Le Libertinage Conclusion

ont dû être bannis, car elles ont offensé l’Église en insultant un dévot et le mariage. Dom Juan[] ou le Festin de pierre est une comédie de Molière en cinq actes qui ne respecte pas les unités de temps, de lieu et d’action. L’œuvre dévoile le libertinage du protagoniste, qui se montre contre la fidélité et qui a du plaisir lors de ses conquêtes amoureuses. Tout d’abord, voyons comment Dom Juan condamne la fidélité. D’ailleurs, on constate dans plusieurs passages du texte que Dom Juan désapprouve

I Intro : Introduction : - Dom Juan, 1665, au terme d'une période difficile marqué par les attaques du partie des Dévots et l'interdiction de Tartuffe (1664) : pièce qui s'attache à un phénomène social et culturel du XVII ème siècle : le libertinage - scène d'ouverture : * traditionnelle : délivre des informations ,personnalité du maitre « mise en « appétit » * originale : car ces informations sont présentées par des personnages secondaires et se mêlent à une digression en apparence inutile

jusqu'à insulter son maître : "cœur de tigre" (idem). *Conclusion: Dom Juan et Sganarelle sont deux personnages différents, mais complémentaires, et le couple formé de l'opposition de 2 types social, 2 types d'hommes, de caractères à non seulement une fonction comique importante, mais permet aussi à Molière de discuter, de faire débattre ses personnages sur des sujets sensibles à l'époque comme la morale, le libertinage et la religion.

ligne 5 : montre la proximité croissante. Remise en cause du libertinage royale et religieux La relation avec Dieu se fait en dehors de l'Église Apprentissage de texte biblique : pour instruire l'esprit Etude = exigence Ponocrate croit en lui car son éducation est basée sur l'application L'apprentissage se fait sur deux aspects : apprendre par coeur / appliquer Rabelais ne peut s'empêcher d'être ironique et d'avoir de la distance Conclusion : Il faut mettre ce texte en parallèle avec le texte sur l'éducation

plaisir, au luxe. La richesse s’affiche; la galanterie se cultive. Tendance à l’épicurisme. Voir peinture de Watteau ou de Lancret : univers de fêtes insouciant et frivole; celle de Boucher montre les polissonneries de boudoir. Mode de l’orient et du libertinage. Style rococo: enjolivement ds les détails; goût pour la fantaisie exotique; Voir peinture de Fragonard, de Greuze, jardins à l’anglaise. Mélange des formes et des tons. 2. Le déclin de la poésie Seul genre à connaître un réel déclin

créant une exploration complexe de la psychologie humaine. Le roman explore également les thèmes du libertinage, de l'hypocrisie et de la perte d'innocence. Il montre comment les jeux de séduction et de pouvoir peuvent conduire à des tragédies personnelles et sociales. Les personnages, bien qu'aisés et puissants, sont révélés comme étant profondément vulnérables et émotionnellement fragiles. Conclusion : "Les Liaisons dangereuses" est un roman captivant qui offre une plongée profonde dans les intrigues

monde, « les éducations cloitrées» L.22, « ses principes austères » L.23. Valmont, quant à lui, l’admet « jeune fille (…) qui ne connaît rien (…) livrée sans défense » L.17 mais est ravi de pouvoir profiter de la naïveté des demoiselles. En conclusion, ces deux lettres sont complémentaires car chacune représente le caractère d’un personnage qui se complètent mutuellement, les deux personnages partagent les mêmes opinions libertines, la marquise domine le vicomte et par ses sottes d’humeurs donne

présenter toute conquête amoureuse : emploi de formules généralisantes : "elle", "on" et "tant d'autres". D'ailleurs la multiplicité des expériences de Valmont est traduite par les pluriels indéfinis "la foule de femmes" et "mes autres aventures".  Conclusion : L'utilisation du vocabulaire militaire associé à l'amour montre que Valmont fait de sa vie une succession de conquêtes. Tout se passe comme si Valmont ne pouvait plus concevoir les relations humaines qu'en terme de domination, de compétition et

Il semble cependant que Molière n’ait eu connaissance que des versions italiennes et françaises. Cette pièce s’inscrit dans un projet de Molière de « dénoncer les vices du siècle », en particulier l’hypocrisie. Elle est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses note . Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie, que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. En présentant un libertin foudroyé par

il n'a pratiquement pas exercé sa charge et n'a publié aucun livre. Fait preuve d’une incroyance tapageuse, sauf quand la mort approche, réputation de viveur et d'« illustre débauché », ami de Théophile de Viau (Rincé p. 34), figure de proue du libertinage au XVIIe siècle. On n'a longtemps connu de lui qu'un sonnet pieux, où le pécheur repentant déclare accepter le châtiment qui l'attend, sans désespérer de la miséricorde divine [cf Hymne sur les merveilles de la saincte Eucharistie et sur les effets