Le Libertinage Conclusion

aussi le but de s’excuser auprès de Tourvel. Pour le lecteur, cette lettre le transforme en complice de Valmont (ce qui engage une reflexion entre ce qui est la vérité et le mensonge dû à l’adresse de Valmont avec la parole), tout en montrant son libertinage (de moeurs par coucher avec Emilie et d’esprit par l’humilliation de Tourvel. Procédés: Les mouvements de la passions peuvent être vus par les adjectifs, les exclamations, les phrases coupées et les adverbes. Le débordement est aussi vu par les

Dans une autre lettre il utilise le père Anselme afin d’avoir une entrevue avec mme de Tourvel, une fois de plus il cache encore bien son jeu afin de se faire passer pour un autre. - Sa relation avec mme de Tourvel, est elle la fin de son libertinage ? : En effet en présence de la présidente, le roué ne comprends pas le sentiment qu’il éprouve « je n’ai plus qu’une idée, j’y pense le jour et y rêve la nuit, s’écrit il. J’ai bien besoin d’avoir cette femme, pour me sauver du ridicule d’en

père de La Chaise et le Bailli dénoncent le Huron. -à travers Monsieur Alexandre et sa « dame de la Cour », le libertinage et la débauche sont dénoncés, faisant définitivement de ses membres des parasites. . C’est donc une véritable critique de l’arbitraire et de l’injustice de la Cour versaillaise qui est construite dans ce chapitre IX. Conclusion Ce chapitre s’inscrit dans l’esprit général de l’ouvrage, qui est la transmission par la forme du conte philosophie, d’un

maréchale, Diderot analyse le cas « d’une de ses voisines » »honnête et pieuse » »comme vous êtes » un tel détour fait écho au comique de Molière (XVIIème). Exemple : dans Don Juan, le valet Sganarelle à recours au même procédé pour critiquer le libertinage de son maître. Effet de miroir : dialogue dans le dialogue qui exploite les ressources théâtrales de la double énonciation et de la conversation. Diderot rapporte les propos échangés avec sa voisine tantôt au style direct, tantôt au style indirect

arguments - thèse de Dom Juan : il est libertin - la question du début : facilite son argumentation - voc. du droit thème : - infidélité, opposition amour / religion - beauté de la femme = elle est comparée à un objet éloge du libertinage : contraire aux moeurs "JE" devient "ON" --> propos général ˜ Une argumentation structurée : Argumentation en 2 parties. Questions rhétoriques qui déclenchent l'argumentation. "la belle chose" = antiphrase, ironie --> réponse à Sganarelle

vraiment comme une femme, comme la 1ère femme qu'il voit avec son côté féminin et non comme une personne. Ce coup de foudre est également un appel des sens. Ce coup de foudre qui enflamme le personnage fait intervenir une part de sensualité. Conclusion : On a un épisode classique du coup de foudre dans lequel le jeune homme se laisse tenter par les délices de la passion et de l'amour profane. Manon qui n'est que peu discrédité devient pour lui à tors une figure angélique de l'amour, un symbole

et non comme une personne. Ce coup de foudre est également un appel des sens. Ce coup de foudre qui enflamme le personnage fait intervenir une part de sensualité : on note la proximité toute ambiguë des mots "désirs " (l.16) et "plaisirs" (l.18).Conclusion : On a un épisode classique du coup de foudre dans lequel le jeune homme se laisse tenter par les délices de la passion et de l'amour profane. Manon qui n'est que peu discrédité devient pour lui à tors une figure angélique de l'amour, un symbole

souffrance morale provoquée par les viols et autres sévices sexuels. La baronne a été violée et coupée en morceaux (chapitre 8). Cunégonde a été violée et a eu «le ventre fendu » (chapitre 7). L’innocente Paquette est obligée de se prostituer. Conclusion : Les femmes sont bafouées, humiliées, objets des dérives des hommes. Les seules femmes « heureuses » sont les musulmanes qui « parfument les barbes » (chapitre 30). Elles restent bien soumises. Une œuvre représentative de l’esprit des Lumières 

certaines inimitiés et certains duels auxquels il ne se dérobe pas. Il affiche un certain cynisme dans les relations avec ses proches, notamment avec son père (Dom Louis) et remet en cause les conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin : le repas avec la statue du Commandeur, que Dom Juan avait tué auparavant, qui l'emportera dans les flammes de l'enfer. Dans son récit, Molière a créé un personnage ayant

Nous allons voir comment l’auteur à justifier sa thèse. Dans la 1ère partie, c’est à dire de la ligne 1 à 7, on a clairement une opposition au destin avec le déterminisme. En effet, dans l ‘exemple de l’excuse sur nos vices et notre libertinages, on ne peut pas prétendre que ces actes sont le destin puisque ce sont nos agissements qui sont responsables de ce que nous faisons. Notre conduite ne change pas le destin puisqu’on ne le choisit pas (prémisse : on abuse de la nécessité du destin)