Le Libéralisme Et Socialisme Dans La Societé Contemporaine

censées engendrer, via la concurrence et la compétition, plus d'efficacité, des produits de meilleure qualité et une croissance continue. Le Socialisme vise, à l'inverse du modèle capitaliste, à réformer le système de propriété privée des moyens de production et d'échange et à l'appropriation de ceux-ci par la collectivité. Les valeurs fondamentales du socialisme sont : l'égalité des chances, la justice sociale, la répartition équitable des ressources, la solidarité, la lutte contre l'individualisme

Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. » Certains philosophes des Lumières lui préfèrent la définition suivante : « La liberté est l'autorisation de n'obéir à aucune autre loi extérieure que celles auxquelles j'ai pu donner mon assentiment » (Kant,

existe à cette époque un petit groupe partisan de l’égalité sociale : les diggers (branche dissidente des levellers), qui revendiquent une égalité complète, à l’époque, leur audience reste limitée, mais ils constituent une sorte d’antécédent du socialisme. Pour les levellers, il n’est pas question d’égalité sociale, et pourtant, ils développent certains thèmes, essentiels d’un point de vue démocratique : la première est celle du Gouvernement par consentement -l’origine du pouvoir réside dans le

seconde étant celle de la contextualité historique des modèles économiques), souligne l'abscence de résultat définitif dans le domaine économique : les grands jalons de la réflexion économique sont autant d'approches doctrinales que les économistes contemporains ont tendance à oublier. Vouloir s'affranchir de toute idéologie aujourd'hui est non sens pour Valier : l'auteur, sans le citer, fait sienne la critique de l'idéologie développée par Marx pour qui l'idéologie se présente comme une vision du monde

circonstance - dans les milieux académiques et syndicaux. Dans la foulée de ce mouvement, même les intellectuels les moins engagés sentaient le besoin de « flirter » avec le marxisme, ne serait-ce que pour ne pas paraître dépassés aux yeux de leurs contemporains. Ceux, dont je suis, qui, au nom de convictions philosophiques, politiques, sociologiques, religieuses ou autres, refusaient de s'associer à ce mouvement pouvaient difficilement ne pas éprouver cette sorte de mauvaise conscience -je puis en témoigner

UFR d’Histoire Année Universitaire 2009 – 2010 Licence : Année de licence : Semestre : Histoire 3ème année 1er semestre Code de l’UE : Nom de l’UE : 3L40U1 Histoire contemporaine HISTOIRE DES IDÉES EN FRANCE AU XIXe SIÈCLE (1800-1870) Auteur : Année de création et de mise à jour : Claire Laux 2009 Les cours sont strictement réservés à l’usage privé des étudiants inscrits à l’UFR d’Histoire de l’Université Michel de Montaigne de Bordeaux 3. Toute personne qui utiliserait ce

communistes d'Europe de l'Est après 1945 et jusqu'au début des années 1990, par opposition aux régimes occidentaux qualifiés de "démocraties bourgeoises". Dans l'idéologie communiste, les démocraties populaires devaient être une transition vers une société sans classe. 7. Nationalisme : Le nationalisme est une idéologie et une action politique visant à l'indépendance d'une nation lorsqu'elle est placée sous une domination étrangère. Le nationalisme peut aussi chercher à défendre une culture opprimée

l'idéologie libérale. Comme l'a écrit Michel Camdessus, ancien directeur général du FMI, derrière la crise de confiance des marchés qui a entraîné une paralysie systémique depuis cinq ans du secteur bancaire, on découvre une crise plus profonde encore du libéralisme : pauvreté endémique du tiers-monde, crise climatique sans précédent, crise alimentaire, crise énergétique, retour à l'unilatéralisme dans les relations internationales, et crise culturelle. A cette hydre à 7 têtes il faut ajouter encore la crise

« Libéralisme » est un terme d’usage quotidien. Il suffit d’ouvrir le journal pour trouver des références au parti libéral de différents pays, ou encore aux candidats libéraux dans des élections. De plus, le terme n’est pas politique. On parle des professions libérales et d’une éducation libérale… On emploie l’adjectif libéral pour décrire une personnalité ou une certaine tournure d’esprit, on pourrait même l’employer pour décrire la quantité de set utilisée dans une recette. Si le terme « libéral

Histoire – cours 4 le mouvement des idées 14 mars 2011 PREAMBULE le clivage droite/gauche deux siècles deux grandes tendances droite et gauche clivage D/G une des dimensions historiques fondamentales de notre société majorité des français continuent à se situer par rapport à cet axe différences d'opinions, d'attitudes et de comportements. Qui se structurent en un ensemble cohérent symboles, cultures, visions du monde, place qu'y tient l'individu. Assemblée Constituante 28 août 1789 débat