Le Lais

comment cette passion qui passe par le regard dévore nos deux personnages, et met notre héroïne face à un choix cornélien. 1er §: * importance de la beauté ("belles personnes" l.1, "si belle" l.4) et du regard ("portraits " l.1, "voir" l.3, "yeux/laisser trop voir/regarder" l.5) : l'on s'aperçoit avec ces deux champs lexicaux, que la beauté attire le regard et que le regard entraîne l'amour ("Elle était si belle, ce jour-là, qu'il en serait devenu amoureux quand il ne l'aurait pas été." l.4). L'amour

plus de 45 kilomètres de haut conforte le lecteur dans sa lecture. Il n’y a plus aucune proportion autour de ce personnage, le lecteur s’évade du monde réel et s’installe dans un monde de fiction. Le fil de l’action se déroulant d’abord sur Saturne, laisse le lecteur très loin des limites humaines. De plus, le récit est bref. Alternant observations et discutions, l’histoire reste dynamique. Le lecteur est conduit par le rythme. C’est une certitude pour l’auteur que le lecteur est dans l’histoire et

près du milieu extérieur fournissant la chaleur. L’œuf est laissé peut de temps dans le milieu chaud sa température est donc moins élevée que celle d’un œuf mollet ou dur. Aux différentes températures par lesquelles l’œuf est passé correspond la dénaturation de seulement certaines protéines : le blanc durcit un peu mais le jaune n’a pas le temps de se réchauffer pour coaguler, il est liquide. L’œuf mollet puis dur : l’œuf est laisser dans un milieu où la température monte, ce qui a pour effet

fable, Jean de La Fontaine illustre-t-il sa vision du rêve et de ses limite. Nous allons d'abord nous intéresser à la rêverie de Perrette puis par la suite à son retour brutal à la réalité et nous terminerons par la moral que l'auteur veux nous laisser faire comprendre. Jean de La Fontaine avant même de vouloir montrer le rêve de la jeune laitière, commence par nous faire une description physique de cette dernière pour bien insister sur le fait qu'elle est sûre d'elle « prétendait arriver

C'est une femme belle et de riche encolure,Qui laisse dans son vin traîner sa chevelure.Les griffes de l'amour, les poisons du tripot,Tout glisse et tout s'émousse au granit de sa peau.Elle rit à la mort et nargue la Débauche,Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche,Dans ses jeux destructeurs a pourtant respectéDe ce corps ferme et droit la rude majesté.Elle marche en déesse et repose en sultane ;Elle a dans le plaisir la foi mahométane,Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses

le roman Les liaisons dangereuse de Laclos, et Félicia ou mes fredaines de Nerciat, car ils présentent des caractéristiques évidente soit du libertinage cynique ou bienveillant. Ces caractéristiques sont entre autre l'attirance envers le défi, le laisser aller des désirs et des plaisirs, la manipulation d'autrui afin d'en tirer avantage, Premièrement, dans l'extrait de Félicia ou mes Fredaines on peut constater que Félicia est attiré par une cible qui devient de plus en plus difficile, elle aime

peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. - Ecouter, c’est commencer par se taire. - Ecouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser rejoindre et peut-être transformer par l’autre.  - Ecouter, c’est accepter. C’est laisser tomber ce qui nous occupe pour donner son temps à l’autre.  - Ecouter, ce n’est pas chercher à répondre à celui qui se cherche, se dit ou résonne devant nous. - Ecouter, c’est accueillir l’autre, le

de laisser le passage aux autres: "R. voulez vous laisser les personnes entrer à la lingerie" Aucune réponse "R. voulez vous laisser les personnes entrer à la lingerie" Toujours aucune réponse, le visage de R. se ferme, il à les yeux dans le vague. Je réitère pour la troisième fois ma question, mais toujours dans le vide. A ce moment, je monte le ton, R. reste impassible. Je lui prends le bras pour l'emmener avec moi hors de la lingerie, R. résiste et me repousse. Il me répond: "laisse moi"

épices ont pris de la couleur il faut ajouter les graines à roussir (Ne pas les laisser trop longtemps sinon ça devient amère). Quand les épices sont bien colorés avec les graines à roussir il faut ajouter la viande et recouvrir aussitôt. Comment faire le "Colombo" - Faire revenir les épices (cives, ails) avec de l’huile. -Quand les épices ont pris de la couleur il faut ajouter les graines à roussir (Ne pas les laisser trop longtemps sinon ça devient amère). -Quand les épices sont bien colorés

Pour La Bruyère, la cour est en premier lieu une contrée inconnue. On peut remarquer que l’auteur ne nomme jamais Versailles par son véritable nom : « *** » (l33). Cela lui permet d’échapper à la forte censure qui sévissait à l’époque. Mais cela nous laisse aussi penser que le nom de la cour (Versailles) était un nom tellement compliqué qu’on a eu beau lui dire, il n’a pas pu s’empêcher de l’oublier. Cette idée est accentuée lorsque La Bruyère désigne la cour avec d’autres mots : « régions » (l1). En