Le Loup Et Le Chien Plaire Et Instruire

.................................... 17 Le Loup et le Chien..................................................................19 La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion......21 La Besace ................................................................................ 22 L’hirondelle et les petits oiseaux............................................ 24 Le Rat de ville et le Rat des champs........................................27 Le loup et l’agneau ..............................

............................................14 Le Loup et le Chien .............................................................. 15 La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion... 17 La Besace..............................................................................18 L’hirondelle et les petits oiseaux ........................................ 20 Le Rat de ville et le Rat des champs ................................... 22 Le loup et l’agneau .....................................

prioritairement de la forme du dialogue (voir p. 146). ■ L’apologue Un loup, voyant un agneau qui buvait à une rivière, voulut alléguer un prétexte spécieux pour le dévorer. C’est pourquoi, bien qu’il fût lui-même en amont, il l’accusa de troubler l’eau et de l’empêcher de boire. L’agneau répondit qu’il ne buvait que du bout des lèvres, et que d’ailleurs, étant à l’aval, il ne pouvait troubler l’eau à l’amont. Le loup, ayant manqué son effet, reprit : « Mais l’an passé tu as insulté mon père

................................... 15 Le Loup et le Chien ................................................................. 17 La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion......19 La Besace ................................................................................ 20 L’hirondelle et les petits oiseaux............................................ 22 Le Rat de ville et le Rat des champs....................................... 25 Le loup et l’agneau ..............................

héritages et filiations dont témoigne son œuvre. La fable n’est pas un genre fixe, rigoureusement codifié comme peuvent l’être certaines formes poétiques (le sonnet, le rondel, la ballade…). C’est davantage en termes de contenus ou d’objectifs : instruire en amusant, proposer une « morale », mettre en scène des animaux, etc., qu’il convient de l’aborder. Les groupements de textes ici proposés devraient permettre de dégager les spécificités d’un genre, ses caractéristiques et ses fonctions à travers

la morale est religieuse. les paraboles de l’évangile (enseignement moral issu des paroles du christ – les personnages sont des humains) tout texte qui comporte une histoire de laquelle on tire une morale (ex : le poème d’Alfred de Vigny La mort du loup est un apologue) les récits de voyage (permet de porter un regard différent sur la société) Les utopies et les contre-utopies (les dystopies) La fable : C’est un ancien esclave Esope (VIème siècle avant J-C – fables écrites en prose) qui est considéré

SEQUENCE 1 Plaire pour instruire : l ‘ Apologue Objet d’étude : Convaincre, persuader, délibérer 1. - Le Loup et l’Agneau Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre I – Fable 10 2. – Les animaux malades de la peste Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 1 3. – La cour du Lion Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 7 4. – Les obsèques de la Lionne

d’étudier des fables contemporaines (chapitre 2). La fable n’est pas un genre fixe, rigoureusement codifié comme peuvent l’être certaines formes poétiques (le sonnet, le rondel, la ballade…). C’est davantage en termes de contenus ou d’objectifs – instruire en amusant, proposer une « morale », mettre en scène des animaux, etc.– qu’il convient de l’aborder. Les groupements de textes proposés en lecture cursive vous permettront de dégager les spécificités d’un genre, ses caractéristiques et ses fonctions

relève prioritairement de la forme du dialogue (voir p. 146). L'apologue Un loup, voyant un agneau qui buvait à une rivière, voulut alléguer un prétexte spécieux pour le dévorer. C'est pourquoi, bien qu'il fût lui-même en amont, il l'accusa de troubler l'eau et de l'empêcher de boire. L'agneau répondit qu'il ne buvait que du bout des lèvres, et que d'ailleurs, étant à l'aval, il ne pouvait troubler l'eau à l'amont. Le loup, ayant manqué son effet, reprit : « Mais l'an passé tu as insulté mon père

la situation, comme dans la colombe et la fourmi ; le danger croissant d’acte en acte, car il y en a de plusieurs actes, com m e l’alouette et ses petits avec le maître d’un champ ; et le dénouement enfin, mis quelquefois enspectacle, comme dans le loup devenu berger, plus communément en simple récit. Cela posé, comme le fabuliste ne peut être aidé par de véritables acteurs, par le prestige du théâtre, et qu’il doit cependant me donner la comédie, il s’ensuit que son premier besoin, son talent le