Le Jugement Dernier De Giotto

commerce triangulaire ce qui les approvisionnent en produits des colonies américaines comme le sucre, et africaines. C] Une nouvelle approche de l’art 1) La peinture La Renaissance apparait en Italie a la fin du 13ème siècle avec l’œuvre de Giotto. Pour la première fois un peintre structure l’espace en profondeur, construit une véritable histoire et donne à ses personnages des attitudes, des expressions qui traduisent les sentiments humains. Mais il peint à fresque ou sur le bois ce qui ne

(455-526), roi des Ostrogoths, entend se poser en digne héritier de la civilisation romaine, en protégeant les lettres et les arts, en imposant le droit romain et en s'entourant de conseillers latins, notamment, Boèce et Cassiodore. Boèce est l'un des derniers intellectuels classiques de l'antiquité, c'est-à-dire intégrant les deux cultures, latine et grecque. L'époque voit en effet s'accentuer la ligne de fracture qui traverse l'ex-empire romain entre l'Orient byzantin, imprégné d'hellénisme, et l'Occident

Cinerum (début du Carême) 25 mars 2011, Annuntiatio (Annonciation) 17 avril 2011, Dominica in Palmis (entrée à Jérusalem) 21 avril 2011, Dies Cenae Domini (Jeudi saint) 22 avril 2011, Dies Passionis (Vendredi saint) 23 avril 2011, Sabbatum Sanctum (dernier jour du Carême) 24 avril 2011, Dominica Resurrectionis Domini (Pâques) 2 juin 2011, Ascensionis Domini (Ascension) 12 juin 2011, Pentecoste (Pentecôte) 15 août 2011, Assumptione Mariae Virginis (Assomption) 1er novembre 2011, Omnium Santorum (Toussaint)

représentait peu d’éléments mais des éléments essentiels. Parfois, c’était des sculptures sur chapiteaux (ex : cathédrale d’Autun, 12è). Les artistes expriment souvent la violence dans les peintures religieuses (représentation des enfers, du jugement dernier, des scènes des martyrs des saints) b) Les sujets profanes : = les sujets mythologiques. Ex : Praxitèle, Artémis, 345 ACN. A la Renaissance, on commence à représenter des scènes mythologiques dans un contexte profane (ex : la Vénus d’Urbino

jamais dépasser le stade de la spéculation ? N' est-il pas légitime, et même nécessaire, dans ce cas, de dégager les principes caractéristiques d'un art, comme on l'a fait pour celui de la Renaissance européenne, pourtant individualisé à l'extrême, de Giotto au Titien, de Jan van Eyck à Dürer ? Dans ce domaine, les spécialistes n'ont jamais hésité à formuler des généralités. La question d'une identité commune de l'art africain - qui suppose aussi une esthétique commune - se pose d'une manière inéluctable

Renaissance s’épanouit sur près de trois siècles, en trois périodes successives : le Trecento (XIVe siècle), le Quattrocento (XVe siècle) et le Cinquecento (XVIe siècle). Dans son ouvrage, Vasari parle de trois âges : celui des précurseurs, Cimabue et Giotto, celui des initiateurs, Masaccio, Brunelleschi et Donatello, et enfin celui des maîtres accomplis, Bramante, Vinci, Raphaël et Michel-Ange, qui selon Vasari égalent et même dépassent ceux de l’Antiquité. Il faudra attendre le XIXe siècle pour que

cette époque. On reproduit les acquis du passé : * paléo-chrétiens : plan basilical à transept ainsi que l’art lombard. * mérovingiens : jeux de volumes complexes * carolingiens : systématisation des coupoles et des clochers, ces derniers perçus comme symboles de puissance et d’élévation mystique (en Italie le clocher ou campanile est même séparé de l’église) * L’architecture romane se distingue par : * le voûtement en berceau (complètement arrondi, comme plus tôt en Mésopotamie)

époque, « le système social était en train de s’orienter vers un professionnalisme urbain »13 où apparaissent des nouveaux corps de métiers urbains, le libraire éditeur, le peintre, le joailler, ou encore, celui qui nous intéresse : l’architecte. Ce dernier se pose en opposition à « l’architecte amateur »14 monastique, il devient donc « architecte professionnel »15, il côtoie le terrain, et gagne un salaire envié par le bas clergé. Il gagne en reconnaissance, son portrait s’inscrivant parfois aux côtés

nécessaire à l’équilibre du roi souvent confronté à des difficultés. I. Les cours princières, un foyer de culture et d’arts A. La multiplication des cours, un phénomène de la fin du Moyen Age 1. L’automne du Moyen Age ? Les deux derniers siècles du MA ont été perçus comme une période de troubles. Les XIV et XV sont marqués par des crises : omniprésence de la mort (peste, guerre de Cent Ans…), omniprésence des impôts… En Italie, les combats entre condottières créent une certaine instabilité

considération d’ordre artistique. Ce sont de bons et d’habiles artisans comme les autres. L’organisation des métiers A l’exception des musiciens, toutes les activités artistiques s’intègrent dans le cadre des métiers qui s’organisent au cours des trois derniers siècles du Moyen-Age. Appelés métiers, guildes, ou arti en Italie (pas de terme corporation dans la période médiévale). Ces groupements professionnels définissent le cadre de toute activité artisanale en France comme en Italie. Ils sont bien connus