Rédaction sur le poeme carousel
C’était un beau cheval, un pur sang Anglais pour tout dire mais qui manquait cruellement d’entraînement. Son maître, Philipe Ducrué était un petit boulanger qui avait acheté ce cheval après une augmentation de son chiffre d’affaire, après la mort de sa femme. Pourquoi après la mort de se femme ? Car elle avait toujours rêvait d’avoir un animal, un cheval en particulier. Quelques jours après que Philipe lui eut annoncé leur chiffre d’affaire et son rêve qui pourrait se réaliser, elle mourut subitement, de quoi ? Personne ne l’a sut ou personne lui dit. L’année suivante son chiffre d’affaire baissa après la construction d’une grande surface possédant une boulangerie. Alors après avoir fait faillite il décida d’aller de centre équestre en centre équestre pour montrer son magnifique cheval. Les plus gentils dire : « Il manque d’entraînement, revenez dans quelques temps, ou il est trop jeune revenez dans 3 ans. » alors que les plus hargneux dire : « Ce n’est pas un cheval ça ! Sans entraînement ça ne vaut rien ! Ou : Quel maître avait-il ? Le pauvre, donnez-le moi ! Ou bien même encore : C’est un pur sang Anglais ça ? Laissez-moi rire ! ». Désespéré, il décida de faire le tour du monde avec son cheval, enfin le tour de quelque chose, de partir d’ici. Il prit le nécessaire et parti dès la première du lendemain de sa décision.
La nuit tombait déjà sur la ville, mais quelle ville ? Monsieur Ducrué se le demandait … Il y avait un jardin public, il entra et attendit que les gardiens partent pour s’y installer. Il attacha son cheval à un arbre avec une corde même si il ne jugeait pas cela utile. Son cheval lui avait toujours été fidèle et en échange de cela son maître l’avait toujours traité correctement. Mais il lui confié tout aussi même si tout le monde pensait cela débile, le cheval ne pouvant pas comprendre, monsieur Ducrué avait l’impression que son cheval été quelqu’un, comme si sa femme (morte un peu avant l’achat de se cheval) s’était réincarné à