Le Lion Et Le Renard La Fontaine

Les animaux malades de la peste de Jean De La Fontaine Intro : • Fable distrayante, avec une description des circonstances, des pers, une richesse du dialogue. La Fontaine donne autant d'importance au récit qu'à la morale mais garde une visée satirique. On assiste ici à une démonstration de la loi sociale : la raison du plus fort. • La fable amène une réflexion sur l'injustice à cause de la décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du

« La Cour du Lion » Jean de La Fontaine 1678 Biographie Jean de La Fontaine : -1621 en Picardie et mort en 1695 à Paris -marqué l'histoire littéraire par la publication de ses Fables mais il écrivit aussi des pièces de théâtre, des poèmes... -Premier recueil (livres 1 à 6) → 1668, deuxième recueil (livres 7 à 11) → 1678-1679, livre 12 → 1694 -Moraliste qui cherche à corriger les défauts des hommes, et certains travers de la société de son temps : il a pu les observer grâce à sa position

l’oppression. Lectures analytiques : La Fontaine, Fables, " Les animaux malades de la peste "; VII, 1 La Fontaine, Fables, " Les obséques de la lionne ", VIII, 14 Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, " Les adieux du vieillard " ( "C’est vieillard qui parle... vertus chimériques" ) Lecture cursive : Diderot, Supplément au voyage de Bougainville LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE (1678) I – La dénonciation du pouvoir politique. 1/ La Fontaine, " Les animaux malades de la peste "

Un loup, qui commençait d'avoir petite part Aux brebis de son voisinage, Crut qu'il fallait s'aider de la peau du renard, Et faire un nouveau personnage. Il s'habille en berger, endosse un hoqueton, Fait sa houlette d'un bâton, Sans oublier la cornemuse. Pour pousser jusqu'au bout la ruse, Il aurait volontiers écrit sur son chapeau: «C'est moi qui suis Guillot, berger de ce troupeau.» Sa personne étant ainsi

Le renard, le singe et les animaux Introduction : Le célèbre « connais-toi toi-même » platonicien souligne l’idée qu’aucune prise de conscience n’est possible sans prise de parole. Jean de la fontaine grand fabuliste du 17ème siècle reconnu pour ses fables versifiées à visée morale : plaire et instruire, illustre cette idée dans son apologue le renard, le singe et les animaux, fable 6 du livre 6 publié en 1668 faisant partit du premier recueil « les fables choisies mis en vers par M. de la

en fin de vers. La fontaine, fabuliste reconnu du 17eme siècle, écrivait des fables pour enfant, il a dédié son premier recueil, parut en 1668, au Dauphin, Fils de Louis 14 âgé alors de 6ans, ce qui prouve qu’elles étaient bien destinées aux enfants. Prenons pour exemple : « Le corbeau et le renard ». Il s’agit de l’une des fables les plus simples de La fontaine, elle est d’ailleurs en première page dans son recueil de poésies, et qui ne l’a pas apprise étant enfant. La fontaine utilise des animaux

Les animaux malades de la peste Introduction : La fable les animaux malades de la peste appartient au groupement de textes sur les représentations de la justice dans la littérature. La Fontaine fabuliste et moraliste classique c'est imposé dans l'Antiquité pour rédiger ses fables. Pour cette fable il s'est inspiré de la culture médiévale et indienne. Elle ouvre son second recueil et donne une tonalité plus tragique. Nous sommes ici comme dans un théâtre cruel et violent. En effet cet fable est

« La cour du lion » de Jean de la Fontaine et « Les Satires » de Nicolas Boileau. Dans la deuxième partie du XVIIème siècle, un grand nombre d’auteurs essaye de se démarquer auprès du grand public, en se penchant sur les critiques de la cour ou de la société, tout en essayant d’éviter la censure. Nicolas Boileau avec « Les Satires XI » écrit a Valincour, le secrétaire général de La Marine sur le véritable visage des personnes en société et Jean de la Fontaine avec « La cour du Lion » extrait du

La cour du lion : -->Cette fable a été écrite en 1678. - Cette fable est elle aussi une critique de la cour et de ses courtisans. Les critiques sont toujours les mêmes : on reproche au roi d’être un homme sévère, qu’il décide de tout… et Jean de la Fontaine reproche toujours aux courtisans d’être des personnes fausses, de se battre entre eux pour être auprès du roi, et d’être toujours des hypocrites. Dans cette fable, Jean de la Fontaine destine le « vous » aux courtisans ainsi qu’aux lecteurs

Commentaire composé : Les Animaux Malades De La Peste « La raison du plus fort est toujours la meilleure » Jean de La Fontaine. La Fontaine, un écrivain du 17ème siècle, se sert de l’écriture et plus particulièrement des fables pour prêter aux animaux les défauts et les qualités des hommes. Le monde animal qu’il crée à travers ces récits, représente la société du 17ème siècle. Son but était d’écrire pour instruire et faire réfléchir son lecteur tout en le distrayant, pour cela il fait apparaître