Le Lever Chez Les Bourgeois

ZOLA Germinal, La révolte. (V° partie, chap. 5, de "Les femmes avaient paru … couperet de guillotine") INTRODUCTION (à développer) La scène est vue par les bourgeois cachés dans une grange. DEVELOPPEMENT I° partie - La force de cette description vient d'abord de sa composition. 1°§ - Zola compose le cortège de manière inattendue et cependant solidement structurée. Il place, en effet, en tête du groupe les "femmes" qui sont en principe les êtres les plus faibles, les plus doux

Appui du Roi pour faire lever cette interdiction (1669). 1665 Don Juan -pose le problème du « libertinage » en lien avec l’hypocrisie, cynisme vis-à-vis de la société. 1666 Le Misanthrope – opposition entre la sincérité de la vie mondaine, l’énergie d’un honnête homme et sa faiblesse devant la femme qu’il aime. Le Médecin malgré lui – farce- Amphitryon – référence mythologique- 1668 L’Avare – comédie- 1670 Le Bourgeois Gentilhomme - comédie-ballet –

d’écriture. Le premier texte est une scène issue de l’acte II de l’œuvre de Molière, Le Bourgeois gentilhomme paru en 1670. Cette pièce se situe à l’apogée de la période littéraire dite « Classique » qui correspond à la seconde moitié du XVIIème siècle. A cette époque les auteurs étaient soumis à de nombreuses règles, visant à respecter la bienséance du spectateur. Dans cette pièce Molière se moque d’un riche bourgeois qui désire imiter le comportement de la vie des nobles. Le second extrait est directement

avoir d'avantage d'argent en temps de crise la monarchie met en vente des lettres les roi on anobli par lettre c'est une récompense pour les militaire prestigieux d'habile négociant ou les meilleur serviteur l'aspiration a être noble était si forte chez les riche roturier qu'il fallait trouver un moyen d'usurpation réaliser en plusieurs génération pour le devenir. Après s'être enrichie lors de négociation il fallait investir dans un château, une seigneurie et adopté un mode de vie noble symbolisé

Une représentation à l'Hôtel de Bourgogne ». La didascalie initiale indique : « en 1640 ».] [...] LA SALLE Commencez !UN BOURGEOIS, dont la perruque s'envole au bout d'une ficelle, pêchée par un page de la galerie supérieure.                  Ma perruque !CRIS DE JOIE                                     Il est chauve !...  Bravo, les pages !... Ha ! ha ! ha !... LE BOURGEOIS, furieux, montrant le poing.                                                  Petit gredin ! RIRES ET CRIS, qui commencent

populaires . - achats de souvenirs ringards . - ils aiment la convivialité des voyages en groupe . - ils apprécient la programmation des excursions . L’interaction groupe/individus . Comportement : ensemble de réaction observable dire bonjour, lever la main pour prendre la parole . Les individus sont des motards .les éléments qui rapprochent ces différents individus sont les motos ( la passion ) et aussi pour les Harley Davidson ! ( veste en cuir ) lunette noir et un jean, langage (v) , cheveux

nouvellement bâtie sur une portion de cour d’un vieil hôtel à jardin. Il arrive chez le baron Hulot d’Ervy. Monsieur Célestin Crevel (52ans) : veuf depuis 5 ans (chap.3), capitaine de la garde nationale, de la 2ème légion. Il est content de lui. Gros homme, ventre piriforme, teint rougeaud, joufflue, vêtu de bleu, démarche pesante. Ancien commerçant, boutiquier et parfumeur retiré, relativement riche. Quinquagénaire, dandy, bourgeois, « commerçant parvenu », d’abord commis à La Reine des Roses, il succède

moquette grise d'un long corridor, haut et étroit. Les murs seraient des placards de bois clair, dont les ferrures de cuivre luiraient. »   La Condition Humaine (1933), André Malraux: « Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire ? Frapperait-il au travers ? »   Du côté de chez Swann (1913), Marcel Proust: « Longtemps je me suis couché de bonne heure. »   L'Étranger (1942), Albert Camus : « Aujourd’hui, Maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. »   Germinal (1885),

premier acte est intitulé : « Une représentation à l’Hôtel de Bourgogne ». La didascalie initiale indique : « en 1640 ». […] LA SALLE Commencez ! UN BOURGEOIS, dont la perruque s'envole au bout d'une ficelle, pêchée par un page de la galerie supérieure. Ma perruque ! CRIS DE JOIE Il est chauve !... Bravo, les pages !... Ha ! ha ! ha !... LE BOURGEOIS, furieux, montrant le poing. Petit gredin ! RIRES ET CRIS, qui commencent très fort et vont décroissant. Ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! (Silence

Aix-en-Provence en 1843 et son père meurt 4 ans plus tard alors qu’il n’a que 7 ans. Il étudie au collège Bourbon à Aix-en-Provence puis au lycée Saint-Louis à Paris. Il rate deux fois le baccalauréat, il décide d’abandonner ses études et il rentre chez Hachette au service des expéditions en 1862. Il publie son premier ouvrage "Contes à Ninon" à l'âge de vingt-quatre ans, puis son premier roman La Confession de Claude un an plus tard. En 1866 il quitte Hachette et il collabore avec plusieurs journaux