Le Lion Et Le Renard

suppose que je peux en arriver à la conclusion mais dois-je dire ceci : "Oui parce que certaines sont lus aux enfants (la cigale et la fourmis, le corbeau et le renard (La Fontaine)) mais d'autres, Non, qui ne peuvent être comprises à cause du niveau de langage employés ou de la morale (Les animaux malades de la peste, Les obsèques de la Lionne (La Fontaine))."Ou ça ne va pas ?   semble que les fables aient été écrites pour les enfants puique les vers sont simples, le monde est féérique avec des

l'innocent. II.] Le discours du lion 1. Ambiguïté du personnage : " Le Lion tint conseil, et dit : " Mes chers amis " . " On décèlera une rupture à l'intérieur de l'Alexandrin, entrain enregistre initial soutenu, " tenir conseille " , des formes rythmiques valorisant, puis aussi diérèse. À la fin du ver, registre familier, affectif, en décalage avec la noblesse du personnage. 2. De là, on peut suspecter le personnage d'hypocrisie. On peut reconnaître pour le lion une grande aisance à la parole

Commentaire composé : La cour du lion, Jean de Lafontaine (livre 7) Introduction    Jean de Lafontaine naquit en 1621 et décéda en 1695. Il écrivit les fables de 1664 à 1674. Il publiera deux recueils qui seront divisés en livres. Dans son œuvre, Lafontaine, en s’inspirant d’Esope, Epicure ou Phèdre, fait une critique sociale et universelle de l’homme à travers les animaux. Cela lui permet d’éviter la censure. Ici il s’agit de La cour du lion, extrait du livre VII du deuxième recueil où il

un Lion, un Renard, un Tigre, un Ours, un Ane, un Loup et également d’autres animaux qui sont seulement mentionnés de façon générale tels que les tourterelles, les loups et les renards. Dans Le Rat qui s’est retiré du monde et dans Le Héron, les titres explicitent les animaux qui interviennent dans ces fables : dans l’une, il s’agit bien sûr d’un Rat et dans l’autre d’un Héron. La fable La Cour du Lion fait comme on s’y attendait intervenir un Lion, mais aussi un Ours, un Singe et un Renard. Les

pareils dévouements : Se sacrifier, donner sa vie. Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence L'état de notre conscience. Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons, « Goinfre », gourmandise excessive. Louis XIV avait un appétit de Lion. J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense : Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le Berger. Le Berger représenterait Fouquet, ami de La Fontaine, arrêté par le Roi. Fouquet était surintendant des Finances : « il

I)Une justice arbitraire et controversé 1)La loi du plus fort Le lion qui représente le roi des animaux, qui est le plus fort, supérieur a tous, représente le Roi de France dans la vie réelle. Le Roi Lion qui commet d'atroces crimes dits sans importances par le Renard qui le congratules sur ses exactions pourtant condamnables. Tous les animaux sont des carnivores sauf un seul : l'âne, qui représente le peuple. Il est le moins fort de tous 2) Une injuste justice Présence du champs

Cour du Lion La Fontaine Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître De quelles nations le Ciel l'avait fait maître. Il manda donc par députés Ses vassaux de toute nature, Envoyant de tous les côtés Une circulaire écriture, Avec son sceau. L'écrit portait Qu'un mois durant le Roi tiendrait Cour plénière, dont l'ouverture Devait être un fort grand festin, Suivi des tours de Fagotin. Par ce trait de magnificence Le Prince à ses sujets

La cour du Lion En quoi cet apologue est il plaisant et en quoi reprensente - t -il une double critique de la societe du XVII ? Intro OK I. Une fable a la forme classique. a. Son organisation OK b. Les personnages OK Transition OK II. Une fable plaisante a. Des rimes et des mètres variés b. Une transition entre les différents types de discours OK III. Une double satire Transition OK a. Une moquerie des courtisans

en montrant comment un conseil réuni par le lion pour châtier « le plus coupable » , finit par sacrifier en réalité le plus coupable de tous. LF n'adapte pas ici une fable d' ésope, son modèle grec habituel, mais reprend une tradition médiévale; on trouve en effet une histoire semblable dans les apologues de Haudent en 1547: la confession de l'asne, du renard et du loup. Après un tableau sombre des ravages de la peste v1a14, LF donne la parole au lion qui propose, pour apaiser la colère du ciel,

des idées et qu’elle est souvent apparue comme le lieu de la dénonciation de l’injustice et de l’oppression. Lectures analytiques : La Fontaine, Fables, " Les animaux malades de la peste "; VII, 1 La Fontaine, Fables, " Les obséques de la lionne ", VIII, 14 Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, " Les adieux du vieillard " ( "C’est vieillard qui parle... vertus chimériques" ) Lecture cursive : Diderot, Supplément au voyage de Bougainville LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE (1678)