Le Loup Et Les Bergers

néfastes sur les animaux, tant sur le plan moral que social. (v.1à14). La deuxième partie est essentiellement composée de dialogue entre des animaux tels que le lion, le renard et l'âne, le tout au style direct, auquel vient s'ajouter les propos du loup rapportés au style indirect libre (v.15à61) et la situation finale : l'exécution du plus humble et de l'innocent : l'âne. La troisième partie est constituée d'une moralité explicite et désabusée (v.63, 64) Nous nous intéressons d'abord au prologue

Personnage : Le Mourant Morale : On ne peut pas retarder sa mort sous peine de regret. 2) Le Savetier (ouvrier travaillant les souliers) et le Financier : Morale : Notre fortune ou richesse nous fait perdre notre sommeil. 3) Le Lion, le Loup et le Renard : Morale : Les courtisans sont dans une carrière où l'on ne pardonne rien. 4) Le Pouvoir des fables : Personnage : La Fontaine Morales : «Le monde est vieux» ET «Il le faut amuser encore comme un enfant» 5) L'Homme et la

……………………………………………………………………………………………………………………………………………. Dans le package ferme.animaux, créer les classes : Cheval, Vache, Chevre, Mouton, Coq, Chien, Lapain, classe attributs Cheval Couleur (java.awt.Color) Race (String) Vache race Chevre race Mouton race Coq origine Chien race Loup Aigle Lapin 13. Ajoutez la classe exécutable Ferme et créez des instances de 2 classes Cheval et Fleur. Affichez les avec la méthode System.out.println(). Qu’est ce qu’est affiché? Expliquer le résultat en étudiant la classe Object ? ………………………………………………………………………………………………………………………………………

Fouquet (ministre qui a voulu prendre trop de pouvoir). Louis XIV le place en disgrâce. (Problème de mécénat) Transposition animalière : épizootie Lion = Louis XIV Renard, loup = courtisans, nobles Âne = petite bourgeoisieBerger = La Fontaine ? → il règle ses comptes car le lion dévore le berger Caractère des animaux conforme à l'imaginaire collectif Critique du pouvoir royal : Mise en scène d'une décision politique : satire de la Cour v.62 : pas

fort. Il devient chien de traineau et change de maitres, traverse plus de trois milles lieues. Chacun de ses maitres avaient des ambitions différentes et un travail différent. Mais de plus en plus, il ressent l'appel de la forêt, l'appel d'un husky-loup avec qui, il devient vite ami. I- L’innocence de Buck C’est un chien paisible, qui mène une vie confortable en Amérique. Il est qualifié d’aristocrate repu au début du récit, mais il était quatre années auparavant, le monarque absolu de Santa-

parantage" ce qui donne l'impression de sa supériorité face aux autres personnages "ayant courage, intelligence". Dans le texte 3 le Lion, ainsi que les autres animaux sont comparés à ma population du Moyen-Age : le Lion représente le roi, le Renard et le Loup font partie de la Noblesse, l'Ane appartient au Tiers-Etat. De plus le Lion manipule ses sujets tel un roi absolu : il les invite à prendre sa défense alors qu'il a commis des crimes graves "s'il le faut", "je me dévouerai donc". Il y a un décalage

tribunal des animaux, où chacun doit se laver de tous soupçons << Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi>>(V.31). Les rôles se distribuent : Le lion, étant le roi, édicte la sentence, le renard fait office d’avocat de la défense, le loup rappelle un avocat général qui exécute la sentence (éditée par le roi) pour l’accusé rendu coupable. Tout au long de la fable, les lexiques de la justice <<Justice>> (V.32), <<Traits>>(V.19), <<Crime>>(V.58), <<Jugements>>(V

de pompeuses cérémonies, méprise ses sujets qui redoutent sa colère terrible et sa cruauté impulsive, se conduit en despote, abuse de sa force au service de ses appétits. Il est entouré d’une cour où les principaux courtisans sont le renard et le loup et que La Fontaine présente, avant La Bruyère, comme un pays de parasites «machinateurs d'impostures», où règnent la servilité et l'hypocrisie, où les rivalités entraînent des dénonciations, des calomnies, des vengeances implacables. On assiste à

voix est la voix de Dieu ? VIII, 27 LE LOUP ET LE CHASSEUR vers 5 Fureur d'accumuler, monstre de qui les yeux Regardent comme un point tous les bienfaits des Dieux, Te combattrai-je en vain sans cesse en cet ouvrage ? Quel temps demandes-tu pour suivre mes leçons ? L'homme, sourd à ma voix comme à celle du sage, Ne dira-t-il jamais : C'est assez, jouissons ? – Hâte-toi, mon ami, tu n'as pas tant à vivre. IX,1 LE DEPOSITAIRE INFIDELE vers 9 Le Loup en langue des Dieux Parle au Chien dans

Clod’Aria|C’est la Toussaint 10|||| Charles Baudelaire|L’albatros 18|||| Julos Beaucarne|Parfois on ne sait plus rien 4|Voici venu le froid radieux de septembre 22||| Pierre Béarn|Araignée 6|||| Michel Beau|Devinette 6|||| Henri Bosco|Un berger bricard 22|||| Alain Bosquet|Une graine voyageait 8|Arbre 16||| Bertold Brech|Mon général 8|||| René-Guy Cadou|Avant-Printemps 6|||| Francis Carco|L’averse 10|||| Maurice Carême|Conciliabule 14|Caillou 6|Une