Le Malentendu Explication

parole ne sera pas accueillie comme il le souhaite car il va se trouver face à un « mur » et son aveu, cette confrontation qu’il souhaitait afin d’expliquer mais également de comprendre la réaction de ses proches auxquels il souhaite donner des explications n’aura pas lieu. . L’une des particularités de cette pièce est l ‘absence d’action qu’elle présente : il ne se passe rien, les seuls actes observables sont des actes de langages. La structure de la pièce repose sur des scènes comme juxtaposées

plaignent d’avoir été ignorés lors d’une rencontre fortuite. Néanmoins, Cléonte reste épris de Lucile. Nicole raconte ensuite le mauvais accueil qu’elle a reçu chez Cléonte. Les jeunes femmes tentent de dissiper le malentendu ; les jeunes hommes finissent par écouter leurs explications : elles étaient accompagnées d’une vieille tante pour qui l’approche même d’un homme déshonore une fille. Réconciliation générale. Scènes XI à XIII Cléonte demande Lucile en mariage. M. Jourdain rejette la proposition

involontairement MAGUETTE chef de son village Kër Niokhor Secondaires : - THIAM : Vieillard gneignar travaillant a la gare - BOURI : Fille de MOR KASSE - RAMATOULAYE : Fille de MOR KASSE 2/ EXPLICATION DE NOTRE CHAPITRE : MOR GUERISSEUR L’auteur a choisit ce titre car : Mor est le personnage principal qui se dit acquérir des pouvoirs de guérisons, après avoir guérit par hasard Thiam. 3 / Résumé du Chapitre

française. Je tenterai de les décrire le plus précisément possible, et de donner le contexte lorsque ces gestes lorsqu’ils sont effectués au travers d’exemples souvent beaucoup plus parlant. J’ai essayé, dans la mesure du possible de chercher une explication, une raison à ces gestes sans forcément y être parvenue. J’ai choisi de vous présenter les gestes ci-dessous en quatre catégories distinctes. Tout d’abord je rappellerai dans un premier paragraphe que de nombreux gestes sont toutefois communs à

reconnaitre l’héritage culturel des milieux populaires, à les prendre en compte pour s’y appuyer et, de là, élargie l’horizon des jeunes. D’autres, au contraire, craignent la concurrence de l’école et s’en défient. (F. Dubet : Ecoles, familles : Le malentendu) Certains sont la croisée de ces deux chemins : comment concilier la transmission des valeurs familiales et dans certaines mesures religieuses, et accepter simultanément, l’acculturation par l’école laïque ? Mais il est également normal que certains

la notion (vague, générale) au concept (construit, rigoureux, essentiel) ; elle distingue (sépare ce qui diffère), hiérarchise (remonte des conséquences aux principes), résout (déploie et définit) les confusions de la langue courante et lève les malentendus ou ambiguïtés d’une proposition. 3. Recours à l’exemple : l’exemple n’est pas un argument car il ne démontre rien (il y a toujours des contre-exemples), il illustre. Attention : il faut toujours justifier son emploi (en quoi il illustre l’idée avancée

conjonction de subordination. La plupart des conjonctions qui introduisent l'idée de la cause demandent le mode indicatif. CONJONCTION + INDICATIF PARCE QUE PUISQUE ETANT DONNÉ QUE C'est la conjonction la plus courante. Elle apporte une explication qui souvent est la réponse à la question “pourquoi?” Cette conjonction introduit une cause qui est connue, ou qui est supposée connue de celui à qui on parle. Cette conjonction se place en général en tête de la phrase . Elle est plus proche de “puisque”

de Thésée. Elle l’exhorte à accuser Hippolyte pour sauver son honneur (Scène 3). Thésée parait. Phèdre s’enfuit avec quelques paroles équivoques (Scène 4). A Thésée qui lui demande des explications, Hippolyte répond par son désir de fuir. S’installe alors un malentendu entre le père et le fils (Scène 5). Ce malentendu constitue un moteur du tragique. Phèdre s’en remet complètement à Oenone. ACTE IV

mais que ce lecteur, même s'il lit le premier roman venu, a en tête une certaine idée de ce qu'il va y trouver. On peut donc prévoir des malentendus quand ce qu'a fait l'auteur ne correspond à ce qu'attendait le lecteur. 2 - On passe alors à un deuxième stade si on cherche à arranger les choses en apportant des explications pour dissiper ou limiter ce malentendu, avant ou après la lecture, soit que l'auteur explique au lecteur ce qu'il a voulu faire, soit que le lecteur explique à l'auteur ce qu'il

La cause est introduite par une conjonction de subordination. La plupart des conjonctions qui introduisent l'idée de la cause demandent le mode indicatif. CONJONCTION + INDICATIF C'est la conjonction la plus courante. Elle apporte une explication qui souvent est la réponse à la question “pourquoi?” Nous éviterons cette plage parce qu'elle est trop polluée. Cette conjonction introduit une cause qui est connue, ou qui est supposée connue de celui à qui on parle. Appelle le médecin