa place derrière le comptoir avec Mme RAQUIN. Puis, quand il commença

message s’adresse a aussi aux français de France et aux autres hommes, parce que le français est une langue de gentillesse et d’honnêteté. Qui a dit que c’était une langue grise et atone d’ingénieurs et de diplomates ? Bien sûr, moi aussi, je l’ai dit un jour, pour les besoins de ma thèse. On me le pardonnera ? Car je sais ses ressources pour l’avoir goûté, mâché, enseigné, et qu’il est la langue des dieux. Ecoutez donc Corneille, Lautréamont, Rimbaud, Péguy et Claudel. Ecoutez le grand Hugo. Le français

s’empêcher de murmurer : « Regardez cet homme, il n’a aucune pitié ! Il se repose sur le dos de l’âne et laisse son pauvre fils à pied ». Le sage dit à son fils : « Tu as bien entendu ? Demain, tu viendras avec moi au marché ! » Le deuxième jour, le sage et son fils firent le contraire : le garçon monta sur le dos de l’âne et le vieil homme marcha à ses côtés. A l’entrée de la place, les mêmes marchands étaient là : « Regardez cet enfant qui n’a aucune éducation, dirent-ils. Il est tranquille