Le Libertinage Conclusion

entre narration et descriptions ; cohérence de l’intrigue, etc.) et à l'art oratoire propre à la lettre, défini par  la tradition médiévale. Celle-ci distingue cinq parties : l ouvertue la captation de l interet du lecteur le recit la requete et la conclusion Le roman épistolaire se développe comme n’importe quel roman, en créant une intrigue, le suspense, la variété de ton et le point de vue des personnages. Il renvoie aussi très souvent à une critique politique ou sociale de la vie réelle, ou à une

implicitement les travers des nobles et des bourgeois de son époque .b)-(exemple) Ainsi, dans "Dom Juan" de Molière, à la scène 2 de l'acte I, Sganarelle suggère fortement à Don Juan de ne plus commettre l'adultère.(citations, si possible).Ici, le libertinage est mis en cause. c)- (clôture) : Donc, le valet est valorisé par cette fonction de moralisateur, il est un porte-parole, souvent présent dans les oeuvres de Molière. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

déjà les talents auxquels la plus grande partie de nos Politiques doivent leur réputation, et je ne me trouvais encore qu’aux premiers éléments de la science que je voulais acquérir. Exemple d’un plan de commentaire avec introduction et conclusion d’un extrait de la lettre LXXXI (81) des Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos, 1782. (Ceci n’est pas un modèle, mais seulement un exemple. Votre réflexion personnelle peut mener à d’autres pistes de lecture. ) Introduction :

ses qualités morales : c'est "la plus vertueuse des femmes... Un modèle de vertu, l'exemple de son sexe et l'amour du nôtre.... Un caractère aimable et vertueux".L'éloge dithyrambique participe à la mise en place de l'image de la femme victime du libertinage de son mari. - Figaro est présenté comme un personnage dominant tant par ses qualités que par son rôle. C'est "l'homme le plus dégourdi de sa nation..... il incarne "le feu et l'esprit.... Il ne ruse avec son seigneur que pour garantir ce

faire réfléchir les spectateurs avec les comédies sérieuses ( ex : la fin de Dom Juan de Molière est très complexe en mélangeant trégédie et comédie ) , ou alors critiquer un vice humain pour le dénoncer ( ex : Dom Juan dénonce l'excès et le libertinage ) ou dans un dernier temps dénoncer un travers d'une société ( ex : dans Tartuffe de Molière il montre l'hypocrisie des religieux ) . Il peut s'opposer a cela par les différents rôles de ses personnages. Le théâtre est également un moyen facile

l’invitation de cette dernière. Il ne se questionne pas sur l’invraisemblance d’une statue qui parle et qui mange et il ne semble pas en avoir peur. (p.78). Il ouvre le dialogue ici avec Sganarelle. Il nous ouvre sur une facette importante du libertinage de Don juan : le scepticisme. En deuxième lieu, Don Juan est athée et il ne cesse tout au long de ses aventures de mériter les foudres de Dieu. Malgré les avertissements de Don Elvire et Sganarelle, il continue d’aller en contradiction avec les

être redevable de quelques chose de plus cher que la vie.” --> Euphémisme Dans cette partyie on voit qu’elle va se servir de lui pour repousser son entrée au couvent et enfaite ne jamais y entrer. On retrouve le libertinage et le désir charnel qui s’oppose à la foi religieuse. Conclusion :Pour conclure, Des Grieux raconte la rencontre. S’inscrit dans ce passage l’issue funeste du roman. Manon Lescaut et Des Grieux sont des personnages en marge par rapport a la religion, à la société en rompant ce

pardonner à l’homme »). §                      Le libertin entreprend, dans l’étape suivante, de démontrer les contradictions inhérentes, selon lui, à la dévotion. Pratique coutumière de l’ironie : questionner – amener à la contradiction puis à la conclusion :« Voilà qui est bien étrange, et tu es bien mal reconnu de tes soins ». §                     Dans un troisième temps, il aura recours à la corruption, mais à ce stade de l’ignominie morale, son entreprise échouera, et son esprit chevaleresque

ambigu. c) Le spectacle au service d’un faux dénouement : Les détracteurs de Molière ont compris que c’était le théâtre qui triomphait et non le divin ou Dieu, car Molière fait du dénouement un événement trop éclatant avec trop de machinerie. Conclusion : Conformément aux règles de la comédie, le dénouement est heureux : Dom Juan trouve la mort et la morale est ainsi sauve. Pourtant celui-ci (le dénouement) ne satisfait pas, le spectateur s’interroge sur le rapport du comique et du tragique

travailler selon ses capacités. « La petite terre rapporta beaucoup ». L’argent du jardin est le fruit d’un travail collectif de la terre (et de l’artisanat) : nous sommes dans la société pré-industrielle de la première moitié du 18e siècle. Conclusion : Candide a été écrit dans une période d’expansion de la bourgeoisie commerciale et de l’exploitation rationnelle de la terre (mouvement des physiocrates). Voltaire se fait l’écho de cette évolution dans Candide. L’argent a toutes les qualités